451 << présents. » Je ne trouve pas dans les dictionnaires ce mot de colombat: quel en est le sens? RR. Plongeon. Le Dictionn, Littré, à l'historique du mot plongeon, cite ces vers de Desportes: Ores demy lassé, je me couche sur l'herbe, Comment peut-on entasser des plongeons, et comment le vent pourrait-il les renverser? L'édition de Desportes que j'ai sous les yeux (Lyon, 1615) donne une s à biens les biens entasser, et lève ainsi la moitié de la difficulté, mais le mot de plongeon embarrasse toujours. Est-ce le mouvement de l'homme qui se baisse pour relever à terre le foin ou les épis? RR. Les buveurs d'eau sont-ils menacés de la pierre? Non pas, s'il vous plaît, de la pierre que leur jettent les oenophiles, mais de l'affreuse maladie qui porte ce nom? Ce qui me décide à poser cette question, c'est ce passage de la Chronologie novenaire de Palma Carjet, sur la mort du pape Grégoire XIV: « Depuis l'âge de dix«huit ans il n'avoit beu que de l'eau, ce << qui fut cause, comme plusieurs ont escrit, « qu'il fut fort affligé de la pierre... » J'ai un intérêt personnel à être rassuré par mes chers collaborateurs (il doit nécessairement se trouver d'excellents médecins parmi eux); moi aussi je suis un buveur d'eau, un enragé buveur d'eau, et je ne voudrais pas, victime de mes limpides libations, avoir à dire, un jour : Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus, bus de l'eau: voyez ce qui m'arrive! IGNOTUS. 452 Chemise de Chartres. Scapulaire. — Il y a, de par le monde, des scapulaires. Il y a à Chartres, assure-t-on, un scapulaire bleu. Il y a aussi une chemise de la Vierge. Est-ce la même chose? Que peuvent bien être ces chemises de la Vierge, que certaines personnes se complaisent à aller chercher et à porter ? N'y a-t-il pas d'autres scapulaires qui sont rouges et d'autres blancs? O. V. Les élèves des Jésuites. On connaît le bel ouvrage, publié en plusieurs volumes gr. in-8 d'abord, puis en 3 vol.in-fol., par les PP. de Backer et le P. Sommevogel: Bibliothèque des écrivains de la Société de Jésus. Ne songe-t-on pas à mettre sur pied un Catalogue, qui serait bien intéressant et bien utile aussi, des élèves formés par RR. PP. et qui ont marqué dans un sens opposé à celui de leur éducation? Cela fait, et quelle que fût cette liste, ne pourrait-on pas dire: Ex fructibus cognocetis arborem? Voltaire et Diderot ne figureraient-ils pas tous deux sur ce Catalogue? La Société ne publie-t-elle pas chaque année la liste de ses membres? O. V. -- Mal Napolitain. On a longtemps prétendu que nous devions cette maladie à la découverte de l'Amérique cette opinion a été combattue, et même plusieurs auteurs l'ont fait remonter à la plus haute antiquité; elle était, dit-on, connue des Arabes, et on a soutenu que c'était de cette affection que Job souffrait sur son fumier (« Et le mal, Seigneur, m'a rongé jusqu'aux os »). Sans aller si loin, on trouve des traces de son existence bien avant la découverte du Nouveau-Monde. Dans l'ouvrage de M. Lecour (La prostitution à Paris et à Londres. 3e édit., Paris, P. Asselin, 1877), on rencontre, p. 269, le suivant: passage "Quant à la syphilis, c'est en 1430, << dans un règlement de police, que figure << la première trace officielle de son appa«<rition en Angleterre. Ce règlement avait « pour but d'exclure des hôpitaux de Lon«dres les individus atteints de maladies << syphilitiques. »> Quelqu'un pourrait-il produire le texte de ce règlement de 1430? car l'Amérique ayant été découverte en 1492, la question serait jugée, et la mémoire de Christophe Colomb vengée de l'accusation de nous avoir fait ce triste cadeau. Z. A. Une