Oeuvres complètes de Rollin, ÇáãÌáÏ 6F. Didot, 1821 |
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ÇáÕÝÍÉ 13
... général , en un mot tout ce qui est nécessaire pour former un bon com- mandant . I ἐγὼ δὲ βουλοίμην ἂν ταῖς περὶ τὰ ἄριςα ἐμπειρίαις , ἢ ταῖς δυνά μεσι , διαφέρειν . 2 Ην φιλολόγος , καὶ φιλομαθής , καὶ φιλαναγνώςης . Plut.de Fort . 2 ...
... général , en un mot tout ce qui est nécessaire pour former un bon com- mandant . I ἐγὼ δὲ βουλοίμην ἂν ταῖς περὶ τὰ ἄριςα ἐμπειρίαις , ἢ ταῖς δυνά μεσι , διαφέρειν . 2 Ην φιλολόγος , καὶ φιλομαθής , καὶ φιλαναγνώςης . Plut.de Fort . 2 ...
ÇáÕÝÍÉ 48
... général de la cavalerie thessalienne à la place de Callas , à qui il avait donné un gouvernement . Darius , sur une lettre I qu'il avait reçue de ce traître , lui promettait 48 HISTOIRE ANCIENNE . le plus sûr pour ne rien laisser ...
... général de la cavalerie thessalienne à la place de Callas , à qui il avait donné un gouvernement . Darius , sur une lettre I qu'il avait reçue de ce traître , lui promettait 48 HISTOIRE ANCIENNE . le plus sûr pour ne rien laisser ...
ÇáÕÝÍÉ 50
... général de toutes les troupes destinées pour cette expédition . Ce prince ne pouvait faire un meilleur choix . C'était le plus habile homme et le meilleur général qu'il eût , et depuis plusieurs années il avait servi la Perse avec une ...
... général de toutes les troupes destinées pour cette expédition . Ce prince ne pouvait faire un meilleur choix . C'était le plus habile homme et le meilleur général qu'il eût , et depuis plusieurs années il avait servi la Perse avec une ...
ÇáÕÝÍÉ 67
... en Alexandre . Il retenait tous ces sentiments dans son cœur , sachant bien qu'aux approches d'une bataille , le général ne doit jamais laisser paraître sur 5 . PERSES ET GRECS . 67 excepté quelques soldats qu'il renvoya après les avoir ...
... en Alexandre . Il retenait tous ces sentiments dans son cœur , sachant bien qu'aux approches d'une bataille , le général ne doit jamais laisser paraître sur 5 . PERSES ET GRECS . 67 excepté quelques soldats qu'il renvoya après les avoir ...
ÇáÕÝÍÉ 68
Charles Rollin. bataille , le général ne doit jamais laisser paraître sur son visage ni tristesse , ni perplexité , et que l'armée ne doit voir que de la fermeté et de la résolution dans celui qui la commande . Ayant fait prendre de la ...
Charles Rollin. bataille , le général ne doit jamais laisser paraître sur son visage ni tristesse , ni perplexité , et que l'armée ne doit voir que de la fermeté et de la résolution dans celui qui la commande . Ayant fait prendre de la ...
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ÇáÕÝÍÉ 372 - L'idée de liberté, qu'une telle conduite inspirait, était admirable. Car la liberté que se figuraient les Grecs, était une liberté soumise à la loi, c'est-à-dire à la raison même reconnue par tout le peuple. Ils ne voulaient pas que les hommes eussent du pouvoir parmi eux. Les magistrats, redoutés durant le temps de leur ministère, redevenaient des particuliers qui ne gardaient d'autorité qu'autant que leur en donnait leur expérience. La loi était regardée comme la maîtresse : c'était...þ
ÇáÕÝÍÉ 378 - ... l'âge de trente-trois ans, au milieu des plus vastes desseins qu'un homme eût jamais conçus, et avec les, plus justes espérances d'un heureux succès, il mourut sans avoir eu le loisir...þ
ÇáÕÝÍÉ 378 - Macédoine, soa ancien royaume, tenu par ses ancêtres depuis tant de siècles, fut envahi de tous côtés comme une succession vacante; et, après avoir été longtemps la proie du plus fort, il passa enfin à une autre famille. Ainsi ce grand conquérant, le plus renommé et le plus illustre qui fut jamais, a été le dernier roi de sa race.þ
ÇáÕÝÍÉ 373 - Une des choses qui faisaient aimer la poésie d'Homère, est qu'il chantait les victoires et les avantages de la Grèce sur l'Asie. Du côté de l'Asie était Vénus, c'est-à-dire les plaisirs, les folles amours et la mollesse : du côté de la Grèce était •limon, c'est-à-dire la gravité avec l'amour conjugal, Mercure avec l'éloquence, Jupiter et la sagesse politique.þ
ÇáÕÝÍÉ 383 - Macédoine, tenu par ses ancêtres depuis tant de siècles, fut envahi de tous côtés comme une succession vacante; et, après avoir été longtemps la proie du plus fort, il passa enfin à une autre famille. Ainsi ce grand conquérant, le plus renommé et le plus illustre qui fut jamais, a été le dernier roi de sa race. S'il fût...þ
ÇáÕÝÍÉ 373 - Grèce tirait du sien était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays, qu'ils le conduisaient en commun , et que chaque particulier pouvait parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie, pour conserver l'État de la Grèce, n'est pas croyable. Plus...þ
ÇáÕÝÍÉ 383 - S'il fût demeuré paisible dans la Macédoine, la grandeur de son empire n'aurait pas tenté ses capitaines ; et il eût pu laisser à ses enfants le royaume de ses pères ; mais parce qu'il avait été trop puissant, il fut cause de la perte de tous les siens : et voilà le fruit glorieux de tant de conquêtes. Sa mort fut la...þ
ÇáÕÝÍÉ 373 - Grèce ainsi élevée regardait les Asiatiques avec leur délicatesse, avec leur parure et leur beauté semblable à celle des femmes, elle n'avait que du mépris pour eux. Mais leur forme de gouvernement, qui n'avait pour règle que la volonté du prince , maîtresse de toutes les lois et même des plus sacrées, lui inspirait de l'horreur, et l'objet le plus odieux qu'eut toute la Grèce étaient les Barbares '. Cette haine était venue aux Grecs dès les premiers temps, et leur était devenue...þ
ÇáÕÝÍÉ 372 - Grecs ainsi policés peu à peu se crurent capables de se gouverner eux-mêmes, et la plupart des villes se formèrent en républiques.þ
ÇáÕÝÍÉ 90 - Les marchands y abordent de toutes les parties du monde, et ses habitants sont eux-mêmes les plus fameux marchands qu'il y ait dans l'univers. Quand on entre dans cette ville, on croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples et le centre de leur commerce.þ