Oeuvres complètes de Rollin, ÇáãÌáÏ 4F. Didot, 1821 |
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ÇáÕÝÍÉ 3
... un sceptre qu'il croyait lui être dû . Les crimes les plus noirs ne coûtent rien à un ambitieux . Celui - ci résolut d'égorger son frère dans le temple même , en présence de toute la cour , dans le moment qu'il quitterait sa robe pour ...
... un sceptre qu'il croyait lui être dû . Les crimes les plus noirs ne coûtent rien à un ambitieux . Celui - ci résolut d'égorger son frère dans le temple même , en présence de toute la cour , dans le moment qu'il quitterait sa robe pour ...
ÇáÕÝÍÉ 11
... qu'autant qu'ils lui étaient utiles , et il faisait de la so- ciété un trafic , dans lequel il voulait attirer tout à lui . Sa vie a été un mélange perpétuel de bien et de mal . Ses saillies pour la vertu étaient mal soutenues , et dé ...
... qu'autant qu'ils lui étaient utiles , et il faisait de la so- ciété un trafic , dans lequel il voulait attirer tout à lui . Sa vie a été un mélange perpétuel de bien et de mal . Ses saillies pour la vertu étaient mal soutenues , et dé ...
ÇáÕÝÍÉ 21
... un Dieu , qu'elles lui fissent des sacrifices , et qu'on chantât des hymnes et des can- tiques en son honneur . Les Samiens ordonnèrent , par un décret public , que les fêtes qu'ils célébraient en l'honneur de Junon , et qui portaient ...
... un Dieu , qu'elles lui fissent des sacrifices , et qu'on chantât des hymnes et des can- tiques en son honneur . Les Samiens ordonnèrent , par un décret public , que les fêtes qu'ils célébraient en l'honneur de Junon , et qui portaient ...
ÇáÕÝÍÉ 24
... qu'il avait voués à ce dieu avant ses combats . Ce pélerinage n'était qu'un prétexte , qui couvrait la peine qu'il avait de vivre en simple particulier à Sparte , et d'y subir le joug de l'obéissance , lui qui jusque - là avait toujours ...
... qu'il avait voués à ce dieu avant ses combats . Ce pélerinage n'était qu'un prétexte , qui couvrait la peine qu'il avait de vivre en simple particulier à Sparte , et d'y subir le joug de l'obéissance , lui qui jusque - là avait toujours ...
ÇáÕÝÍÉ 29
... que les affaires demandaient un roi tel que Cyrus , magni- fique et libéral , qui aimât la guerre , et qui comblât de bien ses serviteurs ; et que la grandeur de l'empire avait besoin d'un roi plein d'ambition et de courage pour en ...
... que les affaires demandaient un roi tel que Cyrus , magni- fique et libéral , qui aimât la guerre , et qui comblât de bien ses serviteurs ; et que la grandeur de l'empire avait besoin d'un roi plein d'ambition et de courage pour en ...
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affaires Agésilas Alcibiade amis amphictyons Anciens armée armes Artaxerxe Athènes Athéniens athlètes avaient Barbares bataille c'était célèbre cents chevaux chose citoyens Cléarque combat comédie commandement Conon courage course Cyrus d'Artaxerxe d'Athènes déja Delphes devant Dieu dieux Diod dit-il Divinité donner ennemis éphores Évagore exercices faisait fêtes fût gens gloire gouvernement grace græc Grecs guerre Hist hommes jeunes jeux jour juges l'armée Lacédémone Lacédémoniens laissa liberté lieu lois long-temps Lycurgue Lysandre magistrats maître marque ment mille Minos mort n'avait n'était nombre olympiques oracles ordinaire parasanges parler Parysatis passer patrie Perses personne peuple Pharnabaze philosophe Platon Plut Plutarque poëtes porter pour-lors pouvait premier prince public Quæst quàm religion rendre république rien rois s'était sage secours sentiments seul Socrate soin soldats Solon sorte Sparte stades sur-tout temple Téribaze théâtre Thimbron Tissapherne tragédie trente tyrans troupes trouver tyrans vainqueur vaisseaux victoire Xenoph Xénophon καὶ
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ÇáÕÝÍÉ 453 - Chacun, peint avec art dans ce nouveau miroir, S'y vit avec plaisir, ou crut ne s'y point voir : L'avare, des premiers, rit du tableau fidèle D'un avare souvent tracé sur son modèle; Et mille fois un fat finement exprimé, Méconnut le portrait sur lui-même formé.þ
ÇáÕÝÍÉ 430 - Eschyle dans le chœur jeta les personnages, D'un masque plus honnête habilla les visages, Sur les ais d'un théâtre en public exhaussé, Fit paraître l'acteur d'un brodequin chaussé...þ
ÇáÕÝÍÉ 428 - La tragédie , informe et grossière en naissant , N'était qu'un simple chœur où chacun , en dansant Et du dieu des raisins entonnant les louanges , S'efforçait d'attirer de fertiles vendanges. Là , le vin et la joie éveillant les esprits , 65 Du plus habile chantre un bouc était le prix*. Thespis5 fut le premier qui, barbouillé de lie...þ
ÇáÕÝÍÉ 259 - II peut tout sur les peuples ; mais les lois peuvent tout sur lui. Il a une puissance absolue pour faire le bien , et les mains liées dès qu'il veut faire le mal.þ
ÇáÕÝÍÉ 344 - Il n'y avait rien de plus délicieux à voir que leur ville, où les fêtes et les jeux étaient perpétuels, où l'esprit, où la liberté et les passions donnaient tous les jours de nouveaux spectacles.þ
ÇáÕÝÍÉ 343 - Lacédémone, l'argent était méprisé. Comme toutes ses lois tendaient à en faire une république guerrière, la gloire des armes était le seul charme dont les esprits de ses citoyens fussent possédés.þ
ÇáÕÝÍÉ 259 - Il doit être au- dehors le défenseur de la patrie , en commandant les armées ; et au-dedans, le juge des peuples, pour les rendre bons, sages, et heureux. Ce n'est point pour lui-même que les dieux l'ont fait roi ; il ne l'est que...þ
ÇáÕÝÍÉ 343 - Athénien *, et qui connaissait admirablement le naturel de son pays, nous apprend que la crainte était nécessaire à ces esprits trop vifs et trop libres, et qu'il n'y eut plus moyen de les gouverner quand la victoire de Salamine les eut rassurés contre les Perses. Alors deux choses les perdirent : la gloire de leurs belles actions, et la sûreté où ils croyaient être. Les magistrats n'étaient plus écoutés ; et comme la Perse était affligée par une excessive sujétion , Athènes, dit...þ
ÇáÕÝÍÉ 291 - Je jure de ne jamais détruire aucune des villes du corps « des Amphictyons, et de ne pas détourner le lit ou empêcher «l'usage de leurs eaux courantes, ni en temps de paix, ni en «temps de guerre.þ
ÇáÕÝÍÉ 259 - Il doit être au dehors le défenseur de la patrie, en commandant les armées; et au dedans le juge des peuples, pour les rendre bons, sages et heureux. Ce n'est point pour luimême que les dieux l'ont fait roi; il ne l'est que pour être l'homme des peuples; c'est aux peuples qu'il doit tout son temps, tous ses soins, toute son affection; et il n'est digne de la royauté qu'autant qu'il s'oublie luimême pour se sacrifier au bien public.þ