Penserosa: poésies nouvellesH.L. Delloye, 1840 - 382 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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ÇáäÊÇÆÌ 1-5 ãä 11
ÇáÕÝÍÉ 24
... pouvait retrouver cet amour maternel , Amour qui vient des cieux , amour seul éternel , Amour que j'ai perdu , qui me manque à toute heure , Qui prendrait la moitié des tourments dont je pleure , Amour actif et saint qui veillerait sur ...
... pouvait retrouver cet amour maternel , Amour qui vient des cieux , amour seul éternel , Amour que j'ai perdu , qui me manque à toute heure , Qui prendrait la moitié des tourments dont je pleure , Amour actif et saint qui veillerait sur ...
ÇáÕÝÍÉ 104
... pouvait en rendre l'éclat , et c'était pour lui une profonde douleur que cette insuffisance dont il était pénétré , et qu'il ne pouvait vaincre . Et de sa bouche fraîche et rose Un chant semble 104 A MADAME LEBRUN .
... pouvait en rendre l'éclat , et c'était pour lui une profonde douleur que cette insuffisance dont il était pénétré , et qu'il ne pouvait vaincre . Et de sa bouche fraîche et rose Un chant semble 104 A MADAME LEBRUN .
ÇáÕÝÍÉ 232
... pouvait répondre : Que le même soleil qui luit sur son palais D'une lumière égale éclaire nos chalets ! Leurs âmes restent unies malgré l'arrêt qui les sépare . Perdita s'en repose sur la tendresse de son amant ; sa confiance est ...
... pouvait répondre : Que le même soleil qui luit sur son palais D'une lumière égale éclaire nos chalets ! Leurs âmes restent unies malgré l'arrêt qui les sépare . Perdita s'en repose sur la tendresse de son amant ; sa confiance est ...
ÇáÕÝÍÉ 269
... nature Tes cris faisaient pitié , les loups hurlaient d'effroi , Et les ours tressaillaient en passant près de toi ; Ton corps était broyé des os à l'épiderme , Sycorax à tes maux ne pouvait mettre un terme , FRAGMENTS DE LA TEMPÊTE . 269.
... nature Tes cris faisaient pitié , les loups hurlaient d'effroi , Et les ours tressaillaient en passant près de toi ; Ton corps était broyé des os à l'épiderme , Sycorax à tes maux ne pouvait mettre un terme , FRAGMENTS DE LA TEMPÊTE . 269.
ÇáÕÝÍÉ 270
poésies nouvelles Louise Colet. Sycorax à tes maux ne pouvait mettre un terme , Moi seul , en te voyant plus qu'un damné souffrir , Je forçai par mon art le sapin à s'ouvrir , Et tu fus délivré . ARIEL . Je te rends grâce , ô maître ...
poésies nouvelles Louise Colet. Sycorax à tes maux ne pouvait mettre un terme , Moi seul , en te voyant plus qu'un damné souffrir , Je forçai par mon art le sapin à s'ouvrir , Et tu fus délivré . ARIEL . Je te rends grâce , ô maître ...
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Penserosa: Poésies Nouvelles, Par Madame Louise Colet <span dir=ltr>Louise Colet</span>þ áÇ ÊÊæÝÑ ãÚÇíäÉ - 1999 |
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aime âme amour ange ardente ARIEL avez beauté bien-aimée bonheur bras brûle Cécile céleste cercueil chant charme chaste Christ ciel cieux coeur CONTE D'HIVER couronne deuil deviné Dieu divin douce douleur doux ECCE HOMO emblème encens enfant enivrante esprit EUGÈNE DELACROIX faible femme FAUST femme FERDINAND fête fille flamme fleurs flots foule front génie gloire Hamlet Hermione heure heureux IMITATION DE SHAKSPEARE J'ai J'aime jette jeune jour Juif errant l'âme l'amour l'ange l'art l'heure l'oeil l'orgueil lèvre LISERON MADAME LEBRUN malheur marbre Mastrillo maudit mère Michel-Ange MIRANDA monde mort mourir noble nuit OBERON ombres orgueil pâle PALERME parfum passé pauvre penche pensée Penseroso Perdita peuple pleure poésie PROSPERO pudique qu'une rayon regard reine rêve rois sang sent seul soeur soir sois soleil sombre SORCIÈRE souffrir sourire souviens-toi de moi sublime Sycorax t'aime tendresse terre Titania tombe touchant tremble triste Velléda Versailles Viens vierge virginale voile voix
