BélisaireIsaac Herbert, Vernor et Hood, et M. Stace, 1796 - 236 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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ÇáÕÝÍÉ 5
... répondit le vieillard . Qu'on s'imagine , au nom de Bélisaire , au nom de ce héros tant de fois vainqueur dans les trois parties du monde , quels furent l'étonnement & la confusion de ces jeunes gens . L'immobi- lité , le silence ...
... répondit le vieillard . Qu'on s'imagine , au nom de Bélisaire , au nom de ce héros tant de fois vainqueur dans les trois parties du monde , quels furent l'étonnement & la confusion de ces jeunes gens . L'immobi- lité , le silence ...
ÇáÕÝÍÉ 8
... répondit Bélisaire . Un sol- dat , dit le villageois ! Et voilà votre récompense ! C'est le plus grand malheur d'un souverain , dit Bélisaire , de ne pouvoir payer tout le sang qu'on verse pour lui . Cette réponse émut le cœur du ...
... répondit Bélisaire . Un sol- dat , dit le villageois ! Et voilà votre récompense ! C'est le plus grand malheur d'un souverain , dit Bélisaire , de ne pouvoir payer tout le sang qu'on verse pour lui . Cette réponse émut le cœur du ...
ÇáÕÝÍÉ 12
... répondit Bélisaire j'ai une femme & une fille qui gémis- ( a ) Vandali namque omnium sunt quos sciam mollissimi atque delicatissimi ; omnium vero miserrimi Maurusii , Pro . de Bel . Van . sent sent de mon absence . Adieu , ne faites ...
... répondit Bélisaire j'ai une femme & une fille qui gémis- ( a ) Vandali namque omnium sunt quos sciam mollissimi atque delicatissimi ; omnium vero miserrimi Maurusii , Pro . de Bel . Van . sent sent de mon absence . Adieu , ne faites ...
ÇáÕÝÍÉ 17
... répondit le chef : ce fut le signal du carnage : Bessas & ses convives furent tous égorgés . Aussi - tôt se faisant amener leurs valets , qui croyoient aller au supplice : Vi- vez , leur dit le même , & venez nous servir ; car c'est ...
... répondit le chef : ce fut le signal du carnage : Bessas & ses convives furent tous égorgés . Aussi - tôt se faisant amener leurs valets , qui croyoient aller au supplice : Vi- vez , leur dit le même , & venez nous servir ; car c'est ...
ÇáÕÝÍÉ 19
... répondit Bélisaire , après un silence , qu'il ait eu raison de me faire crever les yeux ? Il y a long - tems , Seigneur , que Belisaire a refusé des couronnes . Carthage & l'Italie m'en ont offert . J'étois dans l'âge de l'ambition ; je ...
... répondit Bélisaire , après un silence , qu'il ait eu raison de me faire crever les yeux ? Il y a long - tems , Seigneur , que Belisaire a refusé des couronnes . Carthage & l'Italie m'en ont offert . J'étois dans l'âge de l'ambition ; je ...
