Oeuvres complètes de Clément Marot, ÇáãÌáÏ 1

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Rapilly, 1824
 

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ÇáÕÝÍÉ 341 - Lors sire rat va commencer à mordre Ce gros lien: vray est qu'il y songea Assez long temps ; mais il le vous rongea Souvent, et tant, qu'à la parfin tout rompt: Et le lyon de s'en aller fut prompt, Disant en soy: " Nul plaisir (en effect) Ne se perd point quelque part où soit faict.þ
ÇáÕÝÍÉ 369 - II n'est point de presteur (S'il veult prester) qui ne face un debteur. Et sçavez vous (Syre) comment je paye? Nul ne le sçait, si premier ne l'essaye; Vous me devrez (si je puis) de retour, Et vous feray encores un bon tour. A celle fin qu'il n'y ait faulte nulle, Je vous feray une belle cedulle, A vous payer (sans usure, il s'entend) Quand on verra tout le monde content; Ou si voulez, à payer ce sera Quand vostre los et renom cessera.þ
ÇáÕÝÍÉ 182 - Paul ne peut en rien être altéré ou ébranlé: que toute personne soit soumise aux puissances supérieures; car il n'ya point de puissance qui ne vienne de dieu, et c'est lui qui ordonne celles qui sont sur la terre; celui donc qui s'oppose aux puissances résiste à l'ordre de dieu.þ
ÇáÕÝÍÉ 87 - Dieux m'ont faict naistre, Où le soleil non trop excessif est; Parquoy la terre avec honneur s'y vest De mille fruictz, de mainte fleur et plante : Bacchus aussi sa bonne vigne y plante, Par art subtil, sur montaignes pierreuses, Rendants liqueurs fortes et savoureuses : Mainte fontaine y murmure et undoye.þ
ÇáÕÝÍÉ 544 - Ta meschanceté m'y convie, Et m'en fault passer mon envie. Zon dessus l'œil, zon sur le groin, Zon sur le dos du Sagouyn, Zon sur l'Asne de Balaan ! Ha ! vilain, vous...þ
ÇáÕÝÍÉ 166 - Mais celui qui boira de l'eau que je lui donnerai, n'aura jamais soif; mais l'eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d'eau qui jaillira jusqu'à la vie éternelle.þ
ÇáÕÝÍÉ 166 - En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes ; et la lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont pas comprise.þ
ÇáÕÝÍÉ 43 - Levay les yeulx, et proprement je veiz Du grand portail sur la sublimité Le corps tout nud, et le gratieux vis De Cupido, lequel pour son devis Au poing tenoit un arc riche tendu, Le pied marché, et le bras estendu, Prest de lascher une flesche aguysée Sur le premier, fust fol ou entendu, Droict sur le cueur, et sans prendre visée.þ
ÇáÕÝÍÉ 70 - J'ayme trop mieulx le vous descrire en metre; Que pour le veoir aucun de vous soit mys En telle peine. Escoutez donc, amys. Bien avez leu, sans qu'il s'en faille un A, Comme je fuz, par l'instinct de Luna, Mené au lieu plus mal sentant que soulphre, Par cinq ou six ministres de ce gouffre, Dont le plus gros jusques là me transporte.þ
ÇáÕÝÍÉ 339 - Je ne t'escry, qui est rude ou affable, Mais je te veulx dire une belle fable : C'est assavoir du Lyon et du Rat. Cestuy...þ

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