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derrière les autres, et le troisième, le plus élevé, ornait l'extérieur, et contenait les passages nécessaires et les entrées pour parvenir aux siéges. Les carceres ou celles, logeaient les chars, les chevaux et les bêtes féroces destinées au cirque; elles étaient sur un côté du cirque, numérotées et disposées en diagonales, de sorte qu'elles étaient toutes à une égale distance de l'area. La porte triomphale était du côté opposé aux carcères. La spina était un mur large, mais peu élevé, qui commençait à une distance assez considérable des carcères, et se terminait à une distance moins considérable de la porte triomphale; cette spina était destinée à séparer convenablement les deux parties du cirque dans lesquelles les courses avaient lieu, et à empêcher les chars de passer d'une partie dans l'autre, sans tourner autour de la meta. L'empereur Claude transforma le lac Fucin en naumachie, en faisant placer tout autour des siéges pour les spectateurs.

Les modernes donnent le nom de cirque à des emplacements qui, tantôt par leurs usages, tantôt uniquement par leurs formes, ont quelque ressemblance avec les cirques des anciens. C'est ainsi qu'on appelle de ce nom certains lieux de spectacles, couverts et fermés, qui servent à des exercices de chevaux et à des jeux d'agilité, comme aussi des lieux de réunion et de plaisir, qui n'ont de commun avec les cirques des anciens que l'assemblage des spectateurs.

CITOYEN. POLITIQUE. Titre de l'homme libre en société. L'homme en société est libre, quand il concourt à la formation des lois auxquelles il doit obéir, et que ces droits lui garantissent la pleine jouissance des droits qu'il a reçus de la nature; alors il est citoyen, c'est-à-dire, membre de la cité.

Régis par des ordonnances arbitraires qui tenaient lieu de lois, n'osant ni parler ni écrire, étrangers à toutes les fonctions du gouvernement, les Français n'étaient pas citoyens avant la révolution de 1789, qui leur a rendu l'exercice de leurs droits naturels.

Le vrai citoyen est celui qui aime sa patrie, qui est prêt à lui sacrifier ses propres intérèts, et à la défendre contre tout ce qui peut lui nuire. Son but est vertueux, ses vues sont nobles, et il n'aspire à rien qui ne soit utile. L'intégrité, la pureté de ses pensées lui servent de soutien ; l'amour du prochain et du bien public l'anime dans toutes les circonstances de sa vie. L'opposition qu'il éprouve de la part des mauvais citoyens, sert à le justifier et lui inspire une nouvelle ardeur pour défendre tout ce qui est utile à ses compatriotes. Il est glorieux de réussir dans la défense d'une pareille cause; il

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l'est encore plus de mourir pour elle. Voyez Ri

PUBLIQUE.

La qualité de citoyen ne suppose pas uniquement des droits, elle impose aussi des devoirs, dont personne ne peut s'affranchir saus compromettre en même temps sa liberté et ses autres droits. Voyez CIVISME, DROITS, DEVOIRS.

Les Romains exigeaient, à l'âge de vingt ans, de tous ceux qui étaient nés de parents citoyens, le serment de défendre la patrie et la souveraineté du peuple. Ce serment, que devrait prêter à sa majorité tout citoyen d'un état libre, était conçu en ces termes : « Je porterai les armes avec honneur ; je défendrai tout concitoyen, quel qu'il soit, si

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La politesse suppose de la civilité; mais elle ajoute. Celle-ci regarde principalement le fond des choses, l'autre la manière de les dire et de les faire. La civilité n'est point incompatible avec une mauvaise éducation; la politesse, au contraire, suppose, du moins à bien des égards, une bonne éducation.

La civilité et la politesse sont une certaine bienséance dans les manières et dans les paroles, tendante à plaire et à marquer les égards qu'on a les uns pour les autres. Sans émaner nécessairement du cœur, elles en donnent les apparences, et font paraître l'homme au dehors comme il devrait être intérieurement. C'est, dit la Bruyère, une certaine attention à faire que, par nos paroles et nos manières, les autres soient contents de nous.

CIVISME. POLITIQUE. Caractère de celui qui se dévoue à ses concitoyens, et les sert de tous les

moyens qui sont en son pouvoir. Le civisme est la conduite d'un bon citoyen, le zèle à en remplir tous les devoirs.

Le civisme diffère du patriotisme. Voy. ce mot. CLAIR-OBSCUR. BEAUX-ARTS. Le clair-obscur est l'imitation de l'effet que produit la lumière en répandant des jours sur les surfaces qu'elle frappe, et en laissant dans l'ombre celles qu'elle ne frappe pas.

