Histoire de France, ÇáãÌáÏ 2

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L. Hauman, 1834

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ÇáÕÝÍÉ 293 - Italie, vingt centres de science et d'art; il n'en a qu'un, un de vie sociale. L'Angleterre est un empire, l'Allemagne un pays, une race ; la France est une personne.þ
ÇáÕÝÍÉ 146 - Louis et du parti franc se brisèrent, en 945, contre le petit duché de Normandie. Le roi, vaincu en bataille rangée, fut pris avec seize de ses comtes, et enfermé dans la tour de Rouen, d'où il ne sortit que pour être livré aux chefs du parti national, qui l'emprisonnèrent à Laon.þ
ÇáÕÝÍÉ 173 - XIV; fort, arsenal et bagne, canons et vaisseaux, armée et millions, la force de la France entassée au bout de la France : tout cela dans un port serré , où l'on étouffe entre deux montagnes chargées d'immenses constructions. Quand vous parcourez ce port, c'est comme si vous passiez dans une petite barque entre deux vaisseaux de haut bord; il semble que ces lourdes masses vont venir à vous et que vous allez être pris entre elles. L'impression générale est grande, mais pénible. C'est un...þ
ÇáÕÝÍÉ 294 - Les nations peuvent se classer comme les animaux. La jouissance commune d'un grand nombre de parties, la solidarité de ces parties entre elles, la réciprocité de fonctions qu'elles exercent l'une à l'égard de l'autre , c'est là la supériorité sociale. C'est celle de la France, le pays du monde où la nationalité , où la personnalité nationale , se rapproche le plus de la personnalité individuelle.þ
ÇáÕÝÍÉ 96 - Pro Deo amur et pro Christian poblo et nostro commun salvament, d'ist di in avant, in quant Deus savir et podir me dunat, si salvarai eo cist meon fradre Karlo et in...þ
ÇáÕÝÍÉ 212 - Calais, les préparatifs et les circonstances d'un passage de mer conduisent gnuiuellemtot l'esprit à l'idée d'un changement ; mais ici, sans passer une ville,. une barrière, ou même une muraille, on entre dans un nouveau monde. Des pauvres et misérables routes de la Catalogne, vous passez tout d'un coup sur une noble chaussée, faite avec toute la solidité et la magnificence qui distinguent les grands chemins de France : au lieu de ravines, il ya des ponts bien bâtis, et d'un pays s;m\ ;ige,...þ
ÇáÕÝÍÉ 96 - Karlo et in adiudha et in cadhuna cosa, si cum om per dreit son fradra salvar dist, in o quid il mi altresi fazet; et ab Ludher nul. plaid numquam prindrai, qui meon vol cist meon fradre Karle in damno sit.þ
ÇáÕÝÍÉ 175 - L'homme est dur sur cette côte. Fils maudit de la création, vrai Caïn, pourquoi pardonnerait-il à Abel? La nature ne lui pardonne pas. La vague l'épargne-t-elle quand, dans les terribles nuits de l'hiver, il va par les écueils attirer le varech flottant qui doit engraisser son champ stérile, et que si souvent le flot apporte l'herbe et emporte l'homme ? L'épargne-t-elle...þ
ÇáÕÝÍÉ 154 - L'identité nationale est le fondement sur lequel repose, depuis tant de siècles, l'unité de dynastie. Un singulier pressentiment de cette longue succession de rois paraît avoir saisi l'esprit du peuple à r avènement de la troisième race.þ
ÇáÕÝÍÉ 180 - Partout de grandes landes, tristement parées de bruyères rosés et de diverses plantes jaunes ; ailleurs, ce sont des campagnes blanches de sarrasin. Cette neige d'été, ces couleurs sans éclat et comme flétries d'avance, affligent l'œil plus qu'elles ne le récréent, comme cette couronne de paille et de fleurs dont se pare la folle d'Hamlet.þ

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