صور الصفحة
PDF
النشر الإلكتروني
[blocks in formation]
[ocr errors]

et

Gérard de Nerval. Son ami de Stadler. A la page 253 de l'Histoire de Murger par trois Buveurs d'eau, (3° partie de l'ouvrage, attribuée à Nadar) on lit, en note, au sujet des amis à qui Gérard de Nerval pouvait avoir recours:

J'aurais bien des noms chers à citer ici: Rogier, Al. Dumas, Th. Gautier, etc., et surtout cet excellent de Stadler, le préféré,que J'ai vu, garde-malade infatigable, installer Gérard dans son propre lit et le veiller avec une anxiété maternelle...

Quel était ce Stadler ? Etait-il artiste? homme de lettres ? GROS MALO.

[ocr errors][merged small][ocr errors][merged small]

8 ignorés en un mot, tout ce qui peut aider à faire revivre sa physionomie.

L'abbé Michon est né à La Roche-Fressange (Corrèze), le 21 novembre 1806; il est mort le 8 mai 1881, au château de Montausier, par Baignes-Sainte-Radegonde (Charente).

[ocr errors]

La famille Du Pont. Je serais heureux d'avoir des renseignements sur la famille et les armes de Du Pont, demeurant à l'île de Trinidad (Indes Occidentales) en 1802. Colonel John Rutherford de l'Etat-Major de l'armée du duc d'York) épousa, (id est, en Trinidad) en 1802, Marie Du Pont.

Ilyalà suggestion quant à la connexion de la famille de Du Pont avec «de Thionville de Gonville ».

La famille Du Pont émigra à Trinidad (avec beaucoup d'autres familles françaises) en 1789. Jusqu'à 1801 Trinidad appartenait à la France. La famille Du Pont avait une terre en Trinidad.

Toutes les archives militaires et tous les registres de cette époque, en Trinidad, furent détruits par un incendie. Rév. EDWIN MARRINER. Ardvoulan, Torquay, Angleterre.

[ocr errors][merged small][merged small][ocr errors][merged small][merged small][merged small][merged small]

9

De Pandas, seigneur de Saint-Aubin. De Tivras au Tiuras, seigneur de Martet et d'Augé.

De Tuze ou Thuze.

D'Oignac de Lusquenac.

De Sérempouy.

La plupart de ces familles doivent être originaires de Guyenne et Gascogne.

Je serais reconnaissante au confrère qui me conimuniquerait des documents et renseignements sur les Faudoas.

A. F.

[ocr errors]

Armoriaux et nobiliaires. Un membre ou plusieurs membres d'une famille peuvent-ils s'opposer à ce qu'une notice qui la concerne figure dans un armorial ou un nobiliaire d'une province ? Il est bien entendu que l'article n'a rien qui puisse toucher leur honorabilité ou celle de leurs ancêtres, l'auteur se bornant à dire que la famille est originaire d'un pays et qu'elle a été anoblie par une charge à la fin du xvIe siècle, alors que les intéressés prétendent être issus d'une très ancienne maison d'une région très éloignée. P. M.

Armoiries à déterminer : d'azur à la bande d'or. D'azur, à une bande d'or, chargée de 3 pals de gueules, adextrée d'un lion rampant d'argent, lampassé de gueules et senestrée d'un bochet d'argent,et d'une verge en pal d'or tortillee d'un serpent d'argent, champagne du tiers de lion de gueule, chargé du signe des chevaliers légionnaires.

A quel personnage de l'Empire appartenaient ces armes ?

D'EPERNAY.

Questions sur la Dame aux camélias. - M. Romain Vienne,dans ses souvenirs sur la Dame aux camélias parle d'un duc de Kelberg « qui fit remettre sa carte chez Marie par son valet de chambre et demander s'il aurait l'honneur d'être reçu le lendemain. La réponse ayant été affirmative, il se présenta en grand seigneur, comme un ami sincère, employa diplomatiquement l'heure qui lui fut accordée et sollicita l'autorisation d'une nouvelle entrevue. Après de courts préliminaires, le duc, triomphateur octogénaire,fut admis aux honneurs de la chambre à coucher et aux privilèges réservés à l'amant protecteur ».

