Jérome Paturot à la recherche de la meilleure des républiques, ÇáãÌáÏÇÊ 1-2M. Lévy frères, 1848 |
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ÇáÕÝÍÉ 8
... rité . Je regardai autour de moi en homme qui ob- serve et se recueille . Triste dessein , douloureuse perspective ! J'aurais voulu pouvoir éloigner de mes lèvres ce calice plein de fiel . Ainsi envisagé , 8 LES DEUX COMMISSAIRES .
... rité . Je regardai autour de moi en homme qui ob- serve et se recueille . Triste dessein , douloureuse perspective ! J'aurais voulu pouvoir éloigner de mes lèvres ce calice plein de fiel . Ainsi envisagé , 8 LES DEUX COMMISSAIRES .
ÇáÕÝÍÉ 9
Louis Reybaud. lèvres ce calice plein de fiel . Ainsi envisagé , le monde ne m'apparut qu'à travers un crêpe funèbre : tout y était deuil et misère , mensonge et corruption . Partout le désordre , partout la lutte ; dans les po ...
Louis Reybaud. lèvres ce calice plein de fiel . Ainsi envisagé , le monde ne m'apparut qu'à travers un crêpe funèbre : tout y était deuil et misère , mensonge et corruption . Partout le désordre , partout la lutte ; dans les po ...
ÇáÕÝÍÉ 55
... plein vent . Le tumulte et le bruit en étaient l'accompagnement obligé , et je- taient l'alarme dans la partie aisée et paisible de la population . Elle protesta d'abord en s'isolant , puis , comme l'agitation persistait , elle quitta ...
... plein vent . Le tumulte et le bruit en étaient l'accompagnement obligé , et je- taient l'alarme dans la partie aisée et paisible de la population . Elle protesta d'abord en s'isolant , puis , comme l'agitation persistait , elle quitta ...
ÇáÕÝÍÉ 88
... plein d'intérêt et de sollicitude . L'absence et le malheur , ces torts impardonnables , ne nous avaient donc pas fait déchoir à ses yeux , et il était juste de lui savoir gré d'une fidélité aussi rare . A mesure qu'il s'ouvrait à moi ...
... plein d'intérêt et de sollicitude . L'absence et le malheur , ces torts impardonnables , ne nous avaient donc pas fait déchoir à ses yeux , et il était juste de lui savoir gré d'une fidélité aussi rare . A mesure qu'il s'ouvrait à moi ...
ÇáÕÝÍÉ 97
... plein vent , ni les feux de Bengale , ni les pompes renouvelées de l'an- tiquité . Ils s'admiraient dans leur œuvre et s'y com- plaisaient . Quelle satisfaction quand , par un beau jour , ils pouvaient embrasser d'un regard cent mille ...
... plein vent , ni les feux de Bengale , ni les pompes renouvelées de l'an- tiquité . Ils s'admiraient dans leur œuvre et s'y com- plaisaient . Quelle satisfaction quand , par un beau jour , ils pouvaient embrasser d'un regard cent mille ...
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allait âme amis assez aura avaient baron beau besoin bourgeois bras bruit C'était camphre cent CHAPITRE cher chose citoyen club club des femmes cœur commissaire Comtois cret Curius Dentatus d'ailleurs d'autres demande devant Dieu digne dire dis-je dit-il drapeau esprits Est-ce estomacs eût fallait femme force foule frapper général Rossignol gens gouvernement heure homme idée j'ai j'avais J'en Jérôme jour l'ange du mal l'artiste l'Assemblée l'état l'homme l'hôtel l'ouvrier livre m'en main Malvina manque Marthe mêlé ment mieux mille ministre Mistigris monde mône monsieur le ministre monsieur Paturot n'avait n'en n'était Oscar ouvriers parler passé patrie pays peintre pensée Percheron peuple politique pontife porte pourtant pouvait qu'un régime républicain reste révolution rien s'écria s'en sentiment serait seul Simon solliciteurs songe sort spectacle Taïr Téhéran Tiflis tion toyen travail trésor tribune trouvait vertige Ville-d'Avray Vive la République voici voilà vois voix voulait voyait vrai yeux
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ÇáÕÝÍÉ 237 - DES DROITS DE L'HOMME ET DU CITOYEN Le peuple Français, convaincu que l'oubli et le mépris des droits naturels de l'homme, sont les seules causes des malheurs du monde, a résolu d'exposer dans une déclaration solennelle, ces droits sacrés et inaliénables, afin que tous les citoyens pouvant comparer sans cesse les actes du gouvernement avec le but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer et avilir par la tyrannie, afin que le peuple ait toujours devant les yeux les bases...þ
