Histoire de France, depuis la révolution de 1789: écrite d'après les mémoires et manuscrits contemporains, recueillis dans les depôts civils et militaires, ÇáãÌáÏ 1Treuttel et Würtz, 1801 - 288 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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ÇáÕÝÍÉ 7
... sentiments se divisaient selon les intérêts particuliers , il résultait de ces débats et des prétentions contraires , que les principes de législation en France n'étaient ni assurés , ni même connus . Un vieil adage disait , Si veut le ...
... sentiments se divisaient selon les intérêts particuliers , il résultait de ces débats et des prétentions contraires , que les principes de législation en France n'étaient ni assurés , ni même connus . Un vieil adage disait , Si veut le ...
ÇáÕÝÍÉ 30
... sentiment du bien pu- blic , à sa propre opinion , et même la cour ne fut point contraire à cette démar- che . Songeant toujours à se servir des états , et sc flattant de les diriger à son gré , on ne fut pas fâché de voir une portion ...
... sentiment du bien pu- blic , à sa propre opinion , et même la cour ne fut point contraire à cette démar- che . Songeant toujours à se servir des états , et sc flattant de les diriger à son gré , on ne fut pas fâché de voir une portion ...
ÇáÕÝÍÉ 37
... prétexte à des retards ; le roi même s'était occupé , avec une sorte de complaisance , des détails de construction et d'ornements , plus en- 1. " Ep . core par un sentiment naturel qui PREMIÈRE ÉPOQUE . Ouverture des états-généraux Page.
... prétexte à des retards ; le roi même s'était occupé , avec une sorte de complaisance , des détails de construction et d'ornements , plus en- 1. " Ep . core par un sentiment naturel qui PREMIÈRE ÉPOQUE . Ouverture des états-généraux Page.
ÇáÕÝÍÉ 38
... sentiment naturel qui lui faisait 1789. espérer la fin des tracasseries qui le fatiguaient autour de lui , que par calcul politique ; il se fai- sait une fête de cet appareil majestueux , dont il allait s'environner ; le jour même de la ...
... sentiment naturel qui lui faisait 1789. espérer la fin des tracasseries qui le fatiguaient autour de lui , que par calcul politique ; il se fai- sait une fête de cet appareil majestueux , dont il allait s'environner ; le jour même de la ...
ÇáÕÝÍÉ 58
... sentiment commun , par un véritable esprit de parti , ils distribuaient la considération , diri- . geaient l'opinion publique , et adjugeaient la faveur populaire à l'éloquence qui rendait le mieux leur pensée de là vint une émulation ...
... sentiment commun , par un véritable esprit de parti , ils distribuaient la considération , diri- . geaient l'opinion publique , et adjugeaient la faveur populaire à l'éloquence qui rendait le mieux leur pensée de là vint une émulation ...
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ÇáÕÝÍÉ 96 - Déclaration des droits de l'homme et du Citoyen du 26 août 1789 (placée ensuite en tête de la Constitution de 1791). Les représentants du peuple français, constitués en Assemblée nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l'homme, afin que cette déclaration, constamment...þ
ÇáÕÝÍÉ 96 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression.þ
ÇáÕÝÍÉ 96 - ... afin que les actes du pouvoir législatif et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la constitution et au bonheur de tous.þ
ÇáÕÝÍÉ 106 - Ne faites pas à autrui ce que vous ne voudriez pas qu'on vous fit ; — Faites constamment aux autres le bien que vous voudriez en recevoir.þ
ÇáÕÝÍÉ 97 - Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.þ
ÇáÕÝÍÉ 98 - Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de constitution.þ
ÇáÕÝÍÉ 101 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites.þ
ÇáÕÝÍÉ 97 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à .faire ce qu'elle n'ordonne pas.þ
ÇáÕÝÍÉ 98 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.þ
ÇáÕÝÍÉ 223 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse ou de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la Nation, à la Loi et au Roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le Roi.þ