ΙΟ

Ce duc de Kelberg, n'était-ce point le duc de Nolfork?

<< Rien n'est moins prouvé, dit M.Georges Soreau (La vie de la Dame aux camélias) que cette histoire d'un vieux duc venant la visiter chaque jour et la comblant de cadeaux ruineux, parce qu'elle ressemblait d'une façon étrange à une fille qu'il avait perdue ».

Fait-il allusion au duc de Nolfork?

On trouva à la mort de la Dame aux camélias,dans un de ses tiroirs, un exemplaire de Manon Lescaut annoté de sa main.

Qu'est devenu ce livre ?

Alphonsine Plessis, « la Dame aux camélias » a épousé, en février 1846, à Londres, le comte Edouard de Perr.. âgé de

[ocr errors]

29 ans elle en avait 22. Elle revint seule le mari, pris de remords, l'ayant quitté. Elle timbra ses voitures et son linge d'une couronne comtale.

Ce fut son premier titre.

« Une amitié puissante, dit M. Georges Soreau (p. 69) lui fit octroyer le titre de duchesse, afin qu'elle pût assister à des bals, à des mariages de cour. La chose n'eut pas lieu sans difficultés légales; les maires de quelques communes reçurent l'ordre, m'a-t-on dit, de produire des pièces fausses, afin de pouvoir lui livrer le document, d'ailleurs très authentique ».

Qui eut le pouvoir de donner de tels ordres? Puis duchesse de qui, de quoi ? Comment est conçu son brevet? L'a-t-on jamais reproduit? On prétend que sa sœur Delphine en hérita.

S'est-on basé, pour l'établir, sur ce qu'elle disait de sa naissance prétendant descendre des seigneurs du Mesnil et d'Argentelles?

Existe-t-il quelque part un objet marqué à ses armes ducales ? Les pourrait-on décrire ?

ses armes

Turpius ejicitur qui non admittitur hospes. Le Thesorus poeticus de Quicherat, au verbe ejicio, attribue à Ovide cet hexamètre. Je le trouve ailleurs, libellé avec quam à la place de qui. Quel est le véritable texte? Turpius ejicitur quam non admittitur hospes me semble plus vraisemblable. Mais un collaborateur complaisant pourrait-il me dire dans quelle partie des œuvres du poète se trouve ce vers? E. ARTUCOAT.

[ocr errors]

Etre à Nemours. Parlant de l'acteur Boisselot qui vient de mourir, M. Emile Faguet écrit dans sa Semaine dramatique (Débats du 3 juillet 1905):

Il ne baissa jamais, quoique approchant des extrêmes limites de la vieillesse et de l'âge où, généralement, on est à Nemours.

D'après le sens général de la phrase, je crois bien entendre ce que signifie « être à Nemours ». Mais pourquoi cette expression Appartient-elle au langage théâtral? D'où vient-elle et que veut-elle exactement dire ? GUSTAVE FUSTIER.

[ocr errors]

Les fana, monuments anciens. Il existe dans le sud-ouest de la France, entre la Loire et les Pyrénées, de singuliers monuments dits piles romaines, mais qui sont purement gaulois.

Ces piles portaient en latin le nom de fanum, en celtique celui de vernemet.

On en connaît une vingtaine, mais il y en beaucoup d'autres qui ont laissé leurs noms aux endroits où elles avaient été érigées.

Nous venons donc demander à nos confrères de l'Intermédiaire s'ils connais

sent, dans le reste de la France, des localités répondant au nom de Fa, Faon, Fanien, Fanian.

En 1888 et 1896 M. Lièvre, bibliothécaire de la ville de Poitiers, a, dans deux brochures, donné tout ce que l'on sait sur les fana.