Chaque objet a en particulier son clair-obscur; mais ce qu'on entend plus ordinairement par ce mot, lorsqu'on parle d'un ouvrage de peinture, c'est l'effet résultant de toutes les lumières, de toutes les ombres, et les rejaillissements dont on a fait usage dans le tableau. Ainsi, le système de clairobscur de tel ou tel peintre est celui qu'il suit le plus ordinairement dans ses ouvrages, en disposant dans un certain ordre qui lui est plus familier les lumières et les ombres pour produire un effet général.

Un moyen d'apercevoir d'un coup d'œil l'effet général du clair-obscur d'un tableau, est de s'en éloigner à une distance telle, que les objets particuliers, éclairés subordonnément, chacun d'après les suppositions établies, n'attachent plus trop les regards, et que les lumières et les ombres principales se présentent à la vue comme par masses, par enchaînement ou par groupes, qui, subordonnés entre eux, satisfassent les regards par un accord, une harmonie et un repos, auxquels se complaît le sens de la vue.

L'art du clair-obscur satisfait entièrement et essentiellement ce sens de la vue, et contribue par là à la satisfaction de l'esprit du spectateur, parce que la vue se complaît dans l'accord des lumières et des ombres; au lieu que les regards sont blessés, pour ainsi dire, par l'éparpillement des lumières et des ombres, et par le manque de liaisons et de subordination entre elles.

CLARIFICATION. CHIMIE. Opération qui a pour but de séparer, sans recourir aux filtres, toute matière étrangère tenue en suspension dans un liquide. L'albumine, la gélatine, les acides, certains sels, la chaux, le sang, l'alcool, le charbon animal, etc., servent à la clarification.

C'est d'albumine ou de gélatine qu'on fait ordinairement usage pour clarifier les liqueurs vineuses; l'albumine, la chaux, le charbon animal, s'em

ploient de préférence pour la clarification des sirops.

CLÉMENCE. PHILOSOPHIE, MORALE. Vertu qui porte à pardonner les offenses de ses inférieurs ou de ses ennemis. La clémence est le pardon des torts et l'oubli des injures; c'est la vertu des rois. Rien

de plus grand que de pardonner, lorsqu'on a l'autorité en main; mais quelque brillante que soit cette prérogative, elle a ses bornes, et il serait trèsdangereux de les franchir.

Dans une république, où l'on a pour principe la vertu, la clémence est moins nécessaire. Dans l'état despotique, où règne la crainte, elle est moins en usage, parce qu'on croit qu'il faut contenir le peuple et les grands par des exemples de sévérité. Dans les monarchies, où souvent l'honneur exige ce que la loi défend, elle est très-nécessaire. « Les monarques, dit Montesquieu, ont tout à gagner par la clémence; elle est suivie de tant d'amour, ils en tirent tant de gloire, que c'est presque toujours un bonheur pour eux d'avoir l'occasion de l'exercer. >> Malheureusement, les souverains sont loin de faire usage, aussi souvent qu'ils le devraient, de cette plus belle de leurs prérogatives.

CLEPSYDRES. PHYSIQUE. Instruments qui donnaient la mesure du temps chez les Romains, et qui consistaient ordinairement en deux vases coniques opposés et communiquant par un petit trou: un des deux était rempli d'eau, et lorsqu'il s'était vidé dans l'autre, il indiquait l'écoulement d'un certain laps de temps; on retournait ensuite l'instrument pour obtenir la niême suite de phénomènes.

On fabrique à Sens des clepsydres en étain, qui passent pour les plus justes et les plus estimées que l'on connaisse.

CLIMAT ASTRONOMIQUE. ASTRONOMIE. Portion ou zone de la surface de la terre, comprise entre deux parallèles, à la fin de laquelle les plus grands jours ont une demi-heure ou un mois de plus qu'au commencement.

Pour entendre cette définition, il faut observer que, sous l'équateur, les plus grands jours ne sont que de 12 heures; et qu'à mesure qu'on avance vers les cercles polaires, les jours augmentent d'une demi-heure par climat. Aux cercles polaires, les plus longs jours sont de 24 heures. Depuis ces cercles ils augmentent, non plus d'une demi-heure, mais d'un mois entier par climat, jusqu'aux pôles, où le jour est de six mois sans y comprendre le crépuscule et l'aurore.

