Le petit Plutarque de la jeunesse, ou Abrégé de la vie des grands hommes les plus marquans tant anciens que modernes, etc: rédigés d'après Rollin, Fénélon, etc

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A. Wahlen, 1829

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ÇáÕÝÍÉ 316 - ... bon gré à ces personnes de leur travail pour sa correction. Je l'ai vu souvent nous dire, quand il était en liberté de conversation : Je laisse derrière la porte le Duc de Bourgogne, et je ne suis plus avec vous que le petit Louis.þ
ÇáÕÝÍÉ 172 - ... et percé de coups, il témoigna sa joie de ce qu'ils n'avaient pas eu du dessous. Aristomène , après la bataille, rencontra Cléonnis, qui ne pouvait, à cause de ses blessures, marcher ni de lui-même, ni avec le secours de ceux qui lui donnaient la main. Il le chargea sur ses épaules , sans quitter ses armes , et le porta au camp. • Après qu'on eut mis le premier appareil aux plaies du roi de Messénie et des officiers , il s'éleva parmi les Messéniens un nouveau combat , non moins...þ
ÇáÕÝÍÉ 114 - répondit - il , que je puisse porter cette couronne « avec autant de force ! Ces bras ont fourni à tous «mes desirs; et, tandis que je n'ai rien eu, rien ne «m'a manqué. ». Cette réponse fit concevoir au roi une grande opinion de sa vertu, de sorte qu'il lui fit donner, non-seulement les précieux meubles de Straton , mais plusieurs autres choses du butin fait sur les Perses; et, de plus, il ajouta à son état une des contrées voisines.þ
ÇáÕÝÍÉ 172 - C'était pour lors un usage déjà assez ancien de faire proclamer publiquement le plus brave de la journée après chaque bataille. Rien n'était plus propre à animer le courage des officiers et des soldats, à leur inspirer une audace intrépide, à étouffer en eux toute crainte des dangers et de la mort.þ
ÇáÕÝÍÉ 24 - Grèce ait eu des lois écrites. Il en publia, dont l'extrême rigueur, favorable par avance à la doctrine des stoïciens, punissait de mort la plus légère faute comme le plus énorme forfait. Les lois de Dracon , écrites , selon Diomède, non avec de l'encre, mais avec du sang , eurent le sort des choses violentes.þ
ÇáÕÝÍÉ 139 - Anacharsis fit vœu à cette déesse de lui faire les mêmes sacrifices , et d'établir la même fête en son honneur dans son pays , en cas qu'il y retournât sans péril. Quand il fut arrivé dans la Scythie, il voulut changer les anciennes coutumes du pays , et y établir les lois des Grecs. Cela déplut fort aux Scythes. Un jour Anacharsis entra secrètement dans une épaisse forêt du pays d'Hylée, afin de pouvoir accomplir sans être aperçu le vœu qu'il...þ
ÇáÕÝÍÉ 137 - Mon pays me déshonore, répondit-il ; mais toi, tu déshonores le tien. On lui demanda ce que les hommes avaient de meilleur et de plus méchant : c'est la langue, répondit-il. Il vaut beaucoup mieux, disait-il, n'avoir qu'un ami, pourvu qu'il soit vrai, que d'en avoir une quantité qui soient toujours prêts à suivre la fortune. Quand on lui demandait s'il y avait plus de vivans que de morts; ceux qui sont sur la mer...þ
ÇáÕÝÍÉ 320 - XIV, qui depuis ébranlèrent son trône dans la guerre de 1701, se firent une joie de le reconnaître dans ce même Idoménée, dont la hauteur révolte tous ses voisins. Ces allusions firent des impressions profondes, à la faveur de ce style harmonieux qui insinue d'une manière si tendre la modération et la concorde. Les...þ
ÇáÕÝÍÉ 31 - ... de son mari ; Que les femmes n'apporteraient pour dot à leurs maris que trois robes et quelques meubles de peu de valeur; Qu'on pourrait tuer impunément un adultère, lorsqu'on le surprendrait sur le fait.þ
ÇáÕÝÍÉ 166 - SUÉTONE, qui loge avec moi, a dessein d'acheter une petite terre, qu'un de vos amis veut vendre. Faites en sorte, je vous prie, qu'elle ne lui soit vendue que ce qu'elle vaut: c'est à ce prix qu'elle lui plaira. Un mauvais marché est toujours désagréable, surtout en ce qu'il semble nous reprocher continuellement notre sottise.þ

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