BélisaireIsaac Herbert, Vernor et Hood, et M. Stace, 1796 - 236 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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ÇáÕÝÍÉ 7
... besoin . Cela est inutile , dit le jeune Ti- bère ; il ne nous estime pas assez pour daigner accepter nos dons . C'étoit sur l'ame de ce jeune homme que l'extrême vertu , dans l'extrême malheur , avoit fait le plus d'impression . Non ...
... besoin . Cela est inutile , dit le jeune Ti- bère ; il ne nous estime pas assez pour daigner accepter nos dons . C'étoit sur l'ame de ce jeune homme que l'extrême vertu , dans l'extrême malheur , avoit fait le plus d'impression . Non ...
ÇáÕÝÍÉ 15
... besoin de repos . Aussi vas - tu , lui dit - on , te reposer tout à ton aise , à moins que le maître du château voisin ne soit sur ses gardes , & ne soit le plus fort . Ce château étoit la maison de plaisance d'un vieux courtisan ...
... besoin de repos . Aussi vas - tu , lui dit - on , te reposer tout à ton aise , à moins que le maître du château voisin ne soit sur ses gardes , & ne soit le plus fort . Ce château étoit la maison de plaisance d'un vieux courtisan ...
ÇáÕÝÍÉ 18
... besoin , lui dit - il , de te faire sentir l'atrocité de l'injure que tu as reçue . Le crime est horrible ; le châ- timent doit l'être . C'est sous les ruines du trône & du palais de votre vieux tyran , sous les débris de sa ville ...
... besoin , lui dit - il , de te faire sentir l'atrocité de l'injure que tu as reçue . Le crime est horrible ; le châ- timent doit l'être . C'est sous les ruines du trône & du palais de votre vieux tyran , sous les débris de sa ville ...
ÇáÕÝÍÉ 29
... à ma destinée ; imite moi ; ne crois pas de savoir mieux que Bélisaire ce qui est honnête & légitime ; & si tu te sens le courage de braver la C 3 mort , mort , garde cette vertu pour servir au besoin ton BELISAIRE . 29.
... à ma destinée ; imite moi ; ne crois pas de savoir mieux que Bélisaire ce qui est honnête & légitime ; & si tu te sens le courage de braver la C 3 mort , mort , garde cette vertu pour servir au besoin ton BELISAIRE . 29.
ÇáÕÝÍÉ 30
... besoin de toi ; je veux que tu vives pour elle , Mais c'est à tes enfants qu'il faut re- commander les ennemis de Bélisaire . Nommez- les moi , dit le jeune homme , avec ardeur ; je vous réponds que mes enfants les haïront , dès le ber ...
... besoin de toi ; je veux que tu vives pour elle , Mais c'est à tes enfants qu'il faut re- commander les ennemis de Bélisaire . Nommez- les moi , dit le jeune homme , avec ardeur ; je vous réponds que mes enfants les haïront , dès le ber ...
