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" Il avait défendu à son conducteur de le nommer sur la route ; mais l'air de noblesse répandu sur son visage et dans toute sa personne suffisait pour intéresser. Arrivé le soir dans un village, son guide s'arrêta à la porte d'une maison qui , quoique... "
Bélisaire, suivi de mélanges en prose et en vers - ÇáÕÝÍÉ 8
ÈæÇÓØÉ Jean-François Marmontel - 1825 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 204
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Bélisaire

Jean François Marmontel - 1796 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 272
...répandu sur son visage & dans toute sa personne, suffisoit pour intéresser. Arrivé le soir dans un village, son guide s'arrêta à la porte d'une maison, qui, quoique simple, avoit quelque apparence. Le maître du logis rentroit, avec sa bêche à la main. Le port, les traits...

Bélisaire

Jean-François Marmontel - 1796 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 346
...répandu sur son visage & dans toute sa personne, suffisoit pour intéresser. Arrivé le soir dans un village, son guide s'arrêta à la porte d'une maison, qui, quoique simple, avoit quelque apparence. Le maître du logis rentroit, avec sa bêche à la main. Le port, les traits...

oeuvres completes de marmontel de l'academie francaise nouvelle edition

Tome Septieme - 1819 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 558
...répandu sur son visage et dans toute sa personne suffisait pour intéresser. Arrivé le soir dans un village , son guide s'arrêta à la porte d'une...répondit Bélisaire. Un soldat! dit le villageois , et voila votre récompense ! C'est le plus grand malheur d'un souverain, dit Bélisaire, de ne pouvoir...

Choix des Contes moraux de J.F. Marmontel, précédé d'une notice sur la vie ...

Jean François Marmontel - 1825 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 420
...s'arrêta devant une maison qui, quoique simple, avoit quelque apparence. Le maître du logis rentroit avec sa bêche à la main. Le port, les traits de...vieillard fixèrent son attention. Il lui demanda ce qu'il étoit. Je suis un vieux soldat, répondit Bélisaire. Un soldat! dit le villageois; et voilà votre...

Beautés des prosateurs français; ou, Lecons et modèles de littérature en ...

Guyet de Fernex - 1843 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 576
...répandu sur son visage et dans toute sa personne suffisait pour intéresser. Arrivé le soir dans un village, son guide s'arrêta à la porte d'une maison qui, quoique simplp, avait quelque apparence. pour lui. Cette réponse émut le cœur du villageois : il of frit...

Beautés des écrivains français, anciens et modernes, prose et poésie, par A ...

Écrivains français - 1848 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 364
...dépouilla de ses biens et lui fit crever les veux, et que le réros fut réduit à mendier son pain. un village, son guide s'arrêta à la porte d'une...main. Le port, les traits de ce vieillard fixèrent sou attention. Il lui demanda ce qu'il était. Je suis un vieux soldat, répondit Bélisaire. Un soldat...

The Classic French Reader

M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - 1857 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 394
...répandu sur son visage et dans toute sa personne suffisait pour intéresser. Arrivé le soir dans un village, son guide s'arrêta à la porte d'une...rentrait, avec sa bêche à la main. Le port, les traits do ce vieillard fixèrent son attention. Il lui demanda ce qu'il était. Je suis un vieux soldat, répondit...

The Classic French Reader: Or, Beauties of the French Writers, Ancient and ...

M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - 1873 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 388
...répandu sur son visage et dans toute sa personne suffisait pour intéresser. Arrivé le soir dans un village, son guide s'arrêta à la porte d'une...quelque apparence. Le maître du logis rentrait, avec sa boche à la main. Le port, les traits de ce vieillard fixèrent son attention. Il lui demanda ce qu'il...

A graduated French reader

Paul Eugène É Barbier - 1880 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 180
...répandu sur son visage et dans toute sa personne suffisait pour intéresser. Arrivé le soir dans un village, son guide s'arrêta à la porte d'une...quelque apparence. Le maître du logis rentrait, avec sa hache à la main. Le port, les traits de ce vieillard fixèrent son attention. Il lui demanda ce qu'il...

A graduated French reader

Paul Eugène É Barbier - 1881 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 200
...d'une maison, qui, quoique simple, avait quelque apparence. Le maître du logis rentrait, avec sa hache à la main. Le port, les traits de ce vieillard fixèrent...soldat," répondit Bélisaire. " Un soldat ! " dit te villageois, " et voilà votre récompense !" " C'est le plus grand malheur d'un souverain," dit...




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