Dans cette foule, pas un cri, pas une seule de ces clameurs si habituelles aux Chinois, mais bien un silence profond, recueilli, qui est chez eux le signe du respect et de la crainte, et qui nous permettait de saisir le bruit de quelques observations... Souvenirs d'une ambassade en Chine et au Japon en 1857 et 1858 - الصفحة 158 بواسطة marquis de Moges (Alfred) - 1860 - عدد الصفحات: 350 عرض كامل -
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