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Agamemnona Alexandre Sévere ame libre amis Antonine armées armes asyle auroit avez avoient avoit besoin bonheur Bulgares Carthage cher Tibère ciel cœur connoître cour courage crime demanda devoir Dieu digne disoit dit-il empire ennemis état étoient étoit Eudoxe faisoit fille foible foiblesse force Gelimer gens gloire Goths grace grandeur Hélas héros heureux Huns inéga j'ai jamais jeune homme juste l'ame l'autre l'em l'empereur l'empire l'état l'homme l'opinion laisser larmes légions liberté lisaire loix lui-même lumiere luxe m'en main malheur ment merveilleux mœurs monde mouil mourir n'en n'étoit Narsès nourrir paix patrie penser pere pereur Perses peuple prince provinces qu'un regne répondit reprit Bélisaire reprit Justinien reux rien Rome s'il sage sais securitatis sentiment sera seroit seul Sicile soin soldat souverain talens tems Théodoric Thrace tion Totila Trajan trône tyran Vandales Vénise vérité vertu vertueux vieillard vieillesse Vitigès voilà yeux zéle
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ÇáÕÝÍÉ 3 - C'est un devoir de votre état , reprit l'aveugle avec fermeté , ou plutôt c'est la base de vos devoirs, et de toute vertu militaire. Celui qui se dévoue pour sa patrie , doit la supposer insolvable ; car ce qu'il expose pour elle est sans prix. Il doit même s'attendre à la trouver ingrate ; car , si le sacrifice qu'il lui fait n'était pas généreux , il serait insensé.þ
ÇáÕÝÍÉ 13 - Quoi ! lui dit-il , vous ne voulez pas donner quelques jours à vos hôtes? Cela m'est impossible , répondit Bélisaire : j'ai une femme et une fille qui gémissent de mon absence. Adieu ; ne faites point d'éclat sur ce qui me reste à vous dire : ce pauvre aveugle, ce vieux soldat, Bélisaire enfin , n'oubliera jamais l'accueil qu'il a reçu de vous.þ
ÇáÕÝÍÉ 14 - Gélimer l'embrassait, l'arrosait de ses larmes, et ne pouvait se détacher de lui. Il fallut enfin le laisser partir ; et Gélimer le suivant des yeux : O prospérité ! disait-il, ô prospérité ! qui peut donc se fier à toi? Le héros , le juste, le sage Bélisaire!— Ah! c'est pour le coup qu'il faut se croire heureux en bêchant son jardin.þ
ÇáÕÝÍÉ 8 - C'est le plus grand malheur d'un souverain, dit Bélisaire , de ne pouvoir payer tout le sang qu'on verse pour lui. Cette réponse émut le cœur du villageois : il offrit l'asile au vieillard. Je vous présente , dit-il à sa femme , un brave homme , qui soutient courageusement la plus dure épreuve de la vertu. Mon camarade, ajouta-t-il, n'ayez pas honte de l'état où vous êtes, devant une famille qui connaît le malheur.þ
ÇáÕÝÍÉ 164 - Ce qu'un sentiment naturel et irrésistible nous assure, la foi ne peut le désavouer. La révélation n'est que le supplément de la conscience : c'est la même voix qui se fait entendre du haut du ciel et du fond de mon âme.þ
ÇáÕÝÍÉ 5 - ... fût content, il faudrait que chacun commandât, et que personne n'obéît : or cela n'est guère possible. Croyez-moi, le gouvernement peut quelquefois manquer de lumières et d'équité ; mais il est encore plus juste et plus éclairé dans ses choix, que si chacun de vous en était cru sur l'opinion qu'il a de lui-même."—" Et qui êtes-vous, pour nous parler ainsi ? " lui dit, en haussant le ton, le jeune maître du château. —" Je suis Bélisaire,þ
ÇáÕÝÍÉ 9 - N'importe ; il sera dans les conseils ce qu'il était dans les armées; et sa sagesse, si on l'écoute, sera peutêtre encore plus utile que ne l'a été sa valeur. D'où vous est-il connu?þ
ÇáÕÝÍÉ 11 - Quels ménagements, quels respects il eut lui-même pour mon malheur ! Il ya bientôt six lustres que je vis dans cette solitude ; il ne s'est pas écoulé un jour que je n'aie fait des vœux pour lui.þ
ÇáÕÝÍÉ 11 - ... mais je n'en ai pas voulu. Quand on a été roi , et qu'on cesse de l'être , il n'ya de dédommagement que le repos et l'obscurité.þ
ÇáÕÝÍÉ 10 - Mettons-nous à table, dit le villageois : ce que vous demandez nous mènerait trop loin. Bélisaire ne douta point que son hôte ne fût quelque officier de ses armées, qui avait eu à se louer de lui. Celui-ci, pendant le souper, lui demanda des détails sur les guerres d'Italie et d'Orient, sans lui parler de celle d'Afrique. Bélisaire, par des réponses simples, le satisfit pleinement. Buvons...þ