170 Destiny some decency of thought and carriage, everywhere the .. I have seen the travail which God hath given to the sons of men to be exercised therewith. He hath made everything beautiful in its time; he hath also set the world in their heart, and yet so that man cannot find out the work that God hath wrought from the beginning even unto the end. I know that whatsoever God doeth shall be for ever; nothing can be put to it, nor anything taken from it; and God hath done it that he be drad. 171 .. Every night and every morn .. nous devons chercher la consolation à nos maux, non pas dans nous-mêmes, non pas dans les hommes, non pas dans tout ce qui est créé, mais dans Dieu. Et la raison en est que toutes les créatures ne sont pas la première cause des accidents que nous appelons maux ; mais que la providence de Dieu en étant l'unique et véritable cause, l'arbitre et la souveraine, il est indubitable qu'il faut recourir directement à la source et remonter jusqu'à l'origine, pour trouver un solide allégement. Que si nous suivons ce précepte, et que nous envisagions cet événement, non pas comme un effet du hasard, non pas comme une nécessité fatale de la nature, non pas comme le jouet des éléments et des parties qui composent l'homme.. mais comme une suite indispensable, inévitable, juste, sainte, . . . non pas dans lui-même et hors de Dieu, mais hors de lui-même et dans l'intime de la volonté de Dieu, dans la justice de son arrêt, dans l'ordre de sa providence, qui en est la véritable cause, 173 Harmony of Nature sans qui il ne fût pas arrivé, par qui seul il est arrivé et de la manière dont il est arrivé; nous adorerons dans un humble silence . . . nous bénirons la conduite de sa providence; et unissant notre volonté à celle de Dieu même, nous voudrons avec lui, en lui et pour lui, la chose qu'il a voulue en nous et pour nous de toute éternité. I am at one with everything, O Universe, Nothing to me is early or late which is timely with thee. to thee all things return. The poet saith, Dear city of Cecrops; 174 Chaque être peut arriver à l'harmonie: quand il y est, il est dans l'ordre, et il représente la pensée divine aussi clairement pour le moins qu'une fleur ou qu'un système solaire. L'harmonie ne cherche rien en dehors d'ellemême. Elle est ce qu'elle doit être; elle exprime le bien, l'ordre, la loi, le vrai; elle est supérieure au temps et représente l'éternel . . . ... .. J'éprouve avec intensité que l'homme, dans tout ce qu'il fait ou peut faire de beau, de grand, de bon, n'est Nature's Enchantment que l'organe et le véhicule de quelque chose ou de quelqu'un de plus haut que lui. Ce sentiment est religion. L'homme religieux assiste avec un tremblement de joie sacrée à ces phénomènes dont il est l'intermédiaire sans en être l'origine, dont il est le théâtre sans en être l'auteur. 175 176 . . This world is the City of Truth : ... .. And, day and night, aloof, from the high towers And terraces, the Earth and Ocean seem To sleep in one another's arms, and dream Of waves, flowers, clouds, woods, rocks, and all that we 177 TO one who has been long in city pent, And open face of heaven,-to breathe a prayer Who is more happy, when, with heart's content, Catching the notes of Philomel,-an eye 178 Surrender Watching the sailing cloudlet's bright career, That falls through the clear ether silently. AUX branches claires des tilleuls Qu'on patiente et qu'on s'ennuie, Que par toi beaucoup, ô Nature, Ah moins nul et moins seul! je meure . . . Je veux bien que les Saisons m'usent. A toi, Nature! je me rends, Et ma faim et toute ma soif; |