HISTOIRE DE FRANCE1871 |
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¹ App Aquitains armée Arvernes avaient barbares barons Basques bataille Bourgogne Bretagne Bretons Brunehaut c'était Cambriens celtique cent César Champagne Charlemagne Charles le Chauve chef cheval Chilpéric chose chrétiens Clotaire Clovis comte conquête croisade d'Angleterre d'Ostrasie Dagobert devait Dieu druides druidisme ecclésiastique églises empereurs enfants ennemis évêques femme féodale fils Flandre Frédégonde frère Galles Gaule Gaulois génie germanique Gondovald Gontran Goths Grecs Grégoire de Tours guerre Guillaume Henri hommes Irlandais Jean Jérusalem Kenterbury l'Aquitaine l'Église l'empereur l'Empire l'évêque l'Irlande l'Italie laissa langue Lombards Lothaire Louis VII lui-même main ment Midi mille monde Montfort mort moyen âge n'était nations Neustrie Nord Normands pape passer pays Pélage Pepin père peuple prêtres prince provinces race Reims reste rien rois Romains Rome royaume s'était saint Colomban saint Louis Sarrasins Saxons seigneurs semble serfs seul siècle soldats terre terrible Theudebert Theuderic tion Toulouse tribus trouva vaincus voulait
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ÇáÕÝÍÉ 200 - Pro Deo amur et pro Christian poblo et nostro commun salvament, d'ist di in avant, in quant Deus savir et podir me dunat, si salvarai eo cist meon fradre Karlo et in...þ
ÇáÕÝÍÉ 246 - Lorsqu'il est parfait, ils relèvent et le soutiennent en l'air par leurs sifflements; c'est alors qu'il faut s'en emparer avant qu'il ait touché la terre. Un homme, aposté à cet effet, s'élance, reçoit l'œuf dans un linge, saute sur un...þ
ÇáÕÝÍÉ xxiv - Peuples de guerre et de bruit, ils courent le monde l'épée à la main, moins, ce semble, par avidité que par un vague et vain désir de voir, de savoir, d'agir; brisant, détruisant, faute de pouvoir produire encore. Ce, sont les enfants du monde naissant; de grands corps mous, blancs et blonds; de l'élan, peu de force et d'haleine; jovialité féroce, espoir immense; vains, n'ayant rien encore rencontré qui tînt devant eux.þ
ÇáÕÝÍÉ 202 - Où est l'archevêque ? — Le voici, répondit Becket ; mais il n'ya pas de traître ici. Que venez-vous faire dans la maison de Dieu avec un pareil vêtement ? quel est votre dessein ?— Que tu meures.þ
ÇáÕÝÍÉ 264 - C'était encore un de leurs plaisirs de salir, de briser les images du Christ, de lui casser les bras et les jambes, de le traiter plus mal que les Juifs à la Passion. Ces routiers étaient chers aux princes, précisément à cause de leur impiété, qui les rendait insensibles aux censures ecclésiastiques.þ
ÇáÕÝÍÉ 51 - Les nations peuvent se classer comme les animaux. La jouissance commune d'un grand nombre de parties, la solidarité de ces parties entre elles, la réciprocité de fonctions qu'elles exercent l'une à l'égard de l'autre, c'est là la supériorité sociale. C'est celle de la France, le pays du monde où la nationalité, où la personnalité nationale, se rapproche le plus de la personnalité individuelle.þ
ÇáÕÝÍÉ 94 - Godwin, tranquille dans les contrées méridionales de l'Angleterre , vit arriver près de lui un messager de Normandie qui lui parla en ces termes : « Guillaume , duc des Normands , te « rappelle le serment que tu lui as juré , de ta « bouche et de ta main , sur de bons et saints reþ
ÇáÕÝÍÉ 469 - Toutefois je ne tardai pas à m'apercevoir dans le silence apparent de ces galeries, qu'il y avait un mouvement, un murmure qui n'était pas de la mort. Ces papiers, ces parchemins laissés là depuis longtemps ne demandaient pas mieux que de revenir au jour. Ces papiers ne sont pas des papiers, mais des vies d'hommes, de provinces, de peuples.þ
ÇáÕÝÍÉ 128 - Brunehaut, fille, sœur, mère, aïeule de tant de rois, fut traitée avec une atroce barbarie; on la lia par les cheveux, par un pied et par un bras, à la queue d'un cheval indompté qui la mit en pièces. On lui reprocha la mort de dix rois ; on lui compta par-dessus ses crimes, ceux de Frédégonde.þ