Collection des mémoires relatifs à l'histoire de France: depuis la fondation de la monarchie française jusqu'au 13e siècle, ÇáãÌáÏ 3

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Chez J.-L.-J. Brière, 1824

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ÇáÕÝÍÉ 479 - Pro Deo amur et pro Christian poblo et nostro commun salvament, d'ist di in avant, in quant Deus savir et podir me dunat, si salvarai eo cist meon fradre Karlo et in...þ
ÇáÕÝÍÉ 207 - Jean, car ce n'est pas la chair et le sang qui te l'ont révélé, mais c'est mon Père qui est dans les cieux. Et moi, je te dis que tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église, et les portes de l'enfer ne prévaudront pas contre elle.þ
ÇáÕÝÍÉ 148 - Deux fois seulement, dans les séjours qu'il fit à Rome , d'abord à la prière du pape Adrien , ensuite sur les instances de Léon , successeur de ce pontife , il consentit à prendre la longue tunique , la chlamyde et la chaussure romaine.þ
ÇáÕÝÍÉ 480 - Karlus, meos sendra, de suo part non « l'ostanit, si io returnar non Tint pois, ne io ne neuls cui « eo returnar int pois, in nulla aiudha contra Lodhuuuig þ
ÇáÕÝÍÉ 146 - Charles était gros , robuste et d'une taille élevée , mais bien proportionnée , et qui n'excédait pas en hauteur sept fois la longueur de son pied. Il avait le sommet de la tête rond , les yeux grands et vifs , le nez un peu long , les cheveux beaux , la physionomie ouverte et gaie ; qu'il fût assis ou debout , toute sa personne commandait le respect et respirait la dignité...þ
ÇáÕÝÍÉ 258 - Tous ceux qui précédaient le monarque, tous ceux qui marchaient à ses côtés, tous ceux qui le suivaient, tout le gros même de l'armée avaient des armures semblables, autant que les moyens de chacun le permettaient. Le fer couvrait les champs et les grands chemins. Les pointes du fer réfléchissaient les rayons du soleil. Ce fer si dur était porté par un peuple d'un cœur plus dur encore. L'éclat du fer répandit la terreur dans les rues de la cité : « Que de fer, hélas! que de fer!...þ
ÇáÕÝÍÉ 260 - Vénitiens avaient apporté tout récemment des contrées au delà de la mer toutes les richesses de l'Orient, étaient vêtus comme dans les Jours fériés d'habits surchargés de peaux d'oiseaux de Phénicie entourées de soie, de plumes naissantes du cou, du dos et de la queue des paons, enrichies de pourpre de Tyr et de franges d'écorce de cèdre'; sur quelques.uns brillaient ries étoffes piquées , sur quelques autres des fourrures de loir.þ
ÇáÕÝÍÉ 289 - Ils s'efforcent d'ar- :' racher leurs ignobles parents au joug d'une servitude faite pour eux , et de leur assurer la liberté. Ils font instruire : les uns dans les sciences libérales , ils donnent aux autres des épouses d'une naissance illustre , et forcent les fils des nobles à recevoir la main de leurs parentes. Personne ne peut vivre en paix avec eux, si ce n'est ceux qui ont contracté de pareilles alliances.þ
ÇáÕÝÍÉ 4 - Francs, et oint, pour cette haute dignité, de l'onction sacrée par la sainte main de Boniface, archevêque et martyr d'heureuse mémoire, et élevé sur le trône, selon la coutume des Francs, dans la ville de Soissons. Quant à Childéric, qui se parait du faux nom de roi, Pepin le fit raser et mettre dans un monastère '. • Telle fut, Messieurs, la marche progressive de cette révolution ; telles en furent les causes indirectes et véritables.þ
ÇáÕÝÍÉ x - Les assistans demeurant frappés de stupeur, et quelques-uns paraissant douter encore, tant la chose était hardie et inouïe , le roi la leur fit connaître avec évidence en leur racontant avec détail ce qu'il avait vu de ses yeux, et il leur demanda leur avis à ce sujet. Ils portèrent...þ

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