Dictionnaire historique d'éducation, où, sans donner de préceptes, on se propose d'exercer & d'enrichir toutes les facultés de l'âme & de l'esprit, en substituant les exemples aux leçons, les faits aux raisonnemens, la pratique à la théorie ...Vincent, 1771 - 703 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
ãä ÏÇÎá ÇáßÊÇÈ
ÇáäÊÇÆÌ 1-5 ãä 100
ÇáÕÝÍÉ vii
... courage d'y marcher . L'ami- tié , cette douce & fainte union des belles ames , la tendre amitié reçoit les plus pompeux éloges ; mais combien compte - t - elle d'adorateurs dans la foule de fes panégyriftes ? Nous parlons de la patrie ...
... courage d'y marcher . L'ami- tié , cette douce & fainte union des belles ames , la tendre amitié reçoit les plus pompeux éloges ; mais combien compte - t - elle d'adorateurs dans la foule de fes panégyriftes ? Nous parlons de la patrie ...
ÇáÕÝÍÉ 9
... agir , & non délibérer , parce que la promptitude contribue , plus que tout le reste , à les faire réuffir , & parce que la réflexion refroidit le courage , & rend l'homme ti- mide . Cet illuftre Romain , le plus grand homme ABSTINENCE . 9.
... agir , & non délibérer , parce que la promptitude contribue , plus que tout le reste , à les faire réuffir , & parce que la réflexion refroidit le courage , & rend l'homme ti- mide . Cet illuftre Romain , le plus grand homme ABSTINENCE . 9.
ÇáÕÝÍÉ 12
... courage d'un grand capitaine . Il prend un pofte avantageux , & range fes troupes dans un terrein étroit , leur donnant plus de profondeur . Enfuite il donne le fignal , réfolu de vain- cre ou de mourir en cette occafion . Il marche ...
... courage d'un grand capitaine . Il prend un pofte avantageux , & range fes troupes dans un terrein étroit , leur donnant plus de profondeur . Enfuite il donne le fignal , réfolu de vain- cre ou de mourir en cette occafion . Il marche ...
ÇáÕÝÍÉ 13
... courage , animées en- core par la présence de Généraux qui les premiers af- frontent les périls & la mort , font long - tems balancer la victoire . Cependant Néron fait d'inutiles efforts pour monter fur la colline qui le mafque : les ...
... courage , animées en- core par la présence de Généraux qui les premiers af- frontent les périls & la mort , font long - tems balancer la victoire . Cependant Néron fait d'inutiles efforts pour monter fur la colline qui le mafque : les ...
ÇáÕÝÍÉ 36
... courage , mais fur la foi bleffe de leurs Alliés . Ce difcours déplut beaucoup aux Lacédémoniens . Mais , foit par un sentiment d'ef- time & de reconnoiffance pour les Athéniens qui avoient rendu de fi grands fervices à la patrie , foit ...
... courage , mais fur la foi bleffe de leurs Alliés . Ce difcours déplut beaucoup aux Lacédémoniens . Mais , foit par un sentiment d'ef- time & de reconnoiffance pour les Athéniens qui avoient rendu de fi grands fervices à la patrie , foit ...
ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ
ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ
affez affuré ainfi ajoûta alloit Athéniens auffi auffi-tôt avoient avoit ayant befoin c'eft c'eſt c'étoit Caton d'Utique caufe ceffe chaffe chofe citoyens cœur confeil confidérable courage deffein déja demanda devoit Dieu difant difcours difoit dit-il donner efprit enfans enfuite ennemis eſt étoient étoit eût fage faifant faifoit faint falut fans fauver fçavoit fecours fecret feigneur femme fénat fentiment feroit fervice fervir fes amis feul fiécle fiége foin foit foldats fomme fon fils fon pere fous fouvent fuccès fuis fuivi fujets fur-tout grace homme jeune jour jufqu'à juftice l'Empereur Lacédémone laiffer long-tems lorfque Louis Louis XIV magiftrat main maiſon maître maniere Monarque mort n'avoit n'eft paffer paffion patrie Pélopidas Perfes perfonne peuple philofophe Phocion plaifir plufieurs pouvoit préfent premiere préſence prifonniers Prince prit récompenfe refpect refte refufa répondit réponſe Romains ſes Socrate ſon Sparte tems toyens troupes tyran venoit vouloit Xerxès
ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ
ÇáÕÝÍÉ 112 - Je n'aurai point l'honneur d'y aller, lui répondit-il ; il ya plus de huit jours que je n'ai vu ma femme et mes enfants, qui se font une fête de manger aujourd'hui avec moi une très belle carpe ; je ne puis me dispenser de dîner avec eux.þ
ÇáÕÝÍÉ 724 - Il monte sur un bateau, gagne à force de rames le milieu du fleuve, aborde, attend au bas de la pile que toute la famille, père, mère, enfants & vieillards, se glissant le long d'une corde, soient descendus dans le bateau. Courage, dit-il, vous voilà sauvés.þ
ÇáÕÝÍÉ 260 - Monfieur , lui dit d'Aubigné , je viens me remettre entre vos mains, conformément à la parole que je vous en avois donnée , & parce que d'ailleurs , fi je ne l'avois pas tenue, je vous aurois compromis avec une Cour foupçonneufe & cruelle : je fais que ma mort y eft réfolue ; mes ennemis fatisferont leur haîne 5 j'aurai fatisfait à ce que je devois à l'honneur & à la reconnoiflance.þ
ÇáÕÝÍÉ 102 - Nilhisdale disparut , et arriva à trois heures du matin à Calais. En mettant pied à terre , il fit un saut , en s'écriant : « Vive Jésus ! me voilà sauvé ! » Ce transport le décéla ; mais il n'étoit plus au pouvoir de ses ennemis.þ
ÇáÕÝÍÉ 724 - Spolverini propofe une bourfe de cent louis à celui qui aura le courage d'aller fur un bateau délivrer ces malheureux. Il y avoit à courir le danger d'être emporté par la rapidité du fleuve, ou de voir, en abordant au-deflbus de la maifon , crouler fur foi l'arcade ruinée : le concours du peuple étoit innombrable , & perfonne n'ofoit s'offrir.þ
ÇáÕÝÍÉ 69 - Céfar; & il envoya quelques perfonnes de fa cour pour lui en faire des reproches. Le Prince ne répondit rien à cette remontrance; mais il pria les députés de l'empereur de demeurer quelque tems...þ
ÇáÕÝÍÉ 369 - Je fuis trop criminelle, puifque je » fuis deshonorée : je vous demande ma mort comme « une grâce , & pour m'empêcher de furvivre à ma » honte & à mon deshonneur. » Le Régent, quoiqu'outré de douleur , lui dit qu'une faute involontaire étoit plutôt un malheur qu'un crime , & que la violence , qu'on avoit faite à fon corps...þ
ÇáÕÝÍÉ 503 - A ces paroles, le mari et toute la compagnie ne purent retenir de grands éclats de rire; la dame elle-même, malgré...þ
ÇáÕÝÍÉ 451 - Nord, dont la vivacité faifoit le principal caractère , demanda un jour à un ambafladeur dlAngleterre , s'il harangueroit le peuple , en cas qu'on le pendît , ou qu'on lui tranchât la tête ? Le miniftre , fans fe déconcerter , répondit qu'il avoit toujours fon difcours prêt , & fes gants blancs dans fa poche. « Je voudrois bien vous entendre , þ
ÇáÕÝÍÉ 95 - Ah ! je me connois maintenant, dit-il , et j'éprouve sensiblement que j'ai deux âmes , l'une qui me porte au bien , l'autre qui m'entraîne vers le mal. La première l'emporte quand vous venez à mon secours et que vous me parlez : je cède à l'autre et je suis vaincu quand je suis seul.þ