Ouvrages inédits d'Abelard pour servir a l'histoire de la philosophie scholastique en France publiésImprimerie royale, 1836 - 677 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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¹ Cod Abélard æque albedinem albedo album aliæ aliquid aliud animæ animal Apostolus Aristot Aristoteles asinus Augustinus autre avait bien Boëce Boeth Boethii Boethius c'est Categ chose commentaire consequentia cujus d'Abélard d'une Deus deux DIALECTICA dialectique dicimus dicit dicitur differentia diffinitio espèces essentia être figuræ formæ forme genre genus Guillaume hæc hominem hominis homo hujus hypothetica Ibid illa illæ illud individus ipsa ipsius ipsum itaque Item justus l'école l'espèce l'esprit lui-même manuscrit n'est natura necesse negatio neque nominalisme omne omnibus omnis homo partes peccatum Peripatetici peut philosophie Platon Porphyre Porphyrius possibile potest præ prædicari prædicato prædicatur præter primæ propositio propositiones propositionibus qu'il quæ quædam quælibet rationale réalisme Roscelin sæpe saint scilicet secundæ secundum sicut siècle simul sine sint sive Socrates species spiritus sanctus suæ subjecto subjectum substantia super supplevimus tamen tantum temps tout traité tunc Turon universaux veluti videlicet
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ÇáÕÝÍÉ lxi - ... corporels ou incorporels, ni s'ils existent séparés des objets sensibles ou dans ces objets et en faisant partie; ce problème est trop difficile et demanderait des recherches plus étendues.þ
ÇáÕÝÍÉ ii - Nantes , après avoir fait ses premières études philosophiques en son pays, et parcouru les écoles de plusieurs provinces pour y augmenter son instruction, vint se perfectionner à Paris, où d'élève il devint bientôt le rival et le vainqueur de tout ce qu'il y avait de maîtres renommés; il régna en quelque sorte dans la dialectique. Plus tard , quand il mêla la théologie à la philosophie, il attira une si grande multitude d'auditeurs de...þ
ÇáÕÝÍÉ 139 - Caritatem voco motum animi ad fruendum deo propter ipsum et se atque proximo propter deum; cupiditatem autem motum animi ad fruendum se et proximo et quolibet corpore non propter deum.þ
ÇáÕÝÍÉ cxcviii - Abélard paraît avoir sacrifié la réalité des trois personnes à l'unité de Dieu. Il est certain, du moins, que les interprétations qu'il a données des trois personnes ont bien l'air de substituer des distinctions logiques à de véritables existences. Tantôt il compare les trois personnes de la Trinité aux divers termes d'un syllogisme...þ
ÇáÕÝÍÉ iii - Mais de tous ses titres celui qui se rapporte à notre objet, et qui lui donne une place apart dans l'histoire de l'esprit humain , c'est l'invention d'un nouveau système philosophique et l'application de ce système et en général de la philosophie à la théologie. Sans doute avant...þ
ÇáÕÝÍÉ cxviii - ... c'était changer sans doute, mais ce n'était pas abandonner le réalisme, et la seule conséquence qu'il faut tirer de la phrase d'Abélard, c'est que, dans son premier enseignement à Notre-Dame, Guillaume de Champeaux faisait des universaux l'essence même des individus du même genre, et que, dans son second enseignement à Saint-Victor, il finit par les considérer non plus comme constituant l'essence des individus d'une même classe, mais comme formant leur identité, parce que dans tous...þ
ÇáÕÝÍÉ iii - ... professeur du cloître, il fut aimé jusqu'au plus absolu dévouement par cette noble créature qui aima comme sainte Thérèse, écrivit quelquefois comme Sénèque , et dont la grâce devait être irrésistible, puisqu'elle charma saint Bernard lui-même.þ
ÇáÕÝÍÉ cxix - Alio« quin subjecti in accidentia divisio dici potest secundum ip« sius sententiam , qui differentias generis per accidens inesse « volebat. Per nomen itaque differentiae speciem ipsam volebat « accipere. » Mais c'est surtout le fragment de Saint-Germain qui nous fournit des documents précieux. Ce fragment est encore tout plein de l'ardeur de la grande querelle dans laquelle intervint Abélard, et il contient sur toutes les écoles contemporaines d'abondants renseignements, mêlés à la polémique...þ
ÇáÕÝÍÉ clviii - matière semblable, qui est l'homme, et d'une » forme différente, qui est la platonité, et ainsi des » autres hommes. Et de même que la socratité, qui » constitue formellement Socrate, n'est nulle part » hors de Socrate, de même cette essence d'homme » qui est, en Socrate, le substrat de la socratité n'est «nulle part ailleurs qu'en Socrate; et ainsi des þ