Oeuvres complètes de Rollin, ÇáãÌáÏ 6F. Didot, 1821 |
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ÇáäÊÇÆÌ 1-5 ãä 57
ÇáÕÝÍÉ 43
... dieu d'ériger des monuments à un autre dieu . Avant qu'il sortît d'Éphèse , les députés de Tralles et de Magnésie vinrent lui apporter les clefs de leurs villes . Il marcha ensuite vers Milet , qui , dans l'espérance d'un prompt et ...
... dieu d'ériger des monuments à un autre dieu . Avant qu'il sortît d'Éphèse , les députés de Tralles et de Magnésie vinrent lui apporter les clefs de leurs villes . Il marcha ensuite vers Milet , qui , dans l'espérance d'un prompt et ...
ÇáÕÝÍÉ 56
... dieu qui avait sauvé la vie au prince . Outre la vénération que ces peuples ont naturelle- ment pour leurs rois , il n'est pas imaginable combien ils avaient celui - ci en admiration par dessus les autres , et combien était grande l ...
... dieu qui avait sauvé la vie au prince . Outre la vénération que ces peuples ont naturelle- ment pour leurs rois , il n'est pas imaginable combien ils avaient celui - ci en admiration par dessus les autres , et combien était grande l ...
ÇáÕÝÍÉ 60
... ( Q. CURT . ) 2 Jupiter était un dieu inconnu aux Perses . Quinte - Curce appelle ainsi apparemment le premier et le plus grand de leurs dieux . les écuyers étaient habillés de blanc , avec une baguette 60 HISTOIRE ANCIENNE .
... ( Q. CURT . ) 2 Jupiter était un dieu inconnu aux Perses . Quinte - Curce appelle ainsi apparemment le premier et le plus grand de leurs dieux . les écuyers étaient habillés de blanc , avec une baguette 60 HISTOIRE ANCIENNE .
ÇáÕÝÍÉ 90
... dieu tutélaire , on lui en refusa l'entrée . Ce conquérant , après tant de victoires , avait le cœur trop haut pour souffrir un pareil affront . Il résolut de les forcer par un siége , et eux de leur côté se disposèrent à se bien ...
... dieu tutélaire , on lui en refusa l'entrée . Ce conquérant , après tant de victoires , avait le cœur trop haut pour souffrir un pareil affront . Il résolut de les forcer par un siége , et eux de leur côté se disposèrent à se bien ...
ÇáÕÝÍÉ 92
... Dieu , qui voulait par son ministère punir l'orgueil de Tyr , comme la suite le fera connaître , lui ôta toutes ces pensées , et le détermina au siége de cette place , malgré toutes les difficultés qui s'opposaient à un dessein si ...
... Dieu , qui voulait par son ministère punir l'orgueil de Tyr , comme la suite le fera connaître , lui ôta toutes ces pensées , et le détermina au siége de cette place , malgré toutes les difficultés qui s'opposaient à un dessein si ...
