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4.0 L est muette dans les mots suivans:

Calf, Falk,

half, psalm,

walk,
salmon,

chalk.

5.0 M est quelquefois changée en ǹ, comme cela se pratiqué en français. Exemple : accompt, accomtant, prononcez acónt acon

tant, etc,

6. P ne se pronnonce point dans psalm, psalmist, psalter, receipt, ni dans les mots où il se trouve placé entre m et t; comme dans les mots accompt, accomptant, tempt, empty, symptom, etc., qu'il faut prononcer acont, acontant, temt, emty, symtom, etc. 7.° S est nulle dans les mots suivans: carlisle, lisle, viscount, isle, island; prononcez carlile, lile, vicont, ile, illand. En français, cette consonne se prononce comme z lorsqu'elle est entre deux voyelles, et s lorsqu'elle est précédée d'une consonne; cette règle est générale, sur-tout lorsque la syllabe formée par l's se termine par ion; ainsi les mots français, évasion, persuasion, se prononcent évazion, persuazion, et ceux-ci, où l's est précédée d'une consonne conversion, dimension, se prononcent comme ils sont écrits. En anglais, c'est tout le contraire: si la syllabe sion est précédée d'une voyelle, il faut prononcer l's durement, à-peuprès comme ch français; mais si cette syllabe est précédée d'une consonne, I's alors doit être prononcée plus doucement : ainsi ces deux mots, conversion, dimension, seront prononcés comme s'ils étoient écrits con-ver-sienne, dim-men-sienne, et ceux-ci, érasion, persuasion, seront articulés evaichienne, persuéchienne.

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8.0 T est sujet à la même exception que l's dans la terminaison tion; c'est-à-dire, que quand cette terminaison est précédée d'une voyelle, elle se prononce exactement comme sion: ainsi, les mots nation station seront prononcés, néi-chienne, stêi-chienne; le t aura mais si cette terminaison est précédée d'une consonne l'articulation naturelle de l's; ainsi le mot restriction se prononcera restric-sienne: il faut excepter le mot bastion, qui se prononce bastienne.

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Remarque sur les terminaisons ion, ious, etc.

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dans la

prononinduit souvent

La ressemblance qu'il y a entre l's, let et le ciation des syllabes terminées en ion, ious, etc., en erreur pour l'orthographe : l'on ne s'y trompera point en faisant attention aux règles suivantes :

1.o Les mots terminés en ion sont toujours des dérivés.

2.o S'ils dérivent de mots terminés par de, ss, ou se, la syllabe doit être écrite par une s. Exemple : to persuade, persuader; écrivez persuasion, persuasion : écrivez confusion, confusion.

3.o S'ils dérivent de mots terminés par c ou ce, la syllabe sera

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écrite par un c. Exemple: music, musique; écrivez musician, musicien grace, grace; écrivez gracious gracieux.

4.o Enfin, s'ils dérivent de mots terminés en te ou ct, servezvous d'un t. Exemple: resolute, résolu, restrict, restraint; écrivez restriction, restriction; resolution, résolution.

Mais dans les mots to permit, permettre, to submit, soumettre, écrivez, comme en français, permission, submission.

Quelques observations sur les doubles consonnes et les diphthongues.

1.o Ch se prononce comme en français dans les mots empruntés de cette langue, comme chagrin, debauch, machine, chaise, capuchine, capuch, chevalier, etc.

Il se prononce k dans les mots empruntés du grec, du latin et des autres langues, comme archangel, archippus, architect, character, chimist, sepulchre, chronicle, chronology, christ, christian: excepté ceux-ci, archbishop, archdeacon, rachel et cherubin, dans lesquels le ch est prononcé tche.

Lorsque cette double consonne, dans les mots anglais, est précédée d'une l ou d'une n, l'on est forcé de la prononcer comme en français, parce qu'il serait prodigieusement difficile, pour ne pas dire impossible, de l'articuler tche: cette expression est sensible dans les mots welch, belch, etc.