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ÇáÕÝÍÉ 1 - As may with sweetness, through mine ear, Dissolve me into ecstasies, And bring all Heaven before mine eyes. And may at last my weary age Find out the peaceful hermitage, The hairy gown and mossy cell, Where I may sit and rightly spell Of every star that heaven doth show, And every herb that sips the dew; Till old experience do attain To something like prophetic strain. These pleasures, Melancholy, give, And I with thee will choose to live.þ
ÇáÕÝÍÉ 88 - N'ouvre jamais ton âme Qu'aux modestes vertus ; Que ta charité sainte Berce et calme la plainte Des esprits abattus ! Que ta pure espérance Relève la souffrance ; Que ton hymne de foi, Comme une chaste offrande, Monte au ciel et répande La paix autour de toi. Sois l'ange qui console ; De ta douce parole Prodigue le secours ; Au malheur tends l'oreille, Près du malade veille, Et près du pauvre accours. Travaille, prie et chante ! Le travail t'ennoblit, La foi te rend touchante, La gaîté t'embellit....þ
ÇáÕÝÍÉ 368 - O mon œuvre d'amour ! ô ma sœur bien-aimée , » Mon cœur te devina quand mes mains t'ont formée ! « J'ai su te reconnaître en approchant des cieux ; » Tu te penchais vers moi pour calmer ma souffrance , » Et ta voix me disait, quand je pleurais la France : » Viens, on retrouve ici ce qu'on aima le mieux ! » Et la vierge guerrière, agitant son armure, Se penche et lui répond par un pieux murmure ; Et la fille des rois, dans son ravissement, Entoure de ses bras cette image chérie, Et...þ
ÇáÕÝÍÉ 5 - Ange et Milton, la forme et la parole, Ont de Penseroso consacré le symbole. Un soir, vous me contiez cette histoire de l'art, Et je vous écoutais de l'âme et du regard ; Demeurant près de vous, dans la molle attitude Où me berce la Muse aux jours de solitude, Je rêvais. . . Sur ma main, ma tête se posa ; Vous me dites alors : « Siete Penserosa ! De ce marbre inspiré l'image se reflète Sur votre jeune front de femme et de poète ; Vous avez son air triste et son regard penseur, Et...þ
ÇáÕÝÍÉ 89 - Comme une chaste offrande, Monte au ciel et répande La paix autour de toi. Sois l'ange qui console ; De ta douce parole Prodigue le secours ; Au malheur tends l'oreille, Près du malade veille, Et près du pauvre accours. Travaille, prie et chante ! Le travail t'ennoblit ! La foi te rend touchante, La gaîté t'embellit ! Et si Dieu t'a douée D'un esprit noble et grand, Sois humble et dévouée, Sois belle en l'ignorant. Laisse à l'homme la gloire, Les triomphes, le bruit ; Pour nons, aimer et...þ
ÇáÕÝÍÉ 6 - De ce marbre inspiré l'image se reflète « Sur votre jeune front de femme et de poète; » Vous avez son air triste et son regard penseur, » Et Michel-Ange en vous eût reconnu sa sœur!þ
ÇáÕÝÍÉ 366 - C'était une blanche statue, Vierge guerrière revêtue De l'armure des anciens rois : Fille pudique au front céleste , A l'œil fier, au souris modeste, Femme, héros, tout à la fois! II fallait plus qu'un grand artiste Pour la rendre ainsi calme et triste , Accomplissant l'ordre de Dieu ; II fallait l'art et la croyance : L'âme d'une fille de France • A réuni ce double feu; Et de ses mains s'est échappée Jeanne d'Arc pressant...þ
ÇáÕÝÍÉ 209 - Qu'arrive-t-il quand la destinée nous sépare de celui qui avait le secret de notre âme, et nous avait donné la vie du cœur, la vie céleste ? Qu'arrive-t-il quand l'absence ou la mort isolent une femme sur la terre ? Elle languit, elle tombe.þ
ÇáÕÝÍÉ 140 - Du bonheur passager de la nouvelle épouse, De ses illusions je ne suis pas jalouse. Quand elle apparaît, j'aime à l'entendre applaudir, A voir sous l'oranger son front pur resplendir, Sa parure éblouir la foule qui l'entour'e ; J'aime à la croire heureuse alors qu'elle savoure Cet encens que le monde aux femmes jette un jour, Encens de vanité parfumé par l'amour !... Mais ce qui me torture et fait fléchir mon âme, C'est de voir auprès d'elle assise une autre femme, Jeune de son bonheur,...þ
ÇáÕÝÍÉ 78 - SORCIÈRE. Tournons en rond autour du chaudron qui bouillonne, Jetons-y le poison d'immondes intestins. Crapaud, qui, dormant sous la pierre, As durant trente jours échauffé tes venins, Bous le premier dans la chaudière.þ