Jérôme Paturot: à la recherche de la meilleure de républiquesMichel Lévy frères, libraires-éditeurs, 1849 - 580 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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ÇáÕÝÍÉ 3
... passé sous ce niveau , et c'était à peine une ligne d'ajoutée au grand chapitre des décadences humaines . Le seul remède , en de tels cas , c'est de rendre au monde oubli pour oubli , dédain pour dédain , et de le punir par de strictes ...
... passé sous ce niveau , et c'était à peine une ligne d'ajoutée au grand chapitre des décadences humaines . Le seul remède , en de tels cas , c'est de rendre au monde oubli pour oubli , dédain pour dédain , et de le punir par de strictes ...
ÇáÕÝÍÉ 16
... passé ; on la peuplait de spectres menaçants et de fantômes terribles . De là ce malaise vague et cette stupeur dans les esprits . La défiance s'y mêlait : même entre voisins on ne se parlait qu'à voix basse et sans abandon . La vie ...
... passé ; on la peuplait de spectres menaçants et de fantômes terribles . De là ce malaise vague et cette stupeur dans les esprits . La défiance s'y mêlait : même entre voisins on ne se parlait qu'à voix basse et sans abandon . La vie ...
ÇáÕÝÍÉ 20
... passé ici ? qu'avez - vous fait ? Le procès sera bientôt instruit . Avez- vous des clubs , à l'instar de Paris ? - Ma foi , non , dirent les assistants ; nous n'avons pas de clubs . Avez - vous eu vos promenades en corps d'état , à l ...
... passé ici ? qu'avez - vous fait ? Le procès sera bientôt instruit . Avez- vous des clubs , à l'instar de Paris ? - Ma foi , non , dirent les assistants ; nous n'avons pas de clubs . Avez - vous eu vos promenades en corps d'état , à l ...
ÇáÕÝÍÉ 28
... passé n'avait point eu de fâcheux résul- tats , il excitait seulement la curiosité et la surprise . Notre ville ne le prit pas ainsi ; il est vrai qu'elle était mal disposée . A peine eut - on aperçu dans les rues cet étrange ...
... passé n'avait point eu de fâcheux résul- tats , il excitait seulement la curiosité et la surprise . Notre ville ne le prit pas ainsi ; il est vrai qu'elle était mal disposée . A peine eut - on aperçu dans les rues cet étrange ...
ÇáÕÝÍÉ 43
... passé par un abîme . Assez longtemps la politique avait souffert ce spectacle de la même pièce jouée par d'autres acteurs . Puisque le souffle révolution- naire avait passé par là - dessus , c'était bien le moins qu'on mit au rebut de ...
... passé par un abîme . Assez longtemps la politique avait souffert ce spectacle de la même pièce jouée par d'autres acteurs . Puisque le souffle révolution- naire avait passé par là - dessus , c'était bien le moins qu'on mit au rebut de ...
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allait arrivé assez aura avaient beau besoin blouse bras bruit C'était camphre champ de Mars chapeau cher choses circulation citoyen club club des femmes cœur COMBINAISON PROPRIETE commissaire Comtois coup d'ailleurs devant Dieu digne dire dis-je dit-il dragon de l'Impératrice drapeau esprits estomacs eût fallait femme force foule frapper garçon gens gouvernement heure homme j'ai j'avais j'en Jérôme jetait jour l'ange du mal l'Assemblée l'état l'homme l'hôtel l'ouvrier laisser livre Luxembourg m'en madame Paturot main Malvina manque ment meunier mieux mille milliards ministre Mistigris monde monsieur monsieur le ministre moulin n'avait n'en n'était Oscar ouvriers parler passé patrie pavé pays peine peintre pensée Percheron personne peuple politique Pologne porte pouvait qu'un régime représentant République reste révolution rien s'écria s'en sait salariat semblait sentiment serait seul Simon sort spectacle Téhéran Tiflis tion travail tribune trouver venait Ville-d'Avray voici voilà vois voix voulait voyait vrai yeux