légende de Villenauxe. Villenauxe est une petite ville du département de l'Aube, sur les confins de la Champagne et de la Brie. Dans l'église, assez remarquable sous le rapport architectural, se trouvent des vitraux qui paraissent du XVIe siècle, où l'on voit : 1o au-devant 453 d'une prison, un groupe de personnages, dont l'un porte une sorte de tasse, entourant un jeune homme vêtu de rouge et de bleu et paraissant fort triste; 2o un pèlerin (autant qu'on en peut juger aux coquilles qui entourent son chapeau) paraissant adresser une plainte ou des reproches à une réunion de vieillards qui l'écoutent debout; dans le fond, une sorte de petit bûcher enflammé, d'où s'envolent deux oiseaux; 3o un corps pendu à un gibet, près duquel se tient, un livre à la main, un vieillard nimbé de rouge. Ces trois scènes se rattachent évidemment au même sujet. Dans l'église de Bival, seconde paroisse de Villenauxe, on retrouve sur un vitrail l'individu pendu à un gibet. Ce n'est pas tout les débris, presque indéchiffrables, d'une fresque peinte sur un des murs latéraux, représentent quelques scènes de cette histoire qui dut y être tracée jadis tout au long, en nombreux tableaux, avec des légendes explicatives. On distingue très-bien un individu enchaîné devant des juges, avec cette inscription: COMME IL FVT MENÉ EN IVGEMENT ET FVT CONDAMPNÉ A ESTRE PENDV ET ESTRANGLÉ PAR LES IVSTICIERS ET AVTRES. A côté, on voit un repas, des flammes, une pendaison, un individu agenouillé dans une forêt tout cela trèspeu distinct. Sur un fragment d'inscription, on lit très-bien : A VNE TACE..... SVIVIZ FVT SAISI... : Il s'agit évidemment ici d'une légende locale, d'une histoire qui avait fortement impressionné la contrée, puisqu'on la trouve représentée trois fois; d'un innocent condamné, sans doute, pour vol d'une tasse, ressuscité ou réhabilité par la protection d'un saint. Mais quel est ce saint? Quelle est cette victime? Je n'ai pu rien trouver dans les souvenirs du pays, qui me l'expliquât. Prière aux lecteurs de l'Intermédiaire de vouloir bien me dire ce qu'ils sauraient à ce sujet. L. D. L. S. Limoges a-t-elle eu des fabriques d'étoffes de soie, d'or et d'argent aux XVe et XVIe siècles? - Dans « l'Etude histori« que et archéologique sur le Trésor de la «< chapelle des ducs de Savoie aux XVe et «< XVIe siècles, par M. Fabre » (Vienne, 1866, in-4o), on trouve, au chapitre des Touailles d'autel, les articles qui suivent: << Item pala una ad coperiendum altare << facta cum certis rigiis auri et cyrici ru« bei sive limogeriis modo predicto. « Item alia pala limogiata etiam auro et cyrico. Item alia similiter limogiata ་ « de auro et cyrico cum frangiis de auro. ((- Item alia pala facta de cyrico ad lon« gum in bandis diversorum colorum, et limogiata in extremitatibus de quinque « limogiis in utraque parte. — Item unum gremiale de tela cum octo rigiis limogia« tis auri bene operatum.... » 454 L'auteur de cette bonne publication a conclu de ces mots limogiata, limogiis... que l'industrie des étoffes somptueuses de soie, d'or et d'argent était en pleine activité dans la ville de Limoges. Mais la Société archéologique du Limousin, et plus spécialement MM. du Sommerard, de Linas et de Lasteyrie, n'ont pas été de cet avis, et ont soutenu: 1o que ces étoffes ne se fabriquaient pas à Limoges, où l'on ne trouve aucune trace de cette industrie; 2o que les mots limogia, etc., ont été donnés par extension aux orfrois qui suppléèrent, dans l'ornementation des vêtements sacerdotaux, les émaux de Limoges, devenus chers et rares. M. Fabre ne regarda point la question comme tranchée. Je