On doit sentir par ce que nous venons de dire, la raison de cette distinction des climats d'heures et des climats de mois. Il y a 24 climats d'heures, ou plutôt de demi-heures, depuis l'équateur jusqu'à chacun des cercles polaires, et 6 de mois, depuis chacun de ces cercles jusqu'au pôle. On compte en tout 60 climats : 30 depuis l'équateur jusqu'au pôle arctique, et autant depuis l'équateur jusqu'au pôle antarctique.

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CLIMAT PHYSIQUE. MÉTÉOROLOGIE. Par le nom de climat physique, on entend la chaleur, le froid, la sécheresse, l'humidité et la salubrité dont jouit un lieu quelconque du globe. Les climats physiques, bien différents des climats astronomiques, sont des parties de la terre, rarement des zones terrestres entières, dans lesquelles règnent une égale chaleur et des phénomènes atmosphériques à peu près semblables.

Les causes de la diversité des climats sont au nombre de neuf: 1° l'action du soleil sur l'atmosphère; 2o la température propre du globe; 3o l'élévation du terrain au-dessus du niveau de l'Océan; 4o la pente générale du terrain et ses expositions locales; 5° la position de ses montagnes relativement aux points cardinaux; 6° le voisinage des grandes mers et leur situation relative; 7° la nature géologique du sol; 8° le degré de culture et de population auquel un pays est parvenu; 9° les vents qui y règnent.

Les principaux climats sont ceux qui dès longtemps ont été indiqués sous le nom de zones. Ils sont au nombre de trois.

1o La ZONE TORRIDE: unique, centrale, contenue entre les deux tropiques, de plus de 1,100 lieues de largeur, coupée en deux parties presque égales par l'équateur, ainsi nommée de la chaleur perpétuelle qui ne cesse d'y régner, chaleur plus grande, a circonstances égales de localité, qu'elle ne l'est jamais en dehors des tropiques. Ici, quand le sol n'est point abandonné à l'ardeur dévorante d'un soleil rarement éloigné de la perpendiculaire, et que les eaux, secondées par l'influence de ce grand foyer, ne s'évaporent pas sans profit pour la végétation, la nature produit avec complaisance, et même avec luxe, les plus pompeuses de ses merveilles et le plus de ces créatures auxquelles ses lois imposèrent des formes prodigieusement variées. La végétation n'y cesse point, la vie dans toute son intensité ne s'y use que par l'exercice continuel de ses propres forces; et quand une mort hâtive y vient atteindre des êtres qui vécurent trop vite, ces êtres sont aussitôt remplacés sans effort par l'effet d'une puissance productrice infatigable.

La zone torride n'éprouve que deux saisons, l'une sèche et l'autre pluvieuse. La première est regardée comme l'été, et l'autre comme l'hiver; mais ces saisons sont en opposition directe avec l'été et l'hiver célestes; car la pluie accompagne tonjours le soleil, de sorte que, lorsque cet astre se trouve dans les signes septentrionaux, les contrées au nord de la ligne ont leur saison pluvieuse.

La chaleur est presque toujours la même à 10 ou 15 degrés de la ligne équinoxiale. Mais, vers les tropiques, on ressent déja une différence entre la température qui règne au moment où le soleil est au zénith, et celle qui a lieu lorsque, dans le solstice opposé, les rayons de l'astre du jour tombent sur un angle qui est plus obtus de 45 degrés ; aussi on pourrait, avec Polybe, diviser la zone torride en trois autres.

Rien n'égale la beauté majestueuse de l'été dans la zone torride. Le soleil s'élève horizontalement ; il traverse en un instant les nuages brûlants de l'orient, et remplit la voûte des cieux d'une lumière éblouissante dont aucune trace d'ombre n'interrompt la splendeur. La lune y brille d'un éclat moins pâle; les rayons de Vénus sont plus vifs et plus purs; la voie lactée répand une clarté plus scintillante. A cette pompe des cieux il faut ajouter la sérénité de l'air, le calme des flots, le luxe de la végétation, les formes gigantesques des plantes et des animaux; toute la nature est plus grande, plus

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animée, et cependant moins inconstante et moins mobile.

