Recueil des actes de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Bordeaux, المجلد 20Charles Lawalle, 1858 |
طبعات أخرى - عرض جميع المقتطفات
عبارات ومصطلحات مألوفة
2º série Académies Acide Acide carbonique année archéologique Arman Arts avez axes azotée baryte Baudrimont Bordeaux botanique brahme Brochon Brunet Bulletin Callimaque carbonate carbonique Charles Des Moulins chaux chlorure chose Cirot cœur collègue Commission compose Concours connaitre correspondant Costes d'Agriculture Dabas Dégranges Delpit Dieu dire donne Dordogne Duboul Dutrey eaux États-Unis études fécondité Gaussens général Gironde Gorin Grégoire de Nazianze hommes Hydrogène Impériale j'ai jour l'acide l'auteur l'eau l'histoire l'homme l'Institut Lacolonge Lamartine langue Léo Drouyn lettres livre magistrat magnésie matière organique médaille médecins membre Mémoires ment Messieurs Minier Moulins Nazianze nitrate Notice ouvrages Oxygène pensée Petit-Lafitte peuple Pierre de Brach poésie poète potasse présente Président produit publique question rage rapport rapporteur Raulin relations résidu résultats Revue contemporaine rotation s'est saint Saugeon science séance sentiment seulement siècle silice Sociétés savantes soluble sorte sujet sulfate terre tion titre travaux trouve
مقاطع مشهورة
الصفحة 197 - série, t. IV, 15 juillet 1858. (M. Minier, rapporteur.) Mémoires de la Société Royale des Sciences de Liège, t. XI et XIII, 1858, avec une lettre d'envoi. (M. de Lacolonge, rapporteur.) Mémoires de l'Académie des Sciences, Agriculture, Commerce, Belles-Lettres et Arts du département de la Somme ; Amiens,
الصفحة 39 - Que du clairon bruyant le son guerrier l'éveille, Je le vois s'agiter, trembler, dresser l'oreille ; Son épine se double et frémit sur son dos ; D'une épaisse crinière il fait bondir les flots; De ses naseaux brûlants il respire la guerre ; Ses yeux roulent du l'eu, son pied creuse
الصفحة 370 - De l'Être universel, unique, La splendeur dans mon ombre a lui, Et j'ai bourdonné mon cantique De joie et d'amour devant lui; Et sa rayonnante pensée Dans la mienne s'est retracée, Et sa parole m'a connu ; Et j'ai monté devant sa face, Et la nature m'a dit : passe, Ton sort est sublime, il t'a vu.
الصفحة 359 - loin : Comme fait la nature, Sur la foi de son Dieu. Assuré que ma Providence Ne tend point de piège à tes pas. Chaque aurore la justifie, L'univers entier s'y confie, Et l'homme seul en a douté ! Mais ma vengeance paternelle Confondra ce doute infidèle Dans
الصفحة 40 - vient de sa force, mais d'une force mal » réglée. Il se compose, il devient plus obéissant sous » l'éperon, sous le frein, sous la main qui le manie à » droite et à gauche, le pousse, le relient comme elle
الصفحة 128 - que les jouissances matérielles, mieux que la fortune. » mieux que la santé elle-même : c'est le dévouement à la » science. » M. le Président répond ainsi à M.
الصفحة 55 - Mes jours déclinent comme l'ombre ; Je voudrais les précipiter. 0 mon Dieu! retranchez le nombre Des soleils que je dois compter. L'aspect de ma longue infortune Eloigne, repousse, importune Mes frères, lassés de mes maux. En vain je m'adresse à leur foule. Leur pitié m'échappe et s'écoule Comme l'onde aux
الصفحة 28 - quand j'aurais d'autres espérances, le tombeau » est ma maison ; j'ai préparé mon lit dans les ténèbres. » J'ai dit à la pourriture : Vous êtes mon père; et » aux vers : Vous êtes ma mère et ma sœur '. » Où trouverions-nous ailleurs ce pinceau
الصفحة 44 - de son dragon marin, employer ces figures : Le ciel avec horreur voit ce monstre sauvage ; La terre s'en émeut, l'air en est infecté, Le