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Agamemnona Alexandre Sévere ame libre amis Antonine armées armes asyle auroit avez avoient avoit besoin bonheur Bulgares Carthage cher Tibère ciel cœur connoître cour courage crime demanda devoir Dieu digne disoit dit-il empire ennemis état étoient étoit Eudoxe faisoit fille foible foiblesse force Gelimer gens gloire Goths grace grandeur Hélas héros heureux Huns inéga j'ai jamais jeune homme juste l'ame l'autre l'em l'empereur l'empire l'état l'homme l'opinion laisser larmes légions liberté lisaire loix lui-même lumiere luxe m'en main malheur ment merveilleux mœurs monde mouil mourir n'en n'étoit Narsès nourrir paix patrie penser pere pereur Perses peuple prince provinces qu'un regne répondit reprit Bélisaire reprit Justinien reux rien Rome s'il sage sais securitatis sentiment sera seroit seul Sicile soin soldat souverain talens tems Théodoric Thrace tion Totila Trajan trône tyran Vandales Vénise vérité vertu vertueux vieillard vieillesse Vitigès voilà yeux zéle
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ÇáÕÝÍÉ 3 - C'est un devoir de votre état , reprit l'aveugle avec fermeté , ou plutôt c'est la base de vos devoirs, et de toute vertu militaire. Celui qui se dévoue pour sa patrie , doit la supposer insolvable ; car ce qu'il expose pour elle est sans prix. Il doit même s'attendre à la trouver ingrate ; car , si le sacrifice qu'il lui fait n'était pas généreux , il serait insensé.þ
ÇáÕÝÍÉ 13 - Quoi ! lui dit-il , vous ne voulez pas donner quelques jours à vos hôtes? Cela m'est impossible , répondit Bélisaire : j'ai une femme et une fille qui gémissent de mon absence. Adieu ; ne faites point d'éclat sur ce qui me reste à vous dire : ce pauvre aveugle, ce vieux soldat, Bélisaire enfin , n'oubliera jamais l'accueil qu'il a reçu de vous.þ
ÇáÕÝÍÉ 14 - Gélimer l'embrassait, l'arrosait de ses larmes, et ne pouvait se détacher de lui. Il fallut enfin le laisser partir ; et Gélimer le suivant des yeux : O prospérité ! disait-il, ô prospérité ! qui peut donc se fier à toi? Le héros , le juste, le sage Bélisaire!— Ah! c'est pour le coup qu'il faut se croire heureux en bêchant son jardin.þ
ÇáÕÝÍÉ 8 - C'est le plus grand malheur d'un souverain, dit Bélisaire , de ne pouvoir payer tout le sang qu'on verse pour lui. Cette réponse émut le cœur du villageois : il offrit l'asile au vieillard. Je vous présente , dit-il à sa femme , un brave homme , qui soutient courageusement la plus dure épreuve de la vertu. Mon camarade, ajouta-t-il, n'ayez pas honte de l'état où vous êtes, devant une famille qui connaît le malheur.þ
ÇáÕÝÍÉ 164 - Ce qu'un sentiment naturel et irrésistible nous assure, la foi ne peut le désavouer. La révélation n'est que le supplément de la conscience : c'est la même voix qui se fait entendre du haut du ciel et du fond de mon âme.þ
ÇáÕÝÍÉ 5 - ... fût content, il faudrait que chacun commandât, et que personne n'obéît : or cela n'est guère possible. Croyez-moi, le gouvernement peut quelquefois manquer de lumières et d'équité ; mais il est encore plus juste et plus éclairé dans ses choix, que si chacun de vous en était cru sur l'opinion qu'il a de lui-même."—" Et qui êtes-vous, pour nous parler ainsi ? " lui dit, en haussant le ton, le jeune maître du château. —" Je suis Bélisaire,þ
ÇáÕÝÍÉ 9 - N'importe ; il sera dans les conseils ce qu'il était dans les armées; et sa sagesse, si on l'écoute, sera peutêtre encore plus utile que ne l'a été sa valeur. D'où vous est-il connu?þ
ÇáÕÝÍÉ 11 - Quels ménagements, quels respects il eut lui-même pour mon malheur ! Il ya bientôt six lustres que je vis dans cette solitude ; il ne s'est pas écoulé un jour que je n'aie fait des vœux pour lui.þ
ÇáÕÝÍÉ 11 - ... mais je n'en ai pas voulu. Quand on a été roi , et qu'on cesse de l'être , il n'ya de dédommagement que le repos et l'obscurité.þ
ÇáÕÝÍÉ 10 - Mettons-nous à table, dit le villageois : ce que vous demandez nous mènerait trop loin. Bélisaire ne douta point que son hôte ne fût quelque officier de ses armées, qui avait eu à se louer de lui. Celui-ci, pendant le souper, lui demanda des détails sur les guerres d'Italie et d'Orient, sans lui parler de celle d'Afrique. Bélisaire, par des réponses simples, le satisfit pleinement. Buvons...þ