Oeuvres complètes de Rollin, ÇáãÌáÏ 6F. Didot, 1821 |
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ÇáÕÝÍÉ 15
... plein de feu . Il se nommait Bucéphale 2 . On voulait le vendre treize talents , c'est - à - dire treize mille écus de notre monnaie 3. Le roi , avec ses cour- tisans , descendit dans la plaine pour le faire essayer . Personne ne put le ...
... plein de feu . Il se nommait Bucéphale 2 . On voulait le vendre treize talents , c'est - à - dire treize mille écus de notre monnaie 3. Le roi , avec ses cour- tisans , descendit dans la plaine pour le faire essayer . Personne ne put le ...
ÇáÕÝÍÉ 16
... plein de joie et de confiance , s'approche du cheval , prend les rênes , et lui tourne la tête au soleil , ayant remarqué sans doute que ce qui l'effrayait et l'effarouchait , c'était son ombre qu'il voyait tomber devant lui , et se ...
... plein de joie et de confiance , s'approche du cheval , prend les rênes , et lui tourne la tête au soleil , ayant remarqué sans doute que ce qui l'effrayait et l'effarouchait , c'était son ombre qu'il voyait tomber devant lui , et se ...
ÇáÕÝÍÉ 20
... plein de mépris pour Alexandre qu'il ap- pelait un enfant et un jeune étourdi1 ; il assurait d'un ton décisif qu'on n'avait rien à craindre du nouveau roi de Macédoine , qui n'était point en état de mettre le pied hors de son royaume ...
... plein de mépris pour Alexandre qu'il ap- pelait un enfant et un jeune étourdi1 ; il assurait d'un ton décisif qu'on n'avait rien à craindre du nouveau roi de Macédoine , qui n'était point en état de mettre le pied hors de son royaume ...
ÇáÕÝÍÉ 34
... plein de joie hors du na- vire , il dressa des autels sur le rivage à Jupiter , à Minerve , à Hercule , qui lui avaient procuré une des- cente si favorable . Il avait fait la même chose en quit- tant l'Europe . Il comptait si fort sur l ...
... plein de joie hors du na- vire , il dressa des autels sur le rivage à Jupiter , à Minerve , à Hercule , qui lui avaient procuré une des- cente si favorable . Il avait fait la même chose en quit- tant l'Europe . Il comptait si fort sur l ...
ÇáÕÝÍÉ 57
... plein d'une folle confiance dans la multitude immense de ses troupes , et jugeant uniquement des deux armées par le nombre . Les plaines d'Assyrie où il était campé lui permettaient d'étendre librement sa cavalerie et de se prévaloir de ...
... plein d'une folle confiance dans la multitude immense de ses troupes , et jugeant uniquement des deux armées par le nombre . Les plaines d'Assyrie où il était campé lui permettaient d'étendre librement sa cavalerie et de se prévaloir de ...
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ÇáÕÝÍÉ 372 - L'idée de liberté, qu'une telle conduite inspirait, était admirable. Car la liberté que se figuraient les Grecs, était une liberté soumise à la loi, c'est-à-dire à la raison même reconnue par tout le peuple. Ils ne voulaient pas que les hommes eussent du pouvoir parmi eux. Les magistrats, redoutés durant le temps de leur ministère, redevenaient des particuliers qui ne gardaient d'autorité qu'autant que leur en donnait leur expérience. La loi était regardée comme la maîtresse : c'était...þ
ÇáÕÝÍÉ 378 - ... l'âge de trente-trois ans, au milieu des plus vastes desseins qu'un homme eût jamais conçus, et avec les, plus justes espérances d'un heureux succès, il mourut sans avoir eu le loisir...þ
ÇáÕÝÍÉ 378 - Macédoine, soa ancien royaume, tenu par ses ancêtres depuis tant de siècles, fut envahi de tous côtés comme une succession vacante; et, après avoir été longtemps la proie du plus fort, il passa enfin à une autre famille. Ainsi ce grand conquérant, le plus renommé et le plus illustre qui fut jamais, a été le dernier roi de sa race.þ
ÇáÕÝÍÉ 373 - Une des choses qui faisaient aimer la poésie d'Homère, est qu'il chantait les victoires et les avantages de la Grèce sur l'Asie. Du côté de l'Asie était Vénus, c'est-à-dire les plaisirs, les folles amours et la mollesse : du côté de la Grèce était •limon, c'est-à-dire la gravité avec l'amour conjugal, Mercure avec l'éloquence, Jupiter et la sagesse politique.þ
ÇáÕÝÍÉ 383 - Macédoine, tenu par ses ancêtres depuis tant de siècles, fut envahi de tous côtés comme une succession vacante; et, après avoir été longtemps la proie du plus fort, il passa enfin à une autre famille. Ainsi ce grand conquérant, le plus renommé et le plus illustre qui fut jamais, a été le dernier roi de sa race. S'il fût...þ
ÇáÕÝÍÉ 373 - Grèce tirait du sien était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays, qu'ils le conduisaient en commun , et que chaque particulier pouvait parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie, pour conserver l'État de la Grèce, n'est pas croyable. Plus...þ
ÇáÕÝÍÉ 383 - S'il fût demeuré paisible dans la Macédoine, la grandeur de son empire n'aurait pas tenté ses capitaines ; et il eût pu laisser à ses enfants le royaume de ses pères ; mais parce qu'il avait été trop puissant, il fut cause de la perte de tous les siens : et voilà le fruit glorieux de tant de conquêtes. Sa mort fut la...þ
ÇáÕÝÍÉ 373 - Grèce ainsi élevée regardait les Asiatiques avec leur délicatesse, avec leur parure et leur beauté semblable à celle des femmes, elle n'avait que du mépris pour eux. Mais leur forme de gouvernement, qui n'avait pour règle que la volonté du prince , maîtresse de toutes les lois et même des plus sacrées, lui inspirait de l'horreur, et l'objet le plus odieux qu'eut toute la Grèce étaient les Barbares '. Cette haine était venue aux Grecs dès les premiers temps, et leur était devenue...þ
ÇáÕÝÍÉ 372 - Grecs ainsi policés peu à peu se crurent capables de se gouverner eux-mêmes, et la plupart des villes se formèrent en républiques.þ
ÇáÕÝÍÉ 90 - Les marchands y abordent de toutes les parties du monde, et ses habitants sont eux-mêmes les plus fameux marchands qu'il y ait dans l'univers. Quand on entre dans cette ville, on croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples et le centre de leur commerce.þ