la relève et la pose en ces termes devant les savants collaborateurs de l'Intermédiaire: on connaissait des étoffes d'or et d'argent appelées Limoges; où se fabriquaient-elles? Pourquoi leur donner cette dénomination locale si elles n'étaient pas un produit de l'industrie de la ville principale du Limousin? L'histoire de nos industries nationales, plus intéressante que celle des princes et des guerres, mérite qu'on s'en occupe sérieusement. V. DE V. Sur un bon mot de Bertrand d'Echaud. Dans l'Avant-propos d'une brochure de la Bibliothèque des chemins de fer (Paris, Hachette, 1853): Assassinat du maréchal d'Ancre, relation anonyme attribuée au garde des sceaux Marillac, on dit de Louis XIII: « Il avait voulu un moment élever au cardinalat Bertrand de Chaux, archevêque de Tours; Richelieu n'y voulut pas consentir, et l'archevêque disait : Si le roi eût été en faveur, j'étais cardinal. » Quels sont les contemporains qui ont attribué ce mot vengeur à l'archevêque de Tours? Il me semble bien l'avoir lu dans les Historiettes de Tallemant des Réaux; mais je ne le retrouve ni dans l'Historiette de Louis XIII ni dans celle du cardinal de Richelieu, et la Table des noms de lieux et de personnes ne peut m'aider en cette occasion, car on a oublié d'y faire figurer le spirituel prélat, soit à la lettre C (Chaux), soit à la lettre d'E (d'Echaud). Il ne me reste donc qu'à prier mes excellents collaborateurs de venir au secours de ma mauvaise mémoire. JACQUES DE MONTARDIF. Politique du Médecin. Le 9 juillet 1746, le Parlement condamna à être lacéré et brûlé l'ouvrage intitulé: Politique du médecin de Machiavel, ou le Chemin de la Fortune ouvert aux médecins. A Amsterdam, chez les frères Bernard. Quel en est l'auteur? Barbier ne le cite pas. PIERRE CLAUER. 455 - Œuvres inédites du joli marquis. - Il Il s'agit d'un manuscrit de la main du Pourrait-on avoir quelques renseigne- La duchesse Louise de Bourbon et Il est question, au même endroit, d'un W. C. - 456 L'évêque Colenso et le médecin Astruc. Les bonnes coquilles (II, 381; III, 320; 457 pas bonne aussi et digne d'être mentionnée? Je l'emprunte à l'excellent recueil : la Correspondance littér., dont notre Intermédiaire a eu l'héritage testamentaire. C'est dans le no du 20 mars 1859 qu'elle fut signalée par feu le savant F. Dübner, le gai helléniste, qui était aussi, de son vivant, un des fervents Intermédiairistes de la première heure. OL. B. -Le Soleil, mon radieux journal, ne dédaigne pas les coquilles plaisantes. L'autre jour, parlant de la Ligue, il mettait ligne... à chaque ligue; la Sainte Ligne; et, ayant à annoncer un vaudeville nouveau : Les Trois BOUGEOIRS, voilà qu'il imprime: Les Trois BOURGEOIS. Eclaire ta lanterne, ô mon pauvre Soleil! Naïvetés sinistres de l'histoire (IX, 705, 762; X, 20). Un pendant à l'anecdote, signée D. C. A. D.. Un député, futur homme d'Etat (hélas !), et un avocat radical, étaient amis en 1863. La « question polonaise » les sépara, pour un moment, dans leur amitié politique. L'un d'eux voulait la guerre, pour sauver la Pologne; car.... les troupes françaises, étant déjà occupées au Mexique, se feraient battre en Russie, et l'on aurait le loisir de renverser l'empereur... Napoléon III. L'autre soutenait que la guerre pouvait être désastreuse, au contraire..... parce que, à son idée, la France pourrait vaincre, et que cela rendrait ce même Napoléon III populaire..... Ajoutons que cette discussion politique était racontée, par l'avocat, à des Polonais, pour leur prouver... qu'on s'occupait d'eux en France! K. P. Du ROCH III. 458 La Nymphe des Larmes (X, 200, 252), n'est certainement pas autre chose que Mme Desbordes Valmore. Mais ne l'avaiton pas plutôt surnommée : La Muse des Larmes? Je ne l'ai aperçue qu'une seule fois, il y a bien longtemps; mais je crois voir encore une petite femme, pâle, fluette, aux yeux cernés, presque transparente. Le nom lui convenait on ne peut mieux. Elle offrait justement à une dame poëte, ma grand'tante, Mme Victoire Babois, un volume intitulé: Les Pleurs. PROSPER BLANCHEMAIN. « Villageois » dans Shakespeare (X, 321, 371, 404). Sous réserve des informations ultérieures, je résume le débat sur cette question: Je tiens la correction Villageois pour rationnelle et bonne; mais il eût mieux valu la laisser en note; l'orthographe de certains textes devant toujours être respectée. La langue française n'existait pas encore comme langue écrite du temps de Jeanne Darc; les mots des idiomes vulgaires qui ont concouru à sa formation étaient orthographiés au hasard. Il n'est donc pas étonnant qu'un Anglais (Shakespeare, ou celui dont il a remanié le travail), écrivant ce mot que répétaient les compagnons d'armes de Jeanne, ait employé la forme Villiago qui lui semblait à lui, seul juge, la meilleure manière de figurer ce qu'il avait entendu. — Si c'était le lieu, je ferais une savante dissertation sur les mots qui passent d'une langue dans une autre, et je montrerais que ceux qui sont entendus, avant d'être lus, ont longtemps une orthographe indécise, et que c'est parfois la défectueuse qui devient officielle (houlan pour uhlan, etc.); tandis que ceux qui ont été lus avant d'être entendus sont prononcés de façon à ne pas être reconnus. Et quand la prononciation ou l'orthographe vicieuse d'un mot s'impose dans la langue où il passe, on doit y voir la preuve qu'il y est vraiment naturalisé. C'est à cela qu'aboutit la discussion sur la prononciation du général Kleber, dans notre Intermédiaire (VIII, 130, 186, 208, 243, 497, 560). Quant à faire dériver Villiago de l'espagnol ou de l'italien, ce n'est pas admissible. L'invincible Armada n'y pourrait rien et n'y a rien à faire. Dans le peuple, on sait parfaitement quelles sont les expressions que l'on pourrait appeler les caractéristiques populaires de chaque langue, et pas un auteur dramatique (Shakespeare moins qu'un autre) ne s'aviserait, par exemple, de faire jurer un Allemand par Carajo ou Goddam; il saurait ce qui l'attendrait. Dans le passage de Shakespeare que j'ai cité, le vieux Clifford, vassal fidèle à son roi légitime, qui affronte les révoltés de Londres, a le droit de répéter 459 le cri de ralliement des Français qu'il vient de combattre; il l'a assez entendu. Et les spectateurs du temps de Shakespeare, qui connaissaient ce cri, de tradition, ne se méprenaient pas sur sa portée dans la bouche du brave Clifford ; mais ils ne l'eussent pas laissé passer s'il n'eût été qu'une allusion à l'échec de l'entreprise espagnole l'allusion, étant sans à-propos, eût sonné faux. L'identité de Villiago et de Villageois étant constatée, à mon avis, ce mot ne peut avoir été qu'un cri de ralliement des compagnons de Jeanne Darc, et non pas une injure à l'adresse des Anglais. Il eût été étrange de leur part de qualifier ainsi les Anglais et d'aller chercher cette injure dans l'italien ou l'espagnol. - Ce passage de Shakespeare n'en fournit pas moins un précieux renseignement sur la composition des troupes de Charles VII, et sur la légende de Jeanne Darc, villageoise elle aussi,et devenue, grâce aux gens intéressés, avec la complicité des poëtes et des artistes, l'unique héroïne de l'expulsion des Anglais. Ce n'est sans doute pas un personnage inventé de toutes pièces comme Guillaume Tell, mais Jeanne Darc a été considérablement surfaite aux dépens des paysans (villageois), dont on voulait laisser dans l'ombre les éminents services. Charles VII n'en est pas moins le roi de France qui a aboli la servitude personnelle et réelle dans ses domaines. G. G. La maladie Bavaroise (X, 321). J'ai trouvé, dans les Mss. 7652. A. 3. 