SUR LES ARTS IMITATEURS EN GÉNÉRAL, ET SUR LA DANSE EN PARTICULIER, DÉDIÉES A SA MAJESTÉ L'IMPÉRATRICE Chez LÉOPOLD COLLIN, Libraire, rue Gît-le-Cœur, no. 4. 1807. A SA MAJESTÉ L'IMPERATRICE ET REINE, MADAME, Tous les Arts, tous les Talens doivent leur hommage à VOTRE MAjesté IMPÉRIALE, tous aspirent à l'honneur de déposer aux pieds de leur auguste Protectrice le tribut de leur respect, et les fruits de leurs veilles. En daignant me permettre, MADAME, de faire paroître mon Ouvrage sous vos auspices, c'est lui assurer le plus brillant succès, et cette faveur est la récompense la plus flatteuse et la plus honorable de ma longue carrière. Les bienfaits, MADAME, que votre main répand sur les talens, ceux qu'elle accorde aux infortunés qui réclament vos bontés, rendent VOTRE MAJESTÉ IMPÉRIALE aussi chère à tous les Français, qu'ils sont fiers de la gloire et des triomphes de votre Illustre Epoux, Vainqueur et Pacificateur de l'Europe. Je suis avec le plus profond respect, MADAME, De Votre Majesté Impériale et Royale, Le très-humble, très-obéissant NOVERRE. |