Dictionnaire Historique D'Education, ou, sans donner de preceptes, on se propose d'exercer ... les facultes de l'ame et de l'esprit ...Amable Costes Libraire, 1818 |
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ÇáÕÝÍÉ 16
... que vous - même . Ilne reste à nos maux qu'un seul remède . Imitez la bonté de Dieu : outragé par ses créatures , il leur a ouvert les cieux . J'ose le dire , grand prince , si vous nous pardonnez , nous devons notre salut à votre ...
... que vous - même . Ilne reste à nos maux qu'un seul remède . Imitez la bonté de Dieu : outragé par ses créatures , il leur a ouvert les cieux . J'ose le dire , grand prince , si vous nous pardonnez , nous devons notre salut à votre ...
ÇáÕÝÍÉ 17
... qu'un sépulcre ; ses habitans ne sont plus que des cadavres ; ils sont morts avant le supplice qu'ils ont mérité vous pouvez , d'un seul mot , leur rendre la vie . Les infidèles s'écrieront : Qu'il est grand , le Dieu des chrétiens ...
... qu'un sépulcre ; ses habitans ne sont plus que des cadavres ; ils sont morts avant le supplice qu'ils ont mérité vous pouvez , d'un seul mot , leur rendre la vie . Les infidèles s'écrieront : Qu'il est grand , le Dieu des chrétiens ...
ÇáÕÝÍÉ 25
... qu'un chré- << tien doit aller jusqu'à souffrir avec joie . » 2. S. Romuald , fondateur de l'ordre des Camaldules , résolu d'embrasser la vie d'ermite , se mit sous la con- duite d'un pieux solitaire nommé Marin.Cet homme ne comptoit ...
... qu'un chré- << tien doit aller jusqu'à souffrir avec joie . » 2. S. Romuald , fondateur de l'ordre des Camaldules , résolu d'embrasser la vie d'ermite , se mit sous la con- duite d'un pieux solitaire nommé Marin.Cet homme ne comptoit ...
ÇáÕÝÍÉ 26
... un brutal un vi- goureux soufflet , il se contenta de dire en riant : « < llest fâ- cheux de ne savoir pas quand il ... qu'avant de la choisir pour compagne , il n'avoit pas igno- ré son caractère . Il disoit lui - même qu'il l'avoit ...
... un brutal un vi- goureux soufflet , il se contenta de dire en riant : « < llest fâ- cheux de ne savoir pas quand il ... qu'avant de la choisir pour compagne , il n'avoit pas igno- ré son caractère . Il disoit lui - même qu'il l'avoit ...
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... qu'on soit en état de satisfaire à la plupart des devoirs d'un bon citoyen . Il est difficile de porter plus loin qu'il le fit le mépris des richesses , et l'amour de la pauvreté . Il regardoit comme une perfection divine de n'avoir ...
... qu'on soit en état de satisfaire à la plupart des devoirs d'un bon citoyen . Il est difficile de porter plus loin qu'il le fit le mépris des richesses , et l'amour de la pauvreté . Il regardoit comme une perfection divine de n'avoir ...
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âgé alloit ans avant J. C. Antioche Arcadius armées Athènes Athéniens avoient avoit ayant bataille capitaine cardinal célèbre César Charles Charles VII cheval chrétienne ciple citoyen comte consul courage demandoit devint devoit Dieu digne disciple disoit dit-il donna empereur enfans ennemis épouse étoient étoit évêque faisoient faisoit fameux femme fille fils du précédent François frère Gascon général gloire grace grec guerre Henri Henri III Henri IV homme in-fol Jean jeta jeune jour l'âge l'empereur l'empire l'un Lacédémone laissa livres long-temps Louis XIV Macédoine maison maître maréchal mérite ministre monarque mort n'avoit n'étoit naquit Néron officier passer patrie père Perse peuple Pharnabaze Philippe philosophe poète pouvoit premier prince prit reconnoissance règne répondit répondit-il romain Rome sage saint Scipion l'Africain seigneur seroit seul siècle siége Socrate soldats sorte Sparte succéda surnommé Syracuse Syrie talens Théodose tion trône troupes tyran venoit vertus victoire vint vouloit voulut voyant Xerxès zèle
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ÇáÕÝÍÉ 284 - Majesté juge divinement bien de toutes choses ; il est vrai que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j'aie jamais lu. Le roi se mit à rire, et lui dit : N'est-il pas Vrai que celui qui l'a fait est bien fat? Sire, il n'ya pas moyen de lui donner un autre nom. Oh bien ! dit le roi, je suis ravi que vous m'en ayez parlé si bonnement; c'est moi qui l'ai fait. Ah ! Sire , quelle trahison ! que Votre Majesté me le rende; je l'ai lu brusquement. Non, Monsieur le maréchal : les premiers...þ
ÇáÕÝÍÉ 284 - Le maréchal, après avoir lu, dit au roi : Sire , Votre Majesté juge divinement bien de toutes choses ; il est vrai que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j'aie jamais lu.þ
ÇáÕÝÍÉ 321 - De ce serment vous est bien souvenu quand vous avez vostre noble puissance et présence personnelle employée à appréhender telle femme qui se dit la Pucelle , au moyen de laquelle l'honneur de Dieu a esté sans mesure offensé , la foi excessivement blessée , et l'Eglise trop fort déshonorée ; car, par son occasion, ydoi.þ
ÇáÕÝÍÉ 253 - L'invisible et inutile vérité n'est pas accoutumée à trouver tant de sensibilité parmi les hommes, et les objets les plus ordinaires de leurs passions se tiendraient heureux d'y en trouver autant.þ
ÇáÕÝÍÉ 463 - II fait en ce beau jour le plus beau temps du monde, Pour aller à cheval sur la terre et sur l'onde.þ
ÇáÕÝÍÉ 201 - ... endroits. Ce chevalier employa plusieurs mois à faire, tous les jours, cet exercice; et il ne vit pas plutôt ses dogues dressés à ce genre de combat, qu'il retourna à Rhodes. A peine fut-il...þ
ÇáÕÝÍÉ 254 - La diction, outre qu'elle est pure et châtiée, a toutc la dignité que les matières demandent, et toute la grâce qu'elles peuvent souffrir. Ce n'est pas qu'il eût apporté aucun soin à cultiver les talents de l'imagination; au contraire, il s'est toujours fort attaché à les décrier : mais il en avait naturellement une fort noble et fort vive...þ
ÇáÕÝÍÉ 236 - Mon Père , j'ai entendu plusieurs grands orateurs dans ma chapelle ; j'en ai été fort content : pour vous, toutes les fois que je vous ai entendu , j'ai été très-mécontent de moi-même.þ
ÇáÕÝÍÉ 169 - II me semble, dit en souriant le jeune prince, que quelque chose m'a touché. » Cependant la contusion étoit assez grosse, et j'ai vu la balle sur le galon de la manche, qui étoit tout noirci comme si le feu y avoit passé.þ
ÇáÕÝÍÉ 331 - La religion et la nature mettent ainsi tous les « hommes de niveau ; la vertu seule apporte entre eux « quelque différence ; et peut-être que celui qui vous « précède sera plus grand aux yeux de Dieu , que vous « ne le serez jamais aux yeux des peuples.þ