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1

Pomboz (comprenant Hautecombe
et les environs)
Grange d'Aix et Givry..
Méry.

Saint-Innocent2.
Montagne de Cherel.
Molliesulla en Chautagne3
Rente d'Yenne..
Maison Sainte-Barbe..
Bourdeau (moulins de)
Lavours.
Porteau.

Rente de la Serraz en
Dauphiné....
Rente des Vignettes
près Lyon.
Rente de la Magdeleine

à Lyon...
Rente de Mâcon..

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En 1727, outre les 1,260 livres argent, cette ferme rendait 40 veissels de froment, 18 veissels de seigle et 164 setiers de vin.

* Dans la colonne des observations qui accompagnent la partie de ce tableau. dressé en 1737 par le sénateur Bonaud, administrateur d'Hautecombe, on lit: On a déjà fait réparer les granges et on a mis les bâtiments du prieuré en état. mais il sera difficile d'augmenter les revenus, attendu les grandes charges en denrées; étant obligé de donner, outre la cense en argent, 120 vaisseaux froment et 5 tonneaux vin. Þar le passé, on donnait 135 vaisseaux et pas de vin. >>

Ces biens ne rendaient, en 1737, que 100 livres, grâce aux dégâts causés par

le Rhône et aux dépenses faites pour la réparation des bâtiments.

Ces moulins avaient été rebâtis entièrement sous l'administration Bonaud. Du reste, dans toutes les propriétés, il avait été fait, par les soins du comte Bonaud, de grandes réparations aux bâtiments.

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Rendement presque nul, de 1716 à 1727.

Id., id.

714 ans d'arrérages.

Extrait des archives de Cour et des archives de la préfecture de Chambéry.)

No 1 (Page 487.)

Inscriptions et débris d'anciens monuments, retrouvés ȧ Hautecombe pendant les travaux de restauration.

Nous avons fait mention, dans le cours de notre récit, d'un certain nombre d'épitaphes anciennes, reproduites sur les nouveaux monuments funèbres, et indiqué quelles parties de l'ancienne basilique avaient été conservées dans la nouvelle construction. Beaucoup de fragments précieux de la sculpture et de l'ornementation an moyen-âge, tirés des décombres ou détachés des murailles qui menaçaient ruine, n'ont pu être utilisés et forment aujourd'hui une espèce de musée dans le côté du cloître adossé au mur méridional de l'église. Là se voient des statues mutilées, en marbre blanc ou en pierre peinte, des têtes d'anges, des arceaux gothiques, des piédestaux dorés ou peints de vives couleurs rouges ou bleues, des bas-reliefs, des écussons de Savoie, des baldaquins, des rosaces, etc.

En fait de statues, nous indiquerons :

1o Une statuette de saint Jacques majeur, portant des coquilles à son chapeau, la besace et le bourdon.

2o Une statue, approchant de la grandeur naturelle, vêtue d'une dalmatique ancienne, avec un livre à la main.

3o Deux figurines de marbre blanc, représentant des pleureuses, placées autrefois dans de petites niches autour d'un tombeau. Elles portent toutes deux une aumônière pendue à la ceinture et paraissent remonter au XVe siècle. Deux autres fragments de statuettes bien frustes devaient orner le même monument.

4o Un fragment de statue, de la ceinture en bas, portant sur le socle s. ANDREAS, et une autre, vêtue à la juive, ayant le visage rouge, les cheveux et la barbe dorée toutes deux faisaient partie des douze apôtres qui ornaient la chapelle des Princes.

5o Une statue mutilée, revêtue d'une peau d'animal, probablement d'un tigre, dont la tête est figurée dans un pli du vêtement à la hauteur du genou.

6o Deux autres statues mutilées devaient représenter saint Jean-Baptiste et saint Étienne, premier martyr.

On y retrouve aussi deux restes de monuments des princes de Savoie. L'un est le torse d'Humbert, comte de Romont. La statue, comme on le voit dans Guichenon, a les mains jointes sur la poitrine. La cotte d'armes porte la croix de Savoie, chargée de cinq demi-lunes qui lui servaient en même temps de brisure et de souvenir de ses sept années de captivité chez les Turcs après la bataille de Nicopolis. Sur la poitrine, à gauche, se voit une autre croix à plusieurs branches, qui serait, d'après Cibrario, celle de l'ordre du PorcÉpic, fondé, en 1393, par Louis, duc d'Orléans. Sur son antique collier de l'Ordre de Savoie se lisent encore les mots ALA HAC, que de Comnène avait remarqués en 1657. (Voy. suprà, p. 272.)

Au même monument ou au moins à la même chapelle du Bâtard de Savoie appartenaient probablement un petit ange ailé portant ses armoiries, et un socle sur lequel elles étaient sculptées.

L'autre monument représente la statue couchée de Jeanne de Montfort, femme de Louis Ier de Savoie, baron de Vaud. La tête, ornée d'un voile, repose sur un oreiller. Elle est vêtue d'une tunique sans ceinture, à manches étroites, et d'un

manteau.

Ces vestiges et les dessins de Guichenon servirent de guide aux artistes pour relever les nouveaux monuments.

Citons, parmi les autres fragments conservés, un aigle noir et un lion avec la bible, symbole des évangélistes, qui se plaçaient ou sur la façade de l'église ou sur le maître-autel. Entre les serres de l'aigle et les jambes dujlion se lisent ses mots: S. JOHES (Johannes), S. MARCUS.

Plusieurs pierres tombales ont également été réunies dans

ce local sur l'une d'elles, de grande dimension et deux fois aussi longue que large, on remarque une croix pâtée, en relief, analogue à celles que l'on voit dans le cimetière de Brison, de l'autre côté du lac.

Une deuxième porte une inscription ainsi conçue :

ANNO. DNI. M°.CC OC

TOG. III. Vo. KL'. AV

GUSTI. OBIIT. MA

GISTER. I. UALO

DE. BELL'. ET. HIC.

IACET. CUIS AIA

REQIESCAT. I. PACE.

Cette inscription se lit comme suit :

Anno Domini millesimo ducentesimo octogesimo tertio, quinto kalendas augusti, obiit magister J. Valo de Bellicio et hic jacet. Cujus anima requiescat in pace.

Sur une troisième pierre, on lit l'inscription suivante qui paraît remonter, suivant Cibrario, au XIIIe siècle :

CI GIST. FRERE

MARTIS. LITIELE

RS. PRIEZ. POR LI

QVE. DIEX. ENAIT

MERCI. SIENDIT

ES. LA PATS N

OTRE.

C'est-à-dire :

Ci git frère Martin le tielers (le teilleur?). Priez pour lui. Que Dieu lui fasse miséricorde. Ici on dit le Pater noster. Une quatrième porte cette inscription:

HIC. IACET

FRATER IACE

RMUS DE IREMO

NT MAGISTER

SUTOR (une semelle).

Hic jacet frater Jacermus de Iremont magis

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