Choix de lectures pour l'année: accompagnées, d'exercices, de questions spéciales et de notes. Semestre 1-2

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C. Delagrave et Ce., 1872

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ÇáÕÝÍÉ 128 - ... montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.þ
ÇáÕÝÍÉ 20 - L'homme superbe est renversé, Ses propres flèches l'ont percé. Une Autre. J'ai vu l'impie adoré sur la terre : Pareil au cèdre, il cachait dans les cieux Son front audacieux ; Il semblait à son gré gouverner le tonnerre, Foulait aux pieds ses ennemis vaincus : Je n'ai fait que passer, il n'était déjà plus.þ
ÇáÕÝÍÉ 88 - En vain l'injuste violence Au peuple qui le loue imposerait silence ; Son nom ne périra jamais. Le jour annonce au jour sa gloire et sa puissance. Tout l'univers est plein de sa magnificence : Chantons, publions ses bienfaits.þ
ÇáÕÝÍÉ 53 - De là sont nés ces bruits reçus dans l'univers, Qu'aux accents dont Orphée emplit les monts de Thrace, Les tigres amollis dépouillaient leur audace ; Qu'aux accords d'Amphion les pierres se mouvaient, Et sur les murs thébains en ordre s'élevaient. L'harmonie en naissant produisit ces miracles.þ
ÇáÕÝÍÉ 132 - Admirez les plantes qui naissent de la terre ; elles fournissent des aliments aux sains et des remèdes aux malades. Leurs espèces et leurs vertus sont innombrables; elles ornent la terre, elles donnent de la verdure, des fleurs odoriférantes et des fruits délicieux. Voyez-vous ces vastes forêts qui paraissent aussi anciennes que le monde? Ces arbres s'enfoncent dans la terre par leurs racines, comme leurs branches s'élèvent vers le ciel.þ
ÇáÕÝÍÉ 120 - AVRIL, l'honneur et des bois Et des mois, Avril, la douce espérance Des fruits qui sous le coton Du bouton Nourrissent leur jeune enfance ; Avril, l'honneur des prés verts, Jaunes, pers, Qui d'une humeur bigarrée Emaillent de mille fleurs De couleurs Leur...þ
ÇáÕÝÍÉ 88 - Tout l'univers est plein de sa magnificence ; Qu'on l'adore, ce Dieu; qu'on l'invoque à jamais: Son empire a des temps précédé la naissance ; Chantons, publions ses bienfaits. UNE voix seule. En vain l'injuste violence Au peuple qui le loue imposerait silence ; Son nom ne périra jamais.þ
ÇáÕÝÍÉ 88 - Le champ qui les reçut les rend avec usure. UNE AUTRE. Il commande au soleil d'animer la nature, Et la lumière est un don de ses mains : Mais sa loi sainte, sa loi pure Est le plus riche don qu'il ait fait aux humains.þ
ÇáÕÝÍÉ 54 - Moi qui l'été dans ces vallons, Venais m'endormir sous un chêne, Au bruit de leurs douces chansons ? Hélas ! si du sein de ma mère, Un méchant venait me ravir, Je le sens bien, dans sa misère, Elle n'aurait plus qu'à mourir.þ
ÇáÕÝÍÉ 15 - Égyptiens, les prêtres et les soldats avaient des marques d'honneur particulières : mais tous les métiers, jusqu'aux moindres, étaient en estime; et on ne croyait pas pouvoir sans crime mépriser les citoyens dont les travaux, quels qu'ils fussent, contribuaient au bien public.þ

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