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PAGE 67, VERS 3.

Tout mortel en tout temps vit enchanté de lui.

PAGE 69, VERS 16.

Et l'espoir nous conduit jusqu'au bord du tombeau.

PAGE 69, VERS 18.

Qu'à frapper son tambour, qu'à fouetter sa poupée.

PAGE 69, VERS 4.

L'opinion flatteuse enfante un autre songe.

DE

LA TROISIÈME ÉPITRE.

PAGE 75, VERS I.

Ne l'oublions jamais; l'arbitre souverain,

Par des moyens divers tend vers la même fin;

Lui seul dans l'univers connaît l'indépendance:

Tous sont faits pour le tout. Nageant dans l'abondance, Enivré de grandeurs, regorgeant de santé,

Souviens-toi....

PAGE 77, VERS 1er.

Regarde en même temps la matière vivante.

PAGE 77, VERS 12.

De ses vastes débris renaître l'univers.

PAGE 77, VERS 18.

Tout est uni; qui sait où la chaîne s'arrête?

PAGE 77, VERS 25.

Non, non, la douce joie embellit son ramage.

PAGE 83, VERS 2.

Il semble toujours loin quoiqu'approchant toujours.

PAGE 83, VERS II.

De quoi leur serviraient nos disputes frivoles,
Nos docteurs orgueilleux, nos bruyantes écoles.

PAGE 83, VERS 18.

La raison fait attendre ou diffère ses soins.

PAGE 87, VERS 11.

S'aiment, mais non pas seuls. Deux sexes se répondent.

PAGE 87, VERS 21.

L'envoie habiter l'air, ou parcourir les champs.

PAGE 89, VERS 5.

Le choix fixe nos cœurs, le penchant les entraîne.

PAGE 89, VERS II.

Un amour naturel nous attache aux derniers.

PAGE 91, VERS I°r.

Naquirent avec toi; partout régna l'accord.

PAGE 91, VERS II.

Tous dans le fond d'un bois, sanctuaire champêtre,
Par des accords divers louaient leur commun maître.

PAGE 91, VERS 19.

Combien il a changé ! moins maître que bourreau,
De ses tristes sujets détestable tombeau,
Détruisant leur espèce et dégradant la sienne,
Signalant par des morts sa puissance inhumaine,
Partout de la nature il entend les clameurs.
Mais ces morts dans son sein nourrissent leur vengeurs;
De ce sang étranger l'impétueuse flamme,
Empoisonna son sang, dénatura son ame;
D'épouvantables maux son corps fut déchiré ;
D'ardentes passions son cœur fut dévoré.

PAGE 97, VERS 4.

Par d'invincibles nœuds enchaînaient les mortels.

PAGE 99, VERS 14.

Le menaient au bonheur sur les pas des plaisirs.

PAGE 99, VERS 18.

Le tyran dans son Dieu, des Dieux dans ses tyrans.

PAGE 103, VERS 9.

Dans un seul Homme ainsi l'amour-propre effréné.

PAGE 103, VERS 12.

Il oppose des lois, un gouvernement sage.

PAGE 105, VERS 7.

Retrace cette foi, cette morale pure,

Que dans le fond des cœurs imprima la nature;
S'il ne peint pas Dieu même il ébauche ses traits,
Enseigne au peuple, aux rois leurs communs intérêts.

Sont faits

pour

PAGE 105, VERS 23.

s'entr'aider et non pas pour se nuire.

PAGE 107, VERS 3.

Laisse nos discoureurs combattre pour le choix
De la foi la plus pure et des plus sages lois.
La loi qui rend heureux est la loi préférable;
La foi qui rend meilleur est la foi véritable.
Ce n'est point un divan, un concile, un sénat;
C'est peu de gouverner, de rendre heureux l'État :
Celui qui me dira: «< Marche dans la droiture,
<«< Aime tes ennemis et pardonne l'injure,

» Dans le bonheur public mets ton propre bonheur ; » Voilà l'Homme de bien, le vrai législateur.

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