Origine de tous les cultes, ou Religion universelle...L. Rosier, 1835 - 10 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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Æneid allégorique ames anciens antre Apulée astres avaient Bacchus C'était cabires capricorne célébration céleste cérémonies Cérès chrétiens Cicéron ciel cieux Clem Clément d'Alexandrie consacré constellation corps crimes d'Isis d'Osiris dadouque Déesse Dieu Dieux différens Diod divinité doctrine dogme donnait Egyptiens Eleus emblèmes enfers Esculape éternelle fable faisait fêtes fiction génération génies Grecs hommes Hygin Ibid ici-bas initiés aux mystères Iside Isis justice l'Elysée l'homme l'imposture l'initiation l'Univers législateurs lois lumière lumineux lune Macrobe matière maux Mercure métempsycose mière Mithra morale mort mystagogues myste mystères d'Eleusis mystères de Bacchus mystérieux mystique n'était Nature nuit Orat Osiris passer Pausan Pausanias Perses peuple Phanès philosophie Platon Plut Plutarque Porphyre portes prêtres principe Proclus Proserpine punir purifier raison religieuses religion représentation sacrée sage Samothrace sanctuaires Scip secret séjour serpent soleil sorte souillures spectacle sphère suivant supplices symbole Tartare temple ténèbres terre théologie théorie tion vérité vertus vierge Virgile zodiaque
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ÇáÕÝÍÉ 144 - Si quelqu'un vient à moi, et ne hait pas son père et sa mère, sa femme, ses enfants , ses frères et ses sœurs , et même sa propre vie, il ne peut être mon disciple.þ
ÇáÕÝÍÉ 144 - Le père sera en division avec le fils, et le fils avec le père ; la mère avec la fille, et la fille avec la mère ; la belle-mère avec la belle-fille, et la belle-fille avec la belle-mère.þ
ÇáÕÝÍÉ 259 - ... et qu'ils y retourneront. A l'égard de ce que dit Cicéron , « Ceux qui gouvernent les cités, ceux qui les conservent, sont partis de ce lieu ; c'est dans ce lieu qu'ils reviennent , » voici comme il faut l'entendre : l'âme tire son origine du ciel , c'est une opinion constante parmi les vrais philosophes ; et l'ouvrage de sa sagesse , tant qu'elle est unie au corps, est de porter ses regards vers sa source, ou vers le lieu d'où elle est partie. Aussi, dans le nombre des dits notables,...þ
ÇáÕÝÍÉ 262 - ... de la substance des astres dont elle se grossit. Car, dans chacune des sphères placées au-dessous du ciel des fixes, elle se revêt de plusieurs couches de matière éthérée qui , insensiblement, forment le lien intermédiaire par lequel elle s'unit au corps terrestre , en sorte qu'elle éprouve autant de dégradations ou de morts qu'elle traverse de sphères.þ
ÇáÕÝÍÉ 18 - dogmes étrangers qui enseignent que les ames des » hommes mous et timides passent dans le corps des « femmes que leur faiblesse expose à l'injure; celles « des meurtriers, dans des corps de bêtes féroces; « celles des hommes lubriques, dans des sangliers « ou des pourceaux; celles des hommes légers et in...þ
ÇáÕÝÍÉ 262 - Voici le chemin que suit l'âme en descendant du ciel en terre. La voie lactée embrasse tellement le zodiaque, dans la route oblique qu'elle a dans les cieux, qu'elle le coupe en deux points opposés, au Cancer et au Capricorne , qui donnent leur nom aux deux tropiques.þ
ÇáÕÝÍÉ 265 - Cancer et le Lion. On a désigné par cet emblème l'état d'enivrement que l'influence de la matière , tumultuairement agitée , cause aux âmes qui doivent descendre ici-bas. C'est là que...þ
ÇáÕÝÍÉ 264 - ... noviciat du nouveau mode d'existence auquel va les assujettir la nature humaine. Or le Verseau, diamétralement opposé au Lion, se couche lorsque celui-ci se lève ; de là est venu l'usage de sacrifier aux mânes quand le soleil entre au premier de ces signes, regardé comme l'ennemi de la vie humaine. Ainsi l'âme, descendant des limites célestes où le Zodiaque et la Voie Lactée se touchent, quitte aussitôt sa forme sphérique qui est celle de la nature divine pour s'allonger et s'évaser...þ
ÇáÕÝÍÉ 141 - ... mépris de soi-même, que l'on met au rang des vertus. Quel est l'homme de génie qui , par humilité, peut se croire un sot, et qui s'efforcera, pour plus grande perfection, de se le persuader ; ou l'honnête homme qui , par humilité , concevra pour lui-même le mépris qu'on doit avoir pour un fripon ? Le précepte est absurde parce qu'il est impossible de porter aussi loin l'illusion ; la conscience que l'honnête homme et l'homme de génie ont de leur probité et de leur science , ne peut...þ
ÇáÕÝÍÉ 200 - Roland (...) l'opposition des chrétiens et des païens, du Bien et du Mal — opposition où perce quelquefois chez les trouvères une pointe de manichéisme — , n'est pas ou n'est guère marquée par l'antithèse de la lumière et des ténèbres, du jour et de la nuit...þ