Oeuvres complètes de Rollin, ÇáãÌáÏ 4F. Didot, 1821 |
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ÇáÕÝÍÉ 26
... pays à travers mille nations féroces et barbares , vainqueurs de tous les obstacles qu'ils ont rencontrés sur leur route , et de tous les périls que la perfidie cachée ou la force ouverte leur ont fait es- suyer . Cette retraite , selon ...
... pays à travers mille nations féroces et barbares , vainqueurs de tous les obstacles qu'ils ont rencontrés sur leur route , et de tous les périls que la perfidie cachée ou la force ouverte leur ont fait es- suyer . Cette retraite , selon ...
ÇáÕÝÍÉ 31
... pays on les con- duisait : Cyrus avait fait entendre seulement qu'il portait les armes contre les Pisidiens , qui par leurs courses infestaient sa province . Tissapherne , jugeant bien que tous ces préparatifs étaient trop grands pour ...
... pays on les con- duisait : Cyrus avait fait entendre seulement qu'il portait les armes contre les Pisidiens , qui par leurs courses infestaient sa province . Tissapherne , jugeant bien que tous ces préparatifs étaient trop grands pour ...
ÇáÕÝÍÉ 32
... pays , se disposait à lui en disputer le passage , aurait infailliblement réussi , sans la diversion que fit Tamos avec sa flotte jointe à celle des Lacédémoniens1 . Pour défendre la côte que cette flotte menaçait , Syen- nésis ...
... pays , se disposait à lui en disputer le passage , aurait infailliblement réussi , sans la diversion que fit Tamos avec sa flotte jointe à celle des Lacédémoniens1 . Pour défendre la côte que cette flotte menaçait , Syen- nésis ...
ÇáÕÝÍÉ 50
... pays , s'alla rendre au roi et le reste des Grecs partit sous la conduite de Cléarque , et arriva sur le minuit au camp d'Ariée . Après qu'ils d'Ariée . Après qu'ils se furent mis en bataille , les officiers l'allèrent trouver dans sa ...
... pays , s'alla rendre au roi et le reste des Grecs partit sous la conduite de Cléarque , et arriva sur le minuit au camp d'Ariée . Après qu'ils d'Ariée . Après qu'ils se furent mis en bataille , les officiers l'allèrent trouver dans sa ...
ÇáÕÝÍÉ 52
... pays , persuadé que , lorsqu'ils y seraient arrivés , ni eux ni leurs villes ne perdraient le souvenir d'un telle faveur : que le roi , sans s'expliquer encore positivement , l'avait chargé de venir savoir d'eux pourquoi ils avaient ...
... pays , persuadé que , lorsqu'ils y seraient arrivés , ni eux ni leurs villes ne perdraient le souvenir d'un telle faveur : que le roi , sans s'expliquer encore positivement , l'avait chargé de venir savoir d'eux pourquoi ils avaient ...
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affaires Agésilas amphictyons Anciens appelait armées armes Artaxerxe Athènes Athéniens athlètes avaient c'est-à-dire c'était célèbre cents cérémonies char chevaux chose citoyens Cléarque combat comédie commandait courage course Criton Cyrus d'autres déja Delphes Démosthène devant Dieu dieux disputer dit-il Divinité donner Éleusis ennemis éphores Eschyle établi Euripide Évagore exercices faisait fêtes fût gens gloire gouvernement Grecs guerre Hist hommes jeux olympiques jour juges l'oracle Lacédémone Lacédémoniens laissé liberté lieu lois Lycurgue Lysandre magistrats maître marque ment mille Minos mort n'avait n'était nombre oracles ordinaire parler particulier Parysatis passer patrie Perses personne Pharnabaze philosophe Plat Platon Plut Plutarque poëtes porter pour-lors pouvait premier prince public quàm quelquefois raison regarde religion remporté rendre république rien rois s'était sage sentiments servaient seul Socrate soin soldats Solon Sophocle sorte Sparte Spartiates Stade sur-tout talents temple Téribaze théâtre Tissapherne tragédie triérarques troupes trouver tyrans vainqueur vaisseaux victoire Xenoph Xénophon καὶ
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ÇáÕÝÍÉ 429 - Thespis fut le premier qui, barbouillé de lie, Promena par les bourgs cette heureuse folie ; Et, d'acteurs mal ornés chargeant un tombereau, Amusa les passants d'un spectacle nouveau.þ
ÇáÕÝÍÉ 428 - La tragédie , informe et grossière en naissant , N'était qu'un simple chœur où chacun , en dansant Et du dieu des raisins entonnant les louanges , S'efforçait d'attirer de fertiles vendanges. Là , le vin et la joie éveillant les esprits , 65 Du plus habile chantre un bouc était le prix*. Thespis5 fut le premier qui, barbouillé de lie...þ
ÇáÕÝÍÉ 430 - Eschyle dans le chœur jeta les personnages, D'un masque plus honnête habilla les visages, Sur les ais d'un théâtre en public exhaussé, Fit paraître l'acteur d'un brodequin chaussé...þ
ÇáÕÝÍÉ 259 - II peut tout sur les peuples ; mais les lois peuvent tout sur lui. Il a une puissance absolue pour faire le bien , et les mains liées dès qu'il veut faire le mal.þ
ÇáÕÝÍÉ 453 - Chacun, peint avec art dans ce nouveau miroir, S'y vit avec plaisir, ou crut ne s'y point voir : L'avare, des premiers, rit du tableau fidèle D'un avare souvent tracé sur son modèle ; Et mille fois un fat finement exprimé Méconnut le portrait sur lui-même formé.þ
ÇáÕÝÍÉ 344 - Il n'y avait rien de plus délicieux à voir que leur ville, où les fêtes et les jeux étaient perpétuels, où l'esprit, où la liberté et les passions donnaient tous les jours de nouveaux spectacles.þ
ÇáÕÝÍÉ 343 - Lacédémone, l'argent était méprisé. Comme toutes ses lois tendaient à en faire une république guerrière, la gloire des armes était le seul charme dont les esprits de ses citoyens fussent possédés.þ
ÇáÕÝÍÉ 259 - Il doit être au- dehors le défenseur de la patrie , en commandant les armées ; et au-dedans, le juge des peuples, pour les rendre bons, sages, et heureux. Ce n'est point pour lui-même que les dieux l'ont fait roi ; il ne l'est que...þ
ÇáÕÝÍÉ 259 - Il doit être au dehors le défenseur de la patrie, en commandant les armées; et au dedans le juge des peuples, pour les rendre bons, sages et heureux. Ce n'est point pour luimême que les dieux l'ont fait roi; il ne l'est que pour être l'homme des peuples; c'est aux peuples qu'il doit tout son temps, tous ses soins, toute son affection; et il n'est digne de la royauté qu'autant qu'il s'oublie luimême pour se sacrifier au bien public.þ
ÇáÕÝÍÉ 343 - Athénien *, et qui connaissait admirablement le naturel de son pays, nous apprend que la crainte était nécessaire à ces esprits trop vifs et trop libres, et qu'il n'y eut plus moyen de les gouverner quand la victoire de Salamine les eut rassurés contre les Perses. Alors deux choses les perdirent : la gloire de leurs belles actions, et la sûreté où ils croyaient être. Les magistrats n'étaient plus écoutés ; et comme la Perse était affligée par une excessive sujétion , Athènes, dit...þ