Deux vieilles tapisseries au ministère des Affaires étrangères. Tous ceux qui fréquentent au ministère des Affaires étrangères connaissent deux admirables tapisseries représentant des scènes du XVIe siècle qui ornent le salon d'attente. En voici la description sommaire : : nous désirerions avoir des renseignements sur ces œuvres d'art, leur auteur et la date de leur fabrication.

La première représente un mariage: costumes François Ier; trois couples d'âge mur s'avancent en dansant, les hommes ont un cierge ou une torche sur l'épaule, les femmes, une flèche dépointée à la main. gauche; au fond, au centre, une femme à deux visages est assise à une table sous un dais; à droite un jeune homme joue de la flûte devant un dressoir; à gauche une porte étroite ouverte sur la campagne par où entrent divers personnages,

12

La seconde représente une chambre, dont le fond est occupé par une vaste cheminée. A gauche, une large baie laisse voir des paysans qui travaillent dans un décor d'hiver; au premier plan un couple joue aux cartes ; à droite une femme a l'air de faire des comptes, sur une table devant laquelle un homme s'avance, la main gauche sur la garde de son épée,un gant à la droite, un chat au premier plan. Les deux tapisseries sont signées << Monmerqué et entourées d'une magnifique bordure Louis XIV, avec des L entrelacés dans les coins. DORYLOS.

[ocr errors]

L'amiral américain Paul Jones, franc-maçon français. L'amiral américain Paul Jones, dont on vient de retrouver les restes, que l'on transporte maintenant,en grande solennité, aux EtatsUnis, était franc-maçon et appartenait, avec son compatriote Benjamin Franklin, à la Loge des Neuf Sœurs, Orient de Paris, fondée en 1776 et dans laquelle avaient été initiés Helvétius et Voltaire.

Je trouve la trace du fait dans la revue maçonnique Le Globe, publiée par L.Théod. Juge, année 1839 (p. 383-385) où je lis les passages suivants concernant la-dite loge:

En 1783, elle comptait cent huit membres. J'ai cité des noms glorieux dans les lettres, dans les arts et dans les sciences; toutes fois ce ne furent pas ses seules illustrations. Elle fit d'autres acquisitions non moins précieuses: Pastoret,Cailhava,Chamfort, Condorcet, Florian, Garat, Cadet de Vaux, Court de Gébelin, Delille, Lacepède, le célèbre commodore américain PAUL JONES, figurent avec distinction parmi ceux qui sont venus prêter à cette loge, l'éclat de leurs noms et de leurs talents...

Dissoute pendant la Révolution, la Loge des Neuf Sœurs ne reprit ses travaux qu'en 1806. « La mort avait frappé un grand nombre de ses membres qui avaient été l'ornement et la gloire de cet atelier. J'ai parlé des Helvétius, des Voltaire, des Chamfort, des Roucher. Beaucoup d'autres avaient été enlevés à la Maçonnerie. La loge n'avait plus Court de Géblin, La Dixmerie, Dupaty, Florian, Imbert, Greuze, Joseph Vernet, de Milly, Piccini, Lemierre. FRANKLIN, PAUL JONES... ».

Pourrait-on connaître la date de la réception de l'amiral Paul Jones et retrouver l'indication du local où se tenait la loge à cette époque ? SEMPER QUÆRENS.

13

Réponses

Les mémoires de Paul Jones (LI, 945). Plusieurs journaux ont imprimé, ces derniers jours, que l'amiral Paul Jones était mort en 1791, rue de Tournon, no 42. Or, la rue de Tournon n'a pas, actuellement, de no 42. Et d'après un plan de 1793 que je viens de consulter, elle avait alors les mêmes limites qu'aujourd'hui, par conséquent, à peu près le même nombre de maisons. Quelle serait donc la maison de la rue de Tournon qu'il y aurait lieu d'identifier avec celle qu'habitait Paul Jones lors de son décès?

