Histoire-musée de la République française, depuis l'Assemblée des notables jusqu' à l'empire, ÇáãÌáÏ 1G. Havard, 1857 - 4 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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10 août amis aristocrates armées avaient Bailly Barère Barnave Bastille bonnet Brissot Camille Desmoulins Capet caricature Catherine Théot cause Champ de Mars chanter Chénier ci-devant citoyens civique clergé club cocarde Collection Laterrade Collection Maurin comité Constitution Convention nationale d'Orléans Danton Décade déclara décret départements députés devant Dieu drapeau Dumouriez émigrés épigraphe Fayette fédération femmes fête foule française garde nationale général gironde girondins gravure guerre guillotine heures hommes jacobins jour Journal juillet l'abbé l'ami du peuple l'Assemblée nationale l'Hôtel Lepelletier liberté Louis XVI madame Marat Marie-Antoinette ment mille ministre Mirabeau Moniteur universel montagnards mort municipalité nation Necker Palais-Royal Parisiens passé patrie patriotes Pétion piques place poëte politique porte prêtres prince proclamation représentants républicains République Révolution révolutionnaire Robespierre rois royale s'écria s'était saint salut public sans-culottes séances sections serment seul soldats statue tête théâtre tiers état tion toyens tribunal triomphe Tuileries tyrans Vendée Vendéens
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ÇáÕÝÍÉ 78 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement; sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.þ
ÇáÕÝÍÉ 439 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la loi doit obéir à l'instant ; il se rend coupable par la résistance.þ
ÇáÕÝÍÉ 438 - Le droit de manifester sa pensée et ses opinions, soit par la voie de la presse , soit de toute autre manière , le droit de s'assembler paisiblement , le libre exercice des cultes , ne peuvent être interdits. La nécessité d'énoncer ses droits suppose ou la présence ou le souvenir récent du despotisme.þ
ÇáÕÝÍÉ 78 - Les représentants du peuple français, constitués en Assemblée nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l'homme, afin que cette déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs...þ
ÇáÕÝÍÉ 371 - ... j'ai été appelé deux fois au conseil de celui qui fut mon maître, dans le temps que cette fonction était ambitionnée par tout le monde : je lui dois le même service lorsque c'est une fonction que bien des gens trouvent dangereuse.þ
ÇáÕÝÍÉ 78 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.þ
ÇáÕÝÍÉ 319 - ... qui lui ont paru indispensables pour retenir par la terreur les légions de traîtres cachés dans ses murs, au moment où il allait marcher à l'ennemi; et sans doute la nation entière, après la longue suite de trahisons qui l'ont conduite sur les bords de l'abîme, s'empressera d'adopter ce moyen si nécessaire de salut public, et tous les Français s'écrieront comme les Parisiens : « Nous marchons à l'ennemi, mais nous ne laisserons pas...þ
ÇáÕÝÍÉ 439 - Nul ne peut être privé de la moindre portion de sa propriété sans son consentement, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée , l'exige , et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.þ
ÇáÕÝÍÉ 439 - Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.þ
ÇáÕÝÍÉ 35 - Allez dire à votre maître que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes.þ