2° La ZONE TEMPÉRÉE : double, dont une moitié est au nord de la zone torride; l'autre, s'étendant des deux tropiques aux deux cercles polaires. La largeur de chacune de ses parties est de mille lieues au moins. Dans leurs limites tropicales, elles sont souvent plus chaudes que certaines parties de la torride, tandis que d'autres points de leur surface éprouvent déjà les rigueurs d'un éternel hiver. Les zones tempérées sont dédommagées par les charmes doux et variés du printemps et de l'automne, par les chaleurs modérées de l'été et les rigueurs salutaires de l'hiver; cette succession de quatre saisons n'est point connue au-delà du tropique, ni vers les pôles. Mème la partie de la zone tempérée boréale, qui s'étend entre le tropique et le 35o degré de latitude, ressemble, en beaucoup d'endroits, à la zone torride. Jusque vers le 40o degré, la gelée, dans les plaines, n'est ni forte ni de longue durée; il est également rare d'y voir tomber de la neige, Les contrées élevées ressentent toute la rigueur de l'hiver, et les arbres, même dans la plaine, perdent leur feuillage et leur verdure dans les mois de novembre et décembre. C'est depuis le 40o jusqu'au 60 degré que la succession des quatre saisons se montre plus régulière.

3o La ZONE GLACIALE: également double, dont les deux parties opposées, limitées d'un côté par le cercle polaire, ont les pôles pour centre et non pour extrémité. C'est une région déshéritée, où la nature semble expirer dans les longueurs alterna- . tives de jours sans éclat ou dans la profondeur de ténèbres humides. On n'y connaît en général que deux saisons: un long et rigoureux hiver, auquel succèdent quelquefois brusquement des chaleurs insupportables. Des neiges éternelles y réfléchissent une lumière égarée au bruit confus du déchirement des montagnes de glace contre lesquelles se brisent en mugissant des flots qui deviennent aussitôt solides. Lieux où la vie ne saurait s'acclimater, où des rayons épars dans une atmosphère brumeuse donnent, au sein des nuits de plusieurs mois, une imparfaite image de nos aurores, tandis que des vapeurs épaisses et des nuages glacés s'élevant de la surface des mers à l'aspect d'un soleil toujours présent sur l'horizon, viennent obscurcir l'astre qui partout ailleurs féconde l'univers.

La température diminue et augmente en raison de l'éloignement ou du rapprochement des zones climatériques de l'équateur, mais non pas dans une proportion régulière et progressive, ni dans l'un

ni dans l'autre hémisphère, ni sous la même bande de climat ou la même latitude. Un grand nombre de causes dérangent cette régularité, telles que la forme du sol, sa nature, son élévation, le voisinage des forêts, des fleuves, des marais, des lacs et des mers. Ainsi, à l'est de la France, où se trouvent des chaines de montagnes élevées, la vigne croît sur leur penchant, beaucoup plus vers le nord qu'à l'occident du même royaume. Paris est bien plus tempéré que Vienne et Ratisbonne, villes d'Allemagne situées à quelques minutes de différence en latitude. Les plages de l'Amérique septentrionale situées sous les latitudes de la France, sont aussi froides que les plages de la Suède et de la Russie situées au 55 ou 60 degré de latitude nord. Les zones de l'hémisphère boréal sont bien plus tempérées que les zones de l'hémisphère austral comprises dans les mêmes parallèles. Ainsi, sous les mêmes latitudes on rencontre des climats différents, et partout des influences locales qui semblent contrarier les influences astronomiques.

En agriculture, on restreint le nom de climat à la portion du pays qui fournit les mêmes productions. Ainsi, on divise la France en climat des orangers, climat des oliviers, climat du maïs, climat de la vigne. Chacun de ces climats a une étendue déterminée par l'uniformité des influences locales et des productious végétales. On trouve à peu près vingt jours de différence entre le climat du midi de la France et celui du nord, pour l'époque de la floraison des végétaux et pour celle de la maturation de leurs fruits. A Marseille, la végétation est aussi avancée au 15 février qu'à Paris au 10 mars; la fauchaison commence en juin; les moissons, en juillet; la vendange, du 25 août au 1o septembre. Ces époques sont plus reculées à l'est de la France qu'à l'ouest, et cette différence est de 10 jours au moins, ce qui dépend évidemment de la plus grande élévation de la partie de l'est audessus du niveau de l'Océan, et du voisinage des chaînes de montagnes, telles que les Vosges et le Jura. Voy. AIR, ATMOSPHÈRE, Température.

Afin de compléter l'aperçu que nous venons de donner sur les climats physiques, qui sont d'une si grande importance pour le géographe, nous emprunterons au Tableau des bandes isothermes de M. le baron de Humboldt, les principaux éléments relatifs à la température qu'éprouvent plusieurs villes à différentes latitudes. Il offrira à nos lecteurs les moyens de comparer entre eux tous les pays de la terre d'après les faits les plus positifs recueillis par la météorologie.

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