Oeuvres complètes de Rollin, المجلد 6F. Didot, 1821 |
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... ville de Stagire 1 , qui était la patrie de ce philosophe , il la rebâtit pour l'amour de lui 2 , y rétablit les habi- tants qui s'en étaient retirés ou qui avaient été ré- ' duits en servitude , et leur donna , pour le lieu de leurs ...
... ville de Stagire 1 , qui était la patrie de ce philosophe , il la rebâtit pour l'amour de lui 2 , y rétablit les habi- tants qui s'en étaient retirés ou qui avaient été ré- ' duits en servitude , et leur donna , pour le lieu de leurs ...
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... ville , il voulut leur donner le temps de se repen- tir , et demanda seulement qu'on lui livrât Phénix et Prothute , les deux principaux auteurs de la révolte , et fit publier à son de trompe une amnistie et une sûreté entière pour tous ...
... ville , il voulut leur donner le temps de se repen- tir , et demanda seulement qu'on lui livrât Phénix et Prothute , les deux principaux auteurs de la révolte , et fit publier à son de trompe une amnistie et une sûreté entière pour tous ...
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... ville fut prise et pillée . On ne saurait exprimer les affreuses calamités qu'elle eut à essuyer dans ce saccagement . Il y eut des Thraces qui , ayant abattu la maison d'une dame de qualité et de vertu nommée Timocléa , pillèrent tous ...
... ville fut prise et pillée . On ne saurait exprimer les affreuses calamités qu'elle eut à essuyer dans ce saccagement . Il y eut des Thraces qui , ayant abattu la maison d'une dame de qualité et de vertu nommée Timocléa , pillèrent tous ...
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... villes , et leur reprochèrent le zèle constant qu'ils avaient témoigné dans tous les temps pour les Perses contre l ... ville qu'une faible troupe de femmes , d'enfants et de vieillards , dont on n'avait rien à craindre , et qui était d ...
... villes , et leur reprochèrent le zèle constant qu'ils avaient témoigné dans tous les temps pour les Perses contre l ... ville qu'une faible troupe de femmes , d'enfants et de vieillards , dont on n'avait rien à craindre , et qui était d ...
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... ville fut détruite . Il conserva la liberté aux prêtres , à tous ceux qui avaient droit d'hospitalité avec les Macédoniens , aux descendants de Pindare , célèbre poëte qui avait fait tant d'honneur à la Grèce , et à ceux qui s'étaient ...
... ville fut détruite . Il conserva la liberté aux prêtres , à tous ceux qui avaient droit d'hospitalité avec les Macédoniens , aux descendants de Pindare , célèbre poëte qui avait fait tant d'honneur à la Grèce , et à ceux qui s'étaient ...
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عبارات ومصطلحات مألوفة
Alex Alexandre Antigone Antipater argyraspides armée armes Arrian arriva Athènes Athéniens avaient ayant Babylone Bactriane Barbares bataille Bessus c'était camp Cappadoce Cassandre cavalerie cents chariots Clitus combat commandait côté courage Cratère Curt Cyrus d'Alexandre d'Antigone d'autres Darius déja Démétrius Démosthène dessein Dieu dieux Diod donna Ecbatane Égypte éléphants ennemis envoya Eumène faisait fils fleuve fût gloire gouvernement gouverneur grace Grèce guerre Hist hommes de pied infanterie jours l'armée l'Asie l'Égypte l'empire laissa Léosthène long-temps Lysimaque Macédoine Macédoniens main maître marche mée ment mille chevaux mille hommes mort n'avait n'était nation officiers Olympias Parménion passer pays Perdiccas père Perses peuples Phénicie Philippe Philotas Phocion Plut Plutarque Polysperchon porter Porus pouvait prince prit provinces Ptolémée Quinte-Curce règne rendre reste rien rois royaume s'était Séleucus sent seul siége Sogdiens soldats sorte Syrie Sysigambis temple Thrace tion troupes trouva Tyriens venait victoire voyant
مقاطع مشهورة
الصفحة 372 - L'idée de liberté, qu'une telle conduite inspirait, était admirable. Car la liberté que se figuraient les Grecs, était une liberté soumise à la loi, c'est-à-dire à la raison même reconnue par tout le peuple. Ils ne voulaient pas que les hommes eussent du pouvoir parmi eux. Les magistrats, redoutés durant le temps de leur ministère, redevenaient des particuliers qui ne gardaient d'autorité qu'autant que leur en donnait leur expérience. La loi était regardée comme la maîtresse : c'était...
الصفحة 378 - ... l'âge de trente-trois ans, au milieu des plus vastes desseins qu'un homme eût jamais conçus, et avec les, plus justes espérances d'un heureux succès, il mourut sans avoir eu le loisir...
الصفحة 378 - Macédoine, soa ancien royaume, tenu par ses ancêtres depuis tant de siècles, fut envahi de tous côtés comme une succession vacante; et, après avoir été longtemps la proie du plus fort, il passa enfin à une autre famille. Ainsi ce grand conquérant, le plus renommé et le plus illustre qui fut jamais, a été le dernier roi de sa race.
الصفحة 373 - Une des choses qui faisaient aimer la poésie d'Homère, est qu'il chantait les victoires et les avantages de la Grèce sur l'Asie. Du côté de l'Asie était Vénus, c'est-à-dire les plaisirs, les folles amours et la mollesse : du côté de la Grèce était •limon, c'est-à-dire la gravité avec l'amour conjugal, Mercure avec l'éloquence, Jupiter et la sagesse politique.
الصفحة 383 - Macédoine, tenu par ses ancêtres depuis tant de siècles, fut envahi de tous côtés comme une succession vacante; et, après avoir été longtemps la proie du plus fort, il passa enfin à une autre famille. Ainsi ce grand conquérant, le plus renommé et le plus illustre qui fut jamais, a été le dernier roi de sa race. S'il fût...
الصفحة 373 - Grèce tirait du sien était que les citoyens s'affectionnaient d'autant plus à leur pays, qu'ils le conduisaient en commun , et que chaque particulier pouvait parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie, pour conserver l'État de la Grèce, n'est pas croyable. Plus...
الصفحة 383 - S'il fût demeuré paisible dans la Macédoine, la grandeur de son empire n'aurait pas tenté ses capitaines ; et il eût pu laisser à ses enfants le royaume de ses pères ; mais parce qu'il avait été trop puissant, il fut cause de la perte de tous les siens : et voilà le fruit glorieux de tant de conquêtes. Sa mort fut la...
الصفحة 373 - Grèce ainsi élevée regardait les Asiatiques avec leur délicatesse, avec leur parure et leur beauté semblable à celle des femmes, elle n'avait que du mépris pour eux. Mais leur forme de gouvernement, qui n'avait pour règle que la volonté du prince , maîtresse de toutes les lois et même des plus sacrées, lui inspirait de l'horreur, et l'objet le plus odieux qu'eut toute la Grèce étaient les Barbares '. Cette haine était venue aux Grecs dès les premiers temps, et leur était devenue...
الصفحة 372 - Grecs ainsi policés peu à peu se crurent capables de se gouverner eux-mêmes, et la plupart des villes se formèrent en républiques.
الصفحة 90 - Les marchands y abordent de toutes les parties du monde, et ses habitants sont eux-mêmes les plus fameux marchands qu'il y ait dans l'univers. Quand on entre dans cette ville, on croit d'abord que ce n'est point une ville qui appartienne à un peuple particulier, mais qu'elle est la ville commune de tous les peuples et le centre de leur commerce.