Oeuvres de Boullanger, ÇáãÌáÏ 6 |
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ÇáäÊÇÆÌ 1-5 ãä 100
ÇáÕÝÍÉ 6
... étoit déjà trop universelle , l'abondance avoit introduit trop de déréglemens dans les mœurs ; Darius n'avoit pas ... étoient connus parmi eux et ils n'épargnoient rion pour se les attirer . Il est vrai qu'ils ne sont pas arrivés à la ...
... étoit déjà trop universelle , l'abondance avoit introduit trop de déréglemens dans les mœurs ; Darius n'avoit pas ... étoient connus parmi eux et ils n'épargnoient rion pour se les attirer . Il est vrai qu'ils ne sont pas arrivés à la ...
ÇáÕÝÍÉ 7
... étoient - ils presque jamais sans quelques révoltes considérables ; ils n'étoient cependant point sans politique . Les règles de la justice étoient connues parmi eux ; ils ont eu de grands rois qui les faisoient observer avec une ...
... étoient - ils presque jamais sans quelques révoltes considérables ; ils n'étoient cependant point sans politique . Les règles de la justice étoient connues parmi eux ; ils ont eu de grands rois qui les faisoient observer avec une ...
ÇáÕÝÍÉ 11
... étoient pas des particuliers qui ne songent qu'à leurs affaires et ne sentent les maux de l'Etat qu'autant qu'ils en souffrent eux - mêmes , ou que le repos de leur famille en est troublé ; les Grecs étoient instruits à se regarder et à ...
... étoient pas des particuliers qui ne songent qu'à leurs affaires et ne sentent les maux de l'Etat qu'autant qu'ils en souffrent eux - mêmes , ou que le repos de leur famille en est troublé ; les Grecs étoient instruits à se regarder et à ...
ÇáÕÝÍÉ 13
... étoient suivis , étoient ceux qui ensei- gnoient à sacrifier l'intérêt particulier et même la vie à l'intérêt général et au salut de l'état et c'étoit la maxime la plus commune des philosophes qu'il falloit ou se retirer des affaires ou ...
... étoient suivis , étoient ceux qui ensei- gnoient à sacrifier l'intérêt particulier et même la vie à l'intérêt général et au salut de l'état et c'étoit la maxime la plus commune des philosophes qu'il falloit ou se retirer des affaires ou ...
ÇáÕÝÍÉ 14
... étoient les Perses qu'elle a toujours désignés par le nom de barbares . tems , Cette haine étoit venue aux Grecs , dès les premiers et leur étoit devenue comme naturelle ; une des choses qui faisoient aimer les poésies d'Homère , c'est ...
... étoient les Perses qu'elle a toujours désignés par le nom de barbares . tems , Cette haine étoit venue aux Grecs , dès les premiers et leur étoit devenue comme naturelle ; une des choses qui faisoient aimer les poésies d'Homère , c'est ...
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Alexandre amis Anaxarque Antipater armée armes arriva Artabaze auroit aussi-tôt avoient avoit ayant Babylone Bactre Bactriane barbares bataille Bessus Calisthène camp cavalerie charriots chevaux Cilicie Clitus cœur combat côté coup courage Cratère d'Alexandre d'Ephestion Darius de-là dessein devoit dieux dit-il donner donnoit Ecbatane enfans ennemis ensuite entra envoya Ephestion étoient étoit eût faisoient faisoit falloit fils fleuve force fortune fût gloire gouverneur graces Grèce guerre habitans héros hommes Indiens infanterie jamais jetta jours Jupiter l'armée l'Asie l'ennemi l'Euphrate laissa long-tems lui-même Macédoine Macédoniens mains maître Malliens montagnes mort n'avoient n'avoit n'étoit Nabarzane nation néanmoins Néarque officiers Olympias Parménion paroissoit paroître parole passer pays Perdiccas Persépolis Perses personne peuples Philippe Philotas pied Porus pouvoient pouvoit prince prit province reconnoître rendoit rien rois royaume s'étoient s'il Satibarzane Scythes Seigneur seroit seul siége Sogdiane soldats sorte Sysigambis Taxile tems tête troupes trouva vaincu vainqueur venoit victoire vint vouloit voulut xandre
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ÇáÕÝÍÉ 14 - Junon, c'est-à-dire la gravité avec- l'amour conjugal, Mercure avec l'éloquence, Jupiter et la sagesse politique. Du côté de l'Asie...þ
ÇáÕÝÍÉ 14 - Elle ne pouvait souffrir que l'Asie pensât à la subjuguer; et en subissant ce joug , elle eût cru assujettir la vertu à la volupté, l'esprit au corps , et le véritable courage à une force insensée qui consistait seulement dans la multitude.þ
ÇáÕÝÍÉ 32 - ... obligea tous les Grecs à marcher sous ses étendards contre l'ennemi commun. Il fut tué dans ces conjonctures; mais Alexandre son fils succéda à son royaume et à ses desseins.þ
ÇáÕÝÍÉ 11 - Grecs étaient instruits à se regarder et à regarder leur famille comme partie d'un plus grand corps, qui était le corps de l'État. Les pères nourrissaient...þ
ÇáÕÝÍÉ 13 - ... parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie pour conserver l'état de la Grèce n'est pas croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus il était nécessaire d'y établir par de bonnes raisons les règles des mœurs, et celles de la société.þ
ÇáÕÝÍÉ 12 - L'idée de liberté qu'une telle conduite inspirait était admirable; car la liberté que se figuraient les Grecs était une liberté soumise à la loi, c'est-à-dire à la raison même reconnue par tout le peuple. Ils ne voulaient pas que les hommes eussent du pouvoir parmi eux.þ
ÇáÕÝÍÉ 17 - Perse étoit affligée par une excessive sujétion, Athènes, dit Platon, ressentit les maux d'une liberté excessive. Ces deux grandes républiques, si contraires dans leurs mœurs et dans leur conduite...þ
ÇáÕÝÍÉ 133 - Perse, qui après les 25 éclipses de Lune avoient eu les Dieux contraires lors qu'ils avoient combatu. Rien n'est si puissant, poursuivit Q.. Curce(a), que la superstition pour tenir en bride la populace. Quelque...þ
ÇáÕÝÍÉ 14 - Perse se trouva faible, et éprouva plusieurs fois, à son dommage, ce que peut la discipline contre la multitude et la confusion, et ce que peut la valeur conduite avec art contre une impétuosité aveugle. Il ne...þ
ÇáÕÝÍÉ 19 - ... absolue, qu'à la fin, moitié par adresse et moitié par force, il se rendit le plus puissant de la Grèce, et obligea tous les Grecs à marcher sous ses étendards contre l'ennemi commun.þ