2.o Gh, comme nous l'avons observé, ne se fait point entendre à la fin des mots où il est précédé d'un i, mais lorsqu'il s'y rencontre précédé de ou ou au ce qui est asssez rare, il fait l'effet de ff. Exemple enough, assez, cough, toux, laugh, rire, laughing, riant, etc., prononcez enôff, côff, láff, laffing.

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Gh se prononce encore comme un o à la fin des noms propres. Exemple: Edinburgh, dites Edinburo.

3.o Th se prononce comme en français dans Thames, Thomas. 4. La diphthongue ea est susceptible de trois sons différens : le plus général est i, comme nous l'avons indiqué ci-devant, page 11. Le deuxième est e français, dans les mots breast, head, death, etc., qui se prononcent brest, hed, deth, etc. Le troisième est a français dans les mots heark, hearken, heart, et leurs dérivés, qu'il faut prononcer hark, harken, hart. L'habitude de lire l'anglais sous les yeux d'un bon maître, fera aisément distinguer les circonstances où chacun de ces sons doit avoir lieu.

5.o Ie, outre le son qui lui est naturel, se prononce encore comme l'e français dans quelques mots, comme fierce, pierce, friend, etc., dans lesquels on ne fait entendre que ferce, perce, frend, etc.

6.o Oo se prononce 6 dans un très-petit nombre de circonstances: les mots blood, flood, door, floor, se prononcent blôd, flôd, dôr flor, etc. etc.

SECTION

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SECTION CINQUIÈME ET DERNIÈRE.

De la manière d'épeler ou de diviser les mots en syllabes.

On connoît en général le nombre de syllabes dont un mot est composé, par celui des voyelles et diphthongues qui se rencontrent dans ce mot. Il ne s'agit donc, pour pouvoir faire une juste appli-. cation des règles que nous avons données sur la prononciation des sons, que de savoir distribuer les mots en syllabes; c'est-à-dire de savoir attribuer à chacune des voyelles d'un mot, les consonnes qui lui sont propres : c'est ce qu'on appelle épeler, ou, ce qui est la même chose, diviser les mots en articulations.

Première Règle.

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Lorsqu'une consonne se trouve placée entre deux voyelles, ou entre une voyelle et une diphthongue, ou enfin entre deux diphthongues, cette consonne appartient à la voyelle ou à la diphthongue qui la suit.

Exemple.

Fa-ces, ra-ces, pa-ges, pri-zes, sta-ges, a-ble, a-ged, qua ker, be-cause, ba-con, pea-cock, ba-ker, bai-liff, sto-ry, taken, rea-dy, rea-son, ba-son, ea-sy, fa-mous, pow-der, ci-der, fa-vour, wo-man, trai-tor, free-dom, fri-day, be-fore, u-sage, ea-ger, ea-gle, so-ber, la-bour, va-lour, sea-son, vi-per, etc. etc.

Deuxième Règle.

Lorsque deux consonnes semblables se rencontrent entre deux voyelles, ou entré une voyelle et une diphthongue, ou entre deux diphthongues, la première appartient à la voyelle qui la précède, et la seconde à celle qui la suit.

Exemple.

Bar-rel, bal-lad, car-ry, fel-low, bet-ter, bit-ten, fol-low, folly, er-ror, chat-ter, cop-per, blos-som, lat-ter, cab-bin, beg-gar, bel-ly, man-ner, mat-ter, mar-row, yel-low, ves-sel, pep-per, vel-lum; writ-ten, wit-ty, pen-ny, pat-tern, of-fer, tor-rent, war-rant, par-rot, rot-ten, rib-bon, mut-ton, shab-by; nar-row, etc. etc. etc.

Troisième Règle.

Lorsque deux consonnes de différentes espèces sont placées entre deux voyelles, ou entre une voyelle et une diphthongue, ou entre deux diphthongues, il faut examiner si ces deux consonnes sont du nombre de celles que nous avons distinguées sous le nom de doubles consonnes initiales, ou si au contraire elles sont de la nature de celles que nous avons appelées doubles consonnes finales ( voyez ci-devant page 8); dans le premier cas, elles appartiennent à la voyelle ou diphthongue qui les suit; dans le second, l'une s'attribue à la voyelle ou diphthongue précédente, et l'autre à la voyelle ou diphthongue suivante.

