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SOMMAIRE

DU LIVRE QUATRIÈME

1. ORIGINE ET ORGANISATION ACTUELLE DE LA BIBLIOTHÈQUE.

II.

DISTRIBUTION DES OUVRAGES

AUX MEMBRES DES

UNIONS PAR LE COMITÉ DE LA Bibliothèque.

III.

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CATALOGUE. 1re Section. Ouvrages de M. F. Le Play et des collaborateurs qui, en appliquant la Méthode à l'étude des Familles, ont préparé l'étude des Sociétés. 2e Section. Ouvrages de M. F. Le Play

et des collaborateurs qui ont préparé les Unions locales et en propagent les travaux. 3e Section. Ouvrages publiés par le Comité de la Bibliothèque.

thèque annexée.

La Biblio

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De 1855 à 1869, les ouvrages composant cette Bibliothèque ont été publiés sous divers formats, avec le concours de plusieurs éditeurs. Dès cette première époque, le principal auteur se préoccupa uniquement d'encourager les ventes par l'attrait du bon marché : renonçant à tout prélèvement sur ces ventes, il se borna, dans tous les traités, à exprimer le vœu que les prix fussent réduits autant que le permettaient les nécessités du commerce.

En 1869, les lecteurs habituels de la Bibliothèque commencèrent à émettre l'opinion que l'enseignement déjà constitué pourrait être utile à la réforme sociale de l'Occident. L'idée de fonder sur cet enseignement les Unions de la paix sociale se fit jour de toutes parts. C'est dans ces circonstances que les Éditeurs actuels de la Bibliothèque vinrent offrir un concours absolument désintéressé. Il fut convenu que

les Éditeurs comme les Auteurs s'interdiraient tous profits personnels; et que si de tels profits se produisaient éventuellement, il en serait fait remise au Trésorier de la Biblothèque, qui, lui-même, réduirait d'autant, en certains cas, le prix des ouvrages cédés aux membres des Unions locales.

Les Éditeurs ont exposé eux-mêmes, dans les termes suivants, les motifs de cette généreuse intervention;

<«< Au moment où nous éditons pour la première fois cet ouvrage, dans les conditions exceptionnelles << adoptées pour les autres écrits de M. Le Play, << nous croyons utile d'indiquer les motifs qui nous « attachent à l'oeuvre, vraiment européenne, qu'il « poursuit avec tant de labeur et de dévouement.

« Dès le début de notre carrière commerciale, nous << avons compris la nécessité de développer nos ate«liers dans les conditions qui pouvaient le mieux << faire régner l'harmonie entre notre famille et celles «< qui lui sont attachées. Sous ce rapport, nous << sommes restés soumis à certains usages qui tom<< bent en désuétude dans beaucoup d'ateliers fran<< çais ou étrangers.

<«< Or, en lisant les écrits de M. Le Play, nous « fûmes tout d'abord frappés de deux faits princi«<paux. En premier lieu, les Autorités sociales, dont « l'auteur a recueilli avec tant de soin la pratique et « la doctrine, ont conservé dans leurs ateliers toutes

1 La Réforme sociale, 4 édition; Avertissement des Éditeurs.

<<< les coutumes qui ont eu, pour nous et pour nos <«< ouvriers, les plus heureux résultats. Nous avons << naturellement trouvé dans cette circonstance un « motif d'attachement à cette tradition. En second <«< lieu, ces mêmes Autorités gardent avec de grands << avantages plusieurs autres coutumes qui n'au«<raient pas été moins bienfaisantes pour nous, si << elles nous avaient été plus tôt connues. Ainsi, par « exemple, nous constatons avec regret que les ca« pitaux immobilisés dans la ville de Tours pour << l'extension de nos ateliers eussent produit dans la << banlieue de meilleurs résultats pour nos ouvriers. « Nous aurions pu, en effet, tout en leur assurant <«< la même somme de salaires, les aider à conquérir << les avantages matériels et moraux que donne par<«< tout la propriété du foyer domestique, lié à de << petites dépendances rurales. Nous avons dû con<«< clure, de notre propre expérience, que la connais«sance de ces coutumes, pratiquées en partie par << notre maison, serait fort utile à une foule de ma«nufacturiers qui les ignorent complétement et qui << s'engagent, en conséquence, dans des voies fausses << ou dangereuses. >>

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DISTRIBUTION DES OUVRAGES AUX MEMBRES DES UNIONS
PAR LE COMITÉ DE LA BIBLIOTHÈQUE

Les lettres concernant l'envoi des cotisations et les demandes d'ouvrages doivent être adressées à M. Dupont, trésorier du Comité, rue du Rocher, 34, Paris.

Le trésorier reçoit les communications verbales et délivre les ouvrages de la Bibliothèque, savoir:

Pendant les dix mois d'octobre à juillet :

Tous les jours à 11 h. pour la livraison des ouvrages remis en échange des cotisations. Les lundis, mercredis, jeudis et samedis, de 10 h. à 11 h. Les mardis et vendredis,

de 2 h. à 4 h.

Pendant les mois d'août et de septembre, le lundi de midi à 1 h.

Les cotisations peuvent être adressées à M. Dupont par mandat de poste. Lorsque la remise des livres a lieu directement chez le trésorier, les frais de port ou d'envoi étant nuls, la collection des ouvrages ne subit aucune réduction et représente intégralement le montant de la cotisation. Toutefois, les membres qui appartiennent à une Union locale déjà constituée, devront toujours adresser au trésorier de cette Union leurs demandes de livres et leurs cotisations. Voir les instructions données dans la brochure intitulée : Correspondance no 7.

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