ÇáÕÝÍÉ 237 - ... le but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer et avilir par la tyrannie; afin que le peuple ait toujours devant les yeux les bases de sa liberté et de son bonheur, le magistrat la règle de ses devoirs, le législateur l'objet de sa mission. En conséquence il proclame en présence de l'Être suprême la déclaration suivante des droits de l'homme et du citoyen. Art. 1.þ
ÇáÕÝÍÉ 284 - Vous avez celui de faire faire à un homme tout ce qui vous passe par la tête, et vous ne trouvez pas que ce soit déjà joli? Vous avez celui de tenir en ordre votre maison, de raccommoder les chausses de vos maris , de surveiller et d'élever les enfants, de commander aux bonnes et de veiller à ce que le dîner soit cuit à point ! N'est-ce pas là des droits suffisants ? Et qu'aurez-vous gagné lorsque vous serez venues ici exercer vos langues pendant trois heures consécutives? Vous aurez gagné...þ
ÇáÕÝÍÉ 209 - L'Atelier national. Etant donné le problème suivant : « Réaliser le » moins de besogne possible avec le plus de bras » possible, » Et en supposant qu'il s'agisse de trouver l'institution, née ou à naître, qui remplirait le plus complètement ce but, L'inconnue à dégager serait nécessairement : L'ATELIER NATIONAL. Jamais peut-être un fait de ce genre ne s'était présenté, et surtout avec de telles proportions. Avant nous, on ne s était point avisé de confondre Taumône avec le travail,...þ
ÇáÕÝÍÉ 210 - Vis-à-vis de quelques misères individuelles, cette façon de cacher la main qui donne peut laisser quelque illusion à celui qui reçoit; mais des secours que le Trésor public accorde à une armée entière, à cent mille hommes enrégimentés, ne sont pas de nature à laisser planer le moindre doute sur l'opinion que l'on doit s'en former. Ce n'est autre chose que le paupérisme anglais à...þ
ÇáÕÝÍÉ 3 - ... sera bien reçue. C'est d'ailleurs un devoir pour les écrivains de ne pas demeurer à l'écart d'un établissement qui se fonde. Signalé à temps, un abus disparaît ; il résiste quand il a pris racine. Et puis l'heure est venue, où, suivant la belle expression de l'auteur des Tusculanes, tout citoyen doit porter écrit sur son front ce qu'il pense de la chose publique.þ
ÇáÕÝÍÉ 1 - Je n'aurais pas songé à continuer un livre que le public a accueilli avec faveur si les événements n'eussent modifié ma résolution. Personne ne sait mieux que moi qu'il est sage de s'arrêter dans une veine heureuse et de ne pas la compromettre en l'épuisant...þ
ÇáÕÝÍÉ 14 - Bargello qui lui faifoit (igné à tout moment de me laifler achever. Mais la patience lui échappa dans cet endroit. Voilà , s'écria-t-il , le plus impudent menteur qu'il y ait jamais eu fur la terre.þ
ÇáÕÝÍÉ 46 - Pour cette croisade, tout s'est armé, les philosophes et les romanciers, les docteurs et les poètes. Ils ont présenté au peuple la civilisation comme un fléau et la société comme une proie. Le régime actuel, disaient-ils, est un réseau d'iniquités dont il faut briser les mailles. Dieu n'a pas entendu créer des situations inégales , des droits inégaux entre les enfants des hommes. Il est odieux de penser qu'ils sortent de ses mains, les uns pour jouir, les autres pour souffrir, et que,...þ
ÇáÕÝÍÉ 272 - L'âge et peut-être le malheur lui avaient enlevé les caractères extérieurs de son sexe. Il est vrai qu'elle faisait siéger à ses côtés une vice-présidente, vouée à un embonpoint monstrueux. Ce contraste ne réparait rien. L'œil ne fait point de moyennes ; il ne transporte pas les excédants du côté des manquants afin de rétablir cette loi d'équilibre qui gouverne les mondes. Il voit ici du trop peu, là du trop, et condamne sans retour ces déplorables excès. Ces dispositions dominaient...þ