Memoires du comte de Grammont,

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De l'imprimere de Didot, rue Pavée, 1760 - 315 ãä ÇáÕÝÍÇÊ

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ÇáÕÝÍÉ 223 - Oui, mor..., dit-il, c'est un miracle. Vous êtes toujours à gronder. Je vous ai fait faire le plus bel habit du monde, que M. le duc de Guise lui-même a pris la peine de commander.þ
ÇáÕÝÍÉ 225 - J'étais à une demi-lieue de Calais, hier au matin, et je voulus prendre le long de la mer pour faire plus de diligence; mais, ma foi, l'on dit bien vrai qu'il n'est rien tel que le grand chemin: car je donnai tout au travers d'un sable mouvant, où j'enfonçai jusqu'au menton.þ
ÇáÕÝÍÉ 28 - Il avait une fraise avec un chapeau pointu haut d'une aune. Non, il n'ya personne qui , d'un peu loin , ne l'eût pris pour le dôme de quelque église avec un clocher dessus. Je demandai à l'hôte ce que c'était.þ
ÇáÕÝÍÉ 271 - Nous fîmes quelques couplets de ces Lérida , qui ont tant couru, afin qu'on n'en fit pas de plus mauvais. Nous n'y gagnâmes rien ; nous eûmes beau nous traiter cavalièrement dans nos chansons , on en fit à Paris où l'on nous traitait encore plus mal. þ
ÇáÕÝÍÉ 221 - Price était ridicule et coquette, et quelque chose de plus. Le jour du bal venu, la cour, plus brillante que jamais, étala toute sa magnificence dans cette mascarade. Ceux qui la devaient composer étaient assemblés, à la réserve du chevalier de Gramont.þ

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