Exemple.

Pu-blic, a-pron, a-ble, cy-clop, no-ble, peo-ple, ta-ble, reclaim, a-fraid, object, an-ger, ab-sent, bad-ness, for-tune, elbow, elder, mi tre, tri-fle, seldom, doctor, gar-den, em-pire, bot-tom-less, great-ness, hap-py, con-test, au-thor, ac-tor, either, pa-tron, ci-pher, frag-ment, tre-ble, sa-ble, fa-ble, lord, ship, for-ces, cen-sure, hus-band, ad-vance, con-dem-na-ble, inter-ces-sor, i-dle-ness, om-ni-pre-sen-ce, etc. etc. etc.

Quatrième Règle.

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si

Lorsqu'il se rencontre trois consonnes de suite dans un mot les deux dernières forment une double consonne initiale, elles appartiendront à la voyelle ou à la diphthongue suivante; si au contraire, les deux premières seront rapportées à la voyelle ou diphthongue précédente.

Exemple.

An-gle, an-gry, bat-tle, bot-tle, brim-stone, daughter, empty, judgment, king-dom, gentle, can-dle, cat-tle, chil-dren, cir-cle, hun-gry, hack-ney, naughty, ab-stract, neigh-bour, ap plause, parch-ment, sub-stance, migh-ty, mis-chief, mort-gage, sur-prise, trans-form, tram-ple, al-though, con-clude, cons-pire, gold-smith, sub-scribe, friend-ship, bank-rupt.

pro

1.o Lorsque les consonnes s x ou p se rencontrent entre deux voyelles, il faut les attribuer à la voyelle précédente: ainsi noncez oxen, ex-am-ple, , up-on, etc. et non pas o-xen, e-xam-ple, u-pon.

2.o Dans les mots composés, de même que dans les mots dérivés, la syllabe ajoutée n'influe point sur la prononciation du mot primitif; ce mot retient dans chacune de ses articulations le son qui lui est naturel : ainsi prononcez un arm-ed, un-u-sual, in-ure. ud-orn, with-out, with-in, safe-ty, love-ly, name-less, walk

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ing, de-li-ver-ing, etc. etc. parce que les syllabes que nous avons désignées par des lettres italiques, sont ajoutées aux mots primitifs armed, usual, etc. etc.

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S etc.

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Observation générale.

, ar, ess,

etc.

En anglais comme en français, l'on distingue deux sortes de consonnes; savoir, les consonnes muettes et les consonnes liquides. On appelle consonnes muettes, celles qui ne peuvent s'articuler qu'en supposant une voyelle après elle, comme b, c, d, etc. que l'on articule bi, ci, di, etc. On appelle au contraire liquides, celles que, dans la prononciation, l'on fait précéder d'une voyelle, comme ī, m n l'on que ell, em, en prononce Ces consonnes liquides sont aussi appelées demi-voyelles. Lorsque ces demi-voyelles se rencontrent entre deux voyelles. on suit à leur égard, dans la division des syllabes, la première règle que nous avons établie dans la section précédente; mais souvent il faut donner à la syllabe précédente le même son qu'elle auroit, si cette demi-voyelle étoit double. Exemple, banish, épelez ba-nish, mais prononcez ban-nish, comme s'il y avoit deux n. Cette obsetvation est presque sans exception relativement à toutes les consonnes liquides.

Prononcez de cette manière les mots suivans:

Ba-nish, ble-mish, he-rald, ho-nour, mo-ral, se-nate, nou-rish ca-mel, jealous, o-range, si-new, cla-ret, i-mage, le-mon, palace, so-lid, li-mit, pa-tent, pre-face, tri-bute, vo-lume, model, re-lic, re-lish, ra-pid, me-lon, li-nen, pu-nish, finish, prelate, etc. etc.

Table des mots qui, par l'addition d'un e muet, changent de prononciation et de signification.

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