Oeuvres, ÇáãÌáÏ 61794 |
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ÇáäÊÇÆÌ 1-5 ãä 60
ÇáÕÝÍÉ 9
... faisoit sa demeure ordinaire , de sorte que les rois marchoient accompagnés de leurs femmes , de leurs concubines , de leurs esclaves et de tout ce qui servoit à leur plaisir ; la vaisselle d'or et d'argent , les meubles précieux sui ...
... faisoit sa demeure ordinaire , de sorte que les rois marchoient accompagnés de leurs femmes , de leurs concubines , de leurs esclaves et de tout ce qui servoit à leur plaisir ; la vaisselle d'or et d'argent , les meubles précieux sui ...
ÇáÕÝÍÉ 23
... faisoit , et le fruit solide qu'il se proposoit d'en tirer . Ce n'étoit pas simplement curiosité ou délassement de travail , ou délicatesse de goût pour la poésie qui le portoit à lire ce poëte ; c'étoit pour y puiser des senti- mens ...
... faisoit , et le fruit solide qu'il se proposoit d'en tirer . Ce n'étoit pas simplement curiosité ou délassement de travail , ou délicatesse de goût pour la poésie qui le portoit à lire ce poëte ; c'étoit pour y puiser des senti- mens ...
ÇáÕÝÍÉ 38
... faisoit voir ce qu'on devoit attendre d'une armée composée de Félite des troupes de la Grèce et de la Macédoine , commandée par dès généraux et des officiers que Phi- lippe avoit formés , et pour tout dire , qui avoit Alexandre pour ...
... faisoit voir ce qu'on devoit attendre d'une armée composée de Félite des troupes de la Grèce et de la Macédoine , commandée par dès généraux et des officiers que Phi- lippe avoit formés , et pour tout dire , qui avoit Alexandre pour ...
ÇáÕÝÍÉ 42
... faisoit une religion d'honorer ceux qu'il regardoit comme ses protecteurs et ses modèles , Darius faisoit filer ses troupes vers la Troade ; il 42 Histoire J ...
... faisoit une religion d'honorer ceux qu'il regardoit comme ses protecteurs et ses modèles , Darius faisoit filer ses troupes vers la Troade ; il 42 Histoire J ...
ÇáÕÝÍÉ 43
A. H. Boullanger. Darius faisoit filer ses troupes vers la Troade ; il avoit 100,000 hommes de pied , 10,000 chevaux sous la conduite de Memnon de Rhodes , le plus grand ca- pitaine de l'Asie ; il avoit conseillé aux Généraux qui lui ...
A. H. Boullanger. Darius faisoit filer ses troupes vers la Troade ; il avoit 100,000 hommes de pied , 10,000 chevaux sous la conduite de Memnon de Rhodes , le plus grand ca- pitaine de l'Asie ; il avoit conseillé aux Généraux qui lui ...
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Alexandre amis Anaxarque Antipater armée armes arriva Artabaze auroit aussi-tôt avoient avoit ayant Babylone Bactre Bactriane barbares bataille bataille du Granique Bessus Calisthène camp cavalerie chevaux Cilicie Clitus cœur combat côté coup courage Cratère d'Alexandre Darius de-là dessein devoit dieux dit-il donner donnoit Ecbatane enfans ennemis ensuite entra envoya Ephestion étoient étoit eût faisoient faisoit falloit fils fleuve force fortune fût gloire gouverneur graces Grèce guerre habitans héros hommes Indiens infanterie jetta jours Jupiter l'armée l'Asie l'ennemi laissa loix long-tems lui-même Macédoine Macédoniens mains maître Malliens mort n'avoient n'avoit n'étoit Nabarzane nation néanmoins Néarque officiers Olympias Parménion paroissoit paroître parole passer pays Perdiccas Persépolis Perses personne peuples Philippe Philotas pied Porus pouvoient pouvoit prince prit province reconnoître rendoit rien rois royaume s'étoient s'il Satibarzane Scythes Seigneur seroit seul Sogdiane soldats sorte Spitamene Sysigambis Taxile tems tête troupes trouva vaincu vainqueur venoit victoire vint vouloit voulut xandre
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ÇáÕÝÍÉ 14 - Junon, c'est-à-dire la gravité avec- l'amour conjugal, Mercure avec l'éloquence, Jupiter et la sagesse politique. Du côté de l'Asie...þ
ÇáÕÝÍÉ 16 - Athénien, et qui connaissait admirablement le naturel de son pays, nous apprend que la crainte était nécessaire à ces esprits trop vifs et trop libres, et qu'il n'y eut plus moyen de les gouverner, quand la victoire de Salamine les eut rassurés contre les Perses. Alors deux choses les perdirent : la gloire de leurs belles actions, et la sûreté où ils croyaient être.þ
ÇáÕÝÍÉ 32 - ... obligea tous les Grecs à marcher sous ses étendards contre l'ennemi commun. Il fut tué dans ces conjonctures; mais Alexandre son fils succéda à son royaume et à ses desseins.þ
ÇáÕÝÍÉ 12 - L'idée de liberté qu'une telle conduite inspirait était admirable; car la liberté que se figuraient les Grecs était une liberté soumise à la loi, c'est-à-dire à la raison même reconnue par tout le peuple. Ils ne voulaient pas que les hommes eussent du pouvoir parmi eux.þ
ÇáÕÝÍÉ 11 - Grecs étaient instruits à se regarder et à regarder leur famille comme partie d'un plus grand corps, qui était le corps de l'État. Les pères nourrissaient...þ
ÇáÕÝÍÉ 13 - ... parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie pour conserver l'état de la Grèce n'est pas croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus il était nécessaire d'y établir par de bonnes raisons les règles des mœurs, et celles de la société.þ
ÇáÕÝÍÉ 13 - Ce grand poète n'apprenait pas moins à bien obéir, et à être bon citoyen. Lui et tant d'autres poètes, dont les ouvrages ne sont pas moins graves qu'ils sont agréables, ne célèbrent que les arts utiles à la vie humaine, ne respirent que le bien public, la patrie, la société, et cette admirable civilité que nous avons expliquée.þ
ÇáÕÝÍÉ 14 - Perse se trouva faible, et éprouva plusieurs fois, à son dommage, ce que peut la discipline contre la multitude et la confusion, et ce que peut la valeur conduite avec art contre une impétuosité aveugle. Il ne...þ
ÇáÕÝÍÉ 405 - ... de le suivre. Allez, lâches, leur dit-il, allez, ingrats , dire en votre pays que vous avez abandonné votre roi parmi des peuples qui lui obéiront mieux que vous. « Alexandre, « dit M. le prince , abandonné des siens parmi des * « Barbares mal assujettis, se sentait si digne de com« mander, qu'il ne croyait pas qu'on pût refuser de lui þ
ÇáÕÝÍÉ 13 - Platon, Xénophon. Aristote, et une infinité d'autres, remplirent la Grèce de ces beaux préceptes. Il y eut des extravagants qui prirent le nom de philosophes, mais ceux qui...þ