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ÇáÕÝÍÉ 269 - DES DROITS DE L'HOMME ET DU CITOYEN Le peuple Français, convaincu que l'oubli et le mépris des droits naturels de l'homme, sont les seules causes des malheurs du monde, a résolu d'exposer dans une déclaration solennelle, ces droits sacrés et inaliénables, afin que tous les citoyens pouvant comparer sans cesse les actes du gouvernement avec le but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer et avilir par la tyrannie, afin que le peuple ait toujours devant les yeux les bases...þ
ÇáÕÝÍÉ 269 - ... résolu d'exposer dans une déclaration solennelle, ces droits sacrés et inaliénables, afin que tous les citoyens pouvant comparer sans cesse les actes du gouvernement avec le but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer et avilir par la tyrannie, afin que le peuple ait toujours devant les yeux les bases de sa liberté et de son bonheur ; le magistrat la règle de ses devoirs ; le législateur l'objet de sa mission. — En conséquence, il proclame, en présence de l'Etre...þ
ÇáÕÝÍÉ 363 - Le peuple ayant dissous l'Assemblée nationale, ilne reste plus d'autre pouvoir que celui du peuple lui-même. « En conséquence, le peuple ayant manifesté son vœu d'avoir pour Gouvernement provisoire les citoyens Louis Blanc, Albert, Ledru-Rollin...þ
ÇáÕÝÍÉ 23 - Pour cette croisade, tout s'est armé, les philosophes et les romanciers, les docteurs et les poètes. Ils ont présenté au peuple la civilisation comme un fléau et la société comme une proie. Le régime actuel, disaient-ils, est un réseau d'iniquités dont il faut briser les mailles. Dieu n'a pas entendu créer des situations inégales , des droits inégaux entre les enfants des hommes. Il est odieux de penser qu'ils sortent de ses mains, les uns pour jouir, les autres pour souffrir, et que,...þ
ÇáÕÝÍÉ 568 - ... Pendant que je débitais cette tirade, mon philosophe avait l'esprit ailleurs. Il songeait sans doute à son système de gouvernement; il songeait surtout au cylindre et au cône qui y figurent à titre d'institutions fondamentales. Cette méditation pouvait le conduire loin. J'y coupai court , et lui prenant les deux mains : • — Eh bien! pontife? ajoutai-je, le cœur vous en dit-il? L'Afrique nous appelle; en êtes-vous? Voulez-vous que je vous aide à faire votre valise?þ
ÇáÕÝÍÉ 357 - C'était la tour de Babel. Qui sait comment cela eût fini si la mobile ne s'en fût mêlée? Brave mobile ! au moment où on s'y attendait le moins, voilà que le pas de charge résonne à peu de distance. — Entendez-vous? me dit Simon.— C'est le tambour, lui répliquai-je. En effet, c'est lui qui se rapprochait. Il fallut voir alors nos gens des clubs, mon chéri.þ
ÇáÕÝÍÉ 109 - L'Atelier national. Etant donné le problème suivant : « Réaliser le » moins de besogne possible avec le plus de bras » possible, » Et en supposant qu'il s'agisse de trouver l'institution, née ou à naître, qui remplirait le plus complètement ce but, L'inconnue à dégager serait nécessairement : L'ATELIER NATIONAL. Jamais peut-être un fait de ce genre ne s'était présenté, et surtout avec de telles proportions. Avant nous, on ne s était point avisé de confondre Taumône avec le travail,...þ
ÇáÕÝÍÉ 550 - L'Assemblée livrait ses chefs ; les conseils de guerre châtiaient ses soldats. Et pourtant aucune émotion visible ne suivit ces actes de vigueur. A peine s'y attacha-t-il quelques menaces. L'horizon s'était décidément éclairci ; on vivait dans une atmosphère plus sereine. Les clubs se taisaient; la presse ne parlait qu'à travers un bâillon. Il n'y avait plus ni groupes ni chants dans les carrefours. Le régime militaire avait porté ses fruits ; l'instinct de Malvina ne l'avait pas trompée....þ
ÇáÕÝÍÉ 456 - L'idéal d'un gouvernement se fût composé, à ses yeux , de triumvirs assistés de trois chambres et de trois conseils de ministres. Volontiers il eût accouplé trois pigeons et mis trois chevaux à un fiacre ; il eût donné trois ailes à l'oiseau et trois bras à l'homme. La nature opposait seule quelque obstacle à ces diverses améliorations. A le voir d'ailleurs à la tribune, on devinait l'esprit profond , sensible, aimant ( trois adjectifs), dont les recherches reposaient sur les bases...þ