[ocr errors][merged small]

V. A. T.

Il existe aux Archives nationales, sous la cote MM 851, un beau volume portant le titre Extrait du journal des services principaux de Paul Jones dans la Révolution des Etats-Unis d'Amérique, écrit par lui-même, et présenté avec un profond respect au très illustre prince Louis XVI. C'est un manuscrit in-4° de 117 pages, d'une très belle écriture, et très luxueusement relié en maroquin rouge, aux armes du Roi. Ce document est incontestablement authentique, car il contient la lettre d'envoi écrite en anglais que l'auteur adressa à Louis XVI, avec l'exemplaire qu'il lui destinait. Elle est signée de la main même de Paul Jones qui le prie d'accepter << cet exemplaire original comme ayant été écrit de sa main, à son intention particulière ». Nous avouons n'avoir lu pas ce << Journal » du «< chevalier » Paul Jones, dont on vient de promener le cadavre plus ou moins identifié, avec tant de pompe, sans trouver que le <«< chevalier » aurait peut-être gagné à ne pas être aussi bruyamment son propre thuriféraire. Car cet « Amiral » ne fut après tout qu'un corsaire heureux et brave auquel il manqua peut-être la simplicité de Jean-Bart et la bonhomie de Surcouf.

Ce << Journal » est sans doute, comme le texte l'indique d'ailleurs, un extrait ad usum principis du « Journal » original qu'avait écrit Paul Jones, et qui, après sa mort, s'est trouvé, avec sa correspondance, revenir à sa nièce, madame Janet Taylor. Ces documents étaient encore en 1896, me dit-on, entre les mains d'une dame Gombaut, arrière-petite-nièce du corsaire.

14

Une édition en avait paru à Edimbourg en 1830.

D'après la préface de l'éditeur du petit in-12 des « Mémoires » qui se trouve à la Bibliothèque nationale, Paul Jones n'avait pas fait publier ses « Mémoires », mais s'était contenté d'en faire tirer quelques exemplaires destinés aux personnages avec lesquels il avait été en relations, et l'exemplaire, dédié au Roi, proviendrait de la fameuse armoire de fer des Tuileries. Nous n'avons pu trouver trace de ce renseignement dans l'inventaire de l'Armoire de fer, qui a été mis obligeamment à notre disposition aux Archives nationales. Dr G. BASCHET.

Armure de François Ier (LI, 890, 955)-On m'a montré à Vienne et à Madrid des pièces de l'armure que portait François Ier à Pavie. Je me souviens entre autres du magnifique écu triangulaire orné d'un coq et d'une épée qui sont conservés à l'Armeria-Réal, de Madrid. D D'autre part, l'armure complète dont parle le correspondant A. B. X. passe pour être celle qui,au lendemain de la bataille, fut envoyée comme trophée à l'Empereur et qui, conservée à Insprück, en fut ramenée par les Français en 1806. Qu'est-ce alors que celle que nous montrent les guides du Musée de Vienne?

D'autre part, l'écu de l'Armeria Réal est-il celui de Paris? Et il y a encore cette fameuse armure de François Ier qui figurait à Boulogne, à la grande fête de la Légion d'honneur, le 16 août 1804 (Voir Mémoires de Mme d'Abrantès).

Et puis enfin cette fameuse épée de Pavie, (1) que Charles-Quint conserva lorsqu'il fit don à son frère Ferdinand, de l'armure de son captif, et qui, rentrée en possession de la France, lors de la prise de Madrid en 1802, resta à Paris après 1815. M. R.

M. Marcel Niké a publié en 1902, chez Firmin Didot, un volume: Florence historique, artistique, monumental.

Jamais, dans aucune langue, il n'a paru sur Florence un livre renfermant autant d'erreurs matérielles.

(1) Celle que Charles de Lannoi reçut, genoux en terre, des mains du roi vaincu.

15

Ainsi, au musée national dit Bargello, l'auteur signale spécialement un casque et une rondache exécutés par Benvenuto Cellini pour François Ier, roi de France. Ces objets ne sont pas de Cellini et n'ont pas été faits pour François Ier.

[ocr errors]

GERSPACH.