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Alex Alexandre Antigone Antipater argyraspides armée armes Arrian arriva Athènes Athéniens avaient ayant Babylone Bactriane Barbares bataille Bessus c'était camp Cappadoce Cassandre cavalerie cents chariots Clitus combat commandait côté courage Cratère Curt Cyrus d'Alexandre d'Antigone d'autres Darius déja Démétrius Démosthène dessein Dieu dieux Diod donna Ecbatane Égypte éléphants ennemis envoya Eumène faisait fils fleuve fût gloire gouvernement gouverneur grace Grèce guerre Hist hommes de pied infanterie jours l'armée l'Asie l'Égypte l'empire laissa Léosthène long-temps Lysimaque Macédoine Macédoniens main maître marche mée ment mille chevaux mille hommes mort n'avait n'était nation officiers Olympias Parménion passer pays Perdiccas père Perses peuples Phénicie Philippe Philotas Phocion Plut Plutarque Polysperchon porter Porus pouvait prince prit provinces Ptolémée Quinte-Curce règne rendre reste rien rois royaume s'était Séleucus sent seul siége Sogdiens soldats sorte Syrie Sysigambis temple Thrace tion troupes trouva Tyriens venait victoire voyant
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ÇáÕÝÍÉ 372 - L'idée de liberté, qu'une telle conduite inspirait, était admirable. Car la liberté que se figuraient les Grecs, était une liberté soumise à la loi, c'est-à-dire à la raison même reconnue par tout le peuple. Ils ne voulaient pas que les hommes eussent du pouvoir parmi eux. Les magistrats, redoutés durant le temps de leur ministère, redevenaient des particuliers qui ne gardaient d'autorité qu'autant que leur en donnait leur expérience. La loi était regardée comme la maîtresse : c'était...þ
ÇáÕÝÍÉ 378 - ... l'âge de trente-trois ans, au milieu des plus vastes desseins qu'un homme eût jamais conçus, et avec les, plus justes espérances d'un heureux succès, il mourut sans avoir eu le loisir...þ
ÇáÕÝÍÉ 378 - Macédoine, soa ancien royaume, tenu par ses ancêtres depuis tant de siècles, fut envahi de tous côtés comme une succession vacante; et, après avoir été longtemps la proie du plus fort, il passa enfin à une autre famille. Ainsi ce grand conquérant, le plus renommé et le plus illustre qui fut jamais, a été le dernier roi de sa race.þ
ÇáÕÝÍÉ 373 - Une des choses qui faisaient aimer la poésie d'Homère, est qu'il chantait les victoires et les avantages de la Grèce sur l'Asie. Du côté de l'Asie était Vénus, c'est-à-dire les plaisirs, les folles amours et la mollesse : du côté de la Grèce était •limon, c'est-à-dire la gravité avec l'amour conjugal, Mercure avec l'éloquence, Jupiter et la sagesse politique.þ
ÇáÕÝÍÉ 383 - Macédoine, tenu par ses ancêtres depuis tant de siècles, fut envahi de tous côtés comme une succession vacante; et, après avoir été longtemps la proie du plus fort, il passa enfin à une autre famille. Ainsi ce grand conquérant, le plus renommé et le plus illustre qui fut jamais, a été le dernier roi de sa race. S'il fût...þ
ÇáÕÝÍÉ 373 - Grèce tirait du sien était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays, qu'ils le conduisaient en commun , et que chaque particulier pouvait parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie, pour conserver l'État de la Grèce, n'est pas croyable. Plus...þ
ÇáÕÝÍÉ 383 - S'il fût demeuré paisible dans la Macédoine, la grandeur de son empire n'aurait pas tenté ses capitaines ; et il eût pu laisser à ses enfants le royaume de ses pères ; mais parce qu'il avait été trop puissant, il fut cause de la perte de tous les siens : et voilà le fruit glorieux de tant de conquêtes. Sa mort fut la...þ
ÇáÕÝÍÉ 373 - Grèce ainsi élevée regardait les Asiatiques avec leur délicatesse, avec leur parure et leur beauté semblable à celle des femmes, elle n'avait que du mépris pour eux. Mais leur forme de gouvernement, qui n'avait pour règle que la volonté du prince , maîtresse de toutes les lois et même des plus sacrées, lui inspirait de l'horreur, et l'objet le plus odieux qu'eut toute la Grèce étaient les Barbares '. Cette haine était venue aux Grecs dès les premiers temps, et leur était devenue...þ
ÇáÕÝÍÉ 372 - Grecs ainsi policés peu à peu se crurent capables de se gouverner eux-mêmes, et la plupart des villes se formèrent en républiques.þ
ÇáÕÝÍÉ 90 - Les marchands y abordent de toutes les parties du monde, et ses habitants sont eux-mêmes les plus fameux marchands qu'il y ait dans l'univers. Quand on entre dans cette ville, on croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples et le centre de leur commerce.þ