3. de la Biblioth. Nat., l'épigramme suivante, attribuée à Ronsard et dédiée à Frère André Thevet, Angoulmois, le célèbre voyageur du XVIe siècle : Thevet avoit bien fréquenté Pour mieux descrire tout pays. Cette allusion à l'action de baver, qui est un des symptômes du mal, et à celle de suer, qui en est un des moyens curatifs, ne laisse aucun doute sur la nature de la maladie Bavaroise. C'est d'ailleurs un jeu de mots souvent répété et qu'on trouverait aussi dans les Satyres du médecin Sonnet de Courval. P. BN. Les Mémoires d'un Confesseur (X, 357). - La lecture d'un article de M. R. Chantelouze sur le cardinal de Retz (Rev. des Deux Mondes, 15 juillet 1877, p. 309) 460 fournit à point un rapprochement topique : « Dans une lettre à la reine, dit-il, Mazarin l'accusa formellement d'avoir révélé le secret de la confession pour amuser des dames; plus tard il reproduit la même accusation dans un Mémoire adressé au pape >> (Lettre de Mazarin à la reine, Brülh, 10 avril 1651). OL. B. Sodome (X, 348, 408). Je remercie M. le baron de Vorst de sa communication, mais si j'ai dit que la cité maudite avait été engloutie dans la mer Rouge, il y a eu lapsus calami de ma part ou distraction du typographe. J'ai indiqué quelques ouvrages peu connus se rattachant à la ville dont les ruines gisent au fond de la mer Morte; on pourrait en mentionner d'autres, mais c'est un sujet répugnant qu'on n'aborde qu'à regret; mentionnons toutefois un livret fameux parmi les bibliomanes: l'Alcibiade fanciullo, imprimé en 1652 à Oranges, chez Juan Vuart (indication supposée); il a été réimprimé, en 1862, à 100 exempl. Une traduction française a même vu le jour en Belgique, et un savant italien, M. Bassagio, lui a consacré une dissertation spéciale (également traduite en français), qui établit que Ferrante Pallavicino est l'auteur de cette turpitude et que l'impression de 1652 eut lieu en Suisse. On trouve, dans les Notices de Quérard sur les Livres à clef (publiées par M. G. Brunet, 1873), t. I, p. 17, quelques détails sur un petit volume fort rare et qui n'est qu'une lourde allégorie : Anecdotes pour servir à l'histoire des Ebugors. Medoro, l'an 3333, in-12. J'ai connu en Allemagne un savant fort laborieux qui s'était occupé de recherches étendues au sujet des vices dont il s'agit; la jurisprudencé, l'ethnographie, la littérature grecque et romaine, la biographie, avaient leur place dans ce travail qui avait acquis un développement considérable. Mais des motifs faciles à deviner donnent tout lieu de croire qu'il ne sera point livré à la publicité. A. READER. - « J'ai pu également m'assurer, par « moi-même, de la longue persistance des « mœurs de la vieille Sodome chez les « rares habitants de ces lieux désolés. » Par moi-même! Comment l'entend notre honorable collaborateur M. le baron P. J. O. F. de Vorst? UN CURIEUX. Otium sine litteris (X, 386, 441). — En tête du tome II de: Les images ou tableaus de platte peinture de Philostrate, mis en françois par Blaise de Vigenère. Paris, Abel Langelier, 1597, 2 vol. in-4o, je trouve, en regard d'un bon portrait du traducteur, par Thomas de Leu, un cartouche formé de quatre serpents enroulés, en ovale, autour de deux arcs, et au milieu : Otium sine litteris, etc. Seneca ad |