Le dernier registre de la Bastille (LI, 889). Le dernier registre de la Bastille, que j'ai vu, en effet, entre les mains de notre regretté et très érudit collaborateur Bégis, était un document d'une haute importance. Son propriétaire le savait bien qui l'avait fait relier en parchemin blanc avec les armes de France, frappées en or sur les plats. On lui en avait offert, disait-il, 30.000 fr, en Amérique. Il avait essayé de négocier cette vente à Paris, avec nos établissements municipaux ou nationaux, mais ceux-ci n'avaient pas de crédits suffisants pour se permettre une telle acquisition. L'heureux collectionneur l'eût cédé à moins de 30.000 fr.à la Ville de Paris et il eût encore réalisé un très appréciable bénéfice; il l'avait eu dans des conditions exceptionnelles.

J'ai su que les pourparlers renoués après sa mort ont dû échouer. On prétend que ce document si précieux a trouvé un nouvel acquéreur et a quitté la France.

Il ne reste pas moins toujours à dire par quel bizarre chemin il était allé à Londres. B.

Un livre ignoré sur Louis XVII (L; LI, 18, 63, 124, 176, 232, 293, 462, 511, 617, 679). Sous le titre Fleur de Lys, M. Osmond vient de rééditer une brochure parue en 1897, pour la défense des idées naundorffistes (Daragon éditeur). C'est une œuvre d'un très vif entrain, qui mène allègrement l'assaut contre les adversaires, et qui suppose, chez son auteur, une vaste érudition. Quelque opinion que l'on ait de la mort du dauphin, c'est un livre qu'il faut avoir lu : il est parmi les plus vigoureux etles plus clairs.

C'est M. Osmond qui avait soutenu que l'impératrice Eugénie croyait à la survivance, qu'elle en avait témoigné devant témoins. L'anecdote était de M. d'Hérisson.

M. Osmond reproduit la note très catégorique que M. Germain Bapst a été autorisé à donner à l'Intermédiaire et qui est

[blocks in formation]

Je lis dans le Cabinet noir un propos que vous mettez dans la bouche de l'Impératrice, relativement à Louis XVII. Votre mémoire, comme toujours, vous a merveilleusement bien servi. L'impératrice se trouvant à Chislehurst pendant la période 1870-1871, a en effet, tenu ce propos devant mes deux sœurs, Mme de Serre et Mme de Saulcy, dames du palais de Sa Majesté, et devant ma nièce et mon neveu qui n'ont pas quitté l'impératrice depuis le 7 septembre 1870 jusqu'au mois de juillet 1871. Mille amitiés de votre dévoué BILLING.

M. Osmond ajoute :

Alors, monsieur Bapst, c'est M. le baron de Billing qui a travesti la vérité. Car enfin il n'aurait pas toléré lui ou sa famille, et ce depuis tantôt vingt ans, que M. le comte d'Hérisson lui attribuât une lettre fausse ? Dites.

Mais non, monsieur, la vérité est sans doute que Mmes de Serre et de Saulcy ont été taxées d'indiscrétion et se mordent les lèvres.

Ça arrive souvent.

Il ne faut pas oublier que c'est l'auteur même du propos, c'est-à-dire l'impératrice Eugénie qui proteste ne pas l'avoir

tenu.

Le général Lassalle (LI, 946). L'auteur du Mieux, conte moral est un homonyme. C'est Adrien Nicolas, marquis de la Salle, né à Paris en 1735, général de brigade, chef de la 4° demi-brigade des vétérans, paroisse Saint-Paul, retraité en 1810 et décédé vers 1817.

Précédemment il avait occupé les emplois suivants: commandant en chef de la force armée de Paris le 13 juillet 1789, maréchal de camp, 1er mars 1791, appelé à un commandement à Saint-Domingue en juin 1792.

J'ai eu entre les mains la pétition cidessous que je reproduis intégralement : Lasalle, général de brigade, Com' les vétérans nationaux près le Directoire exécutif.

Aux membres composant le directoire
17 ventôse an VII

C'est hyer que vous l'avez planté
L'arbre saint de la liberté
Pour obtenir son ombre salutaire;
Oublierez vous le jardinier
Dont le zèle osa,le premier,

« السابقةمتابعة »