N° 228.] L'INTERMÉDIAIRE DES CHERCHEURS ET CURIEUX. [10 nov. 1877. 671 Par les fléaux divers P. c. c. : A. B. Lettres de faire part après décès. Les Un des chercheurs de excentriques. l'Intermédiaire, M. Pierre Clauer, Strasbourgeois, vient de publier à Lyon (A. Brun, 1877, gr. in-8° de 30 pages) une curieuse notice: « Des Billets d'enterrement au XVIIIe siècle. » L'appel qu'il avait fait aux Intermédiairistes (VIII 424) n'a pas été sans lui produire deux documents qui lