Leçons de moraleA. Colin et cie., 1884 - 446 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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ÇáÕÝÍÉ 13
... montrer comment les formules générales précédemment établies s'appliquent à toutes ces circonstances . Pour cela , on distingue plu- sieurs grandes catégories de devoirs . - Les grandes catégories de devoirs . On considère d'abord , par ...
... montrer comment les formules générales précédemment établies s'appliquent à toutes ces circonstances . Pour cela , on distingue plu- sieurs grandes catégories de devoirs . - Les grandes catégories de devoirs . On considère d'abord , par ...
ÇáÕÝÍÉ 16
... principes auxiliaires du devoir , retrouver et montrer les attaches du devoir avec le bonheur , les rapports de la vertu avec tout ce qui , à la vérité , n'est pas elle , mais y confine et a du prix aussi 16 DEUXIEME LEÇON .
... principes auxiliaires du devoir , retrouver et montrer les attaches du devoir avec le bonheur , les rapports de la vertu avec tout ce qui , à la vérité , n'est pas elle , mais y confine et a du prix aussi 16 DEUXIEME LEÇON .
ÇáÕÝÍÉ 31
... montrer que la morale n'est pas une conception arbitraire , mais qu'elle est , elle aussi , un fait positif à sa manière , qu'elle résulte de la nature des choses , qu'elle a sa racine au fond même de la nature hu- maine . Mais , sous ...
... montrer que la morale n'est pas une conception arbitraire , mais qu'elle est , elle aussi , un fait positif à sa manière , qu'elle résulte de la nature des choses , qu'elle a sa racine au fond même de la nature hu- maine . Mais , sous ...
ÇáÕÝÍÉ 58
... montrer ? Qu'est - ce que cette frugalité qui n'est qu'un calcul pour jouir plus longtemps des plaisirs de l'estomac , pour avoir une plus verte vicillesse , c'est - à - dire une plus longue perspective de jouissances ? Qu'est - ce que ...
... montrer ? Qu'est - ce que cette frugalité qui n'est qu'un calcul pour jouir plus longtemps des plaisirs de l'estomac , pour avoir une plus verte vicillesse , c'est - à - dire une plus longue perspective de jouissances ? Qu'est - ce que ...
ÇáÕÝÍÉ 81
... montrer combien il diffère , en réalité , des philosophes proprement utili- taires * . Mais , avant de poursuivre , demandons - nous ce qu'il y a de vrai dans cette vue historique . Il semble hors de doute , d'après ces textes , que la ...
... montrer combien il diffère , en réalité , des philosophes proprement utili- taires * . Mais , avant de poursuivre , demandons - nous ce qu'il y a de vrai dans cette vue historique . Il semble hors de doute , d'après ces textes , que la ...
ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ
absolument actes action Adam Smith Aristote avons Bentham besoin bonheur bonne volonté Bossuet brahmane c'est-à-dire caractère charité Charles Fourier chose citoyens cœur conditions Confucius conscience morale contraire croyances cyrénaïque d'abord d'être devoir devons dévouement Dieu dire doctrine doit effet égoïsme enfants enseignement envers Épictète Épicure esprit famille force général grec Herbert Spencer homme humaine indis individuelle jamais juge juste justice Kant l'âme l'éducation l'égoïsme l'enfant l'esprit l'état l'homme l'idéal l'intérêt l'ordre latin LEÇONS DE MORALE liberté libre loi morale lois lui-même Marc-Aurèle médisance Mencius ment mieux mœurs monde mort n'est-il nation nature naturelle nécessaire nous-mêmes obligatoire Pascal passions patrie pensée perfection personne personnel phalanstère philosophe plaisir Platon politique pouvoir pratique préceptes prendre principes propre psychologie pure qu'un raison rale règle respect responsabilité rien s'il sagesse sanctions science sens sentiment serait seul simple simple justice sociale société Socrate sorte souvent souverain stoïciens stoïcisme surtout sympathie tion vérité vertu vrai
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ÇáÕÝÍÉ 202 - D'un côté, la Providence est juste, et ce qui ne dépend point de nous ne saurait être un véritable bien ; de l'autre, la patrie vit du concours et du travail de tous ses enfants, et dans la mécanique de la société il n'ya point de ressort inutile. Entre le ministre qui gouverne l'État et l'artisan qui contribue à sa prospérité par le travail de ses mains, il n'ya qu'une différence, c'est que la fonction de l'un est plus importante que celle de l'autre; mais à les bien remplir, le mérite...þ
ÇáÕÝÍÉ 252 - La calomnie, Monsieur? Vous ne savez guère ce que vous dédaignez ; j'ai vu les plus honnêtes gens près d'en être accablés. Croyez qu'il n'ya pas de plate méchanceté, pas d'horreurs, pas de conte absurde, qu'on ne fasse adopter aux oisifs d'une grande ville en s'y prenant bien ; et nous avons ici des gens d'une adresse!...þ
ÇáÕÝÍÉ 173 - Epicycles13 imaginaires, mais par raisons naturelles et palpables. .Elle a pour son but la vertu, qui n'est pas, comme dit l'eschole, plantée à la teste d'un mont coupé, rabotteux et inaccessible.þ
ÇáÕÝÍÉ 253 - Diseurs de bons mots , mauvais caractère : je le dirais , s'il n'avait été dit. Ceux qui nuisent à la réputation ou à la fortune des autres, plutôt que de perdre un bon mot, méritent une peine infamante : cela n'a pas été dit, et je l'ose dire.þ
ÇáÕÝÍÉ 174 - ... l'addresse, par des routes ombrageuses, gazonnées et doux fleurantes , plaisamment , et d'une pente facile et polie, comme est celle des voultes célestes. Pour n'avoir hanté cette vertu suprême...þ
ÇáÕÝÍÉ 113 - L'autre au contraire relève infiniment ma valeur, comme intelligence , par ma personnalité , dans laquelle la loi morale me révèle une vie indépendante de l'animalité et même de tout le monde sensible...þ
ÇáÕÝÍÉ 307 - N'ont-elles pas des devoirs à remplir, mais des devoirs qui sont les fondements de toute la vie humaine ? Ne sont-ce pas les femmes qui ruinent et qui soutiennent les maisons, qui règlent tout le détail des choses domestiques, et qui, par conséquent, décident de ce qui touche de plus près à tout le genre humain ? Par là, elles ont la principale part aux bonnes ou aux mauvaises mœurs de presque tout le monde.þ
ÇáÕÝÍÉ 235 - En vérité, le mentir est un maudit vice. Nous ne sommes hommes, et ne nous tenons les uns aux autres que par la parole. Si nous en connaissions l'horreur et le poids nous le poursuivrions à feu plus justement que d'autres crimes.þ
ÇáÕÝÍÉ 222 - Je ne veux pas que vous le poussiez, ni le branliez ; mais seulement ne le soutenez plus ; et vous le verrez, comme un grand colosse à qui on a dérobé la base, de son poids même fondre en bas, et se rompre.þ
ÇáÕÝÍÉ 253 - D'abord un bruit léger, rasant le sol comme hirondelle avant l'orage, pianissimo, murmure et file, et sème en courant le trait empoisonné. Telle bouche le recueille, et •piano, piano, vous le glisse en l'oreille adroitement. Le mal est fait ; il germe, il rampe, il chemine, et rinforzando de bouche en bouche il va le diable ; puis tout à coup, ne sais comment, vous voyez calomnie se dresser, siffler, s'enfler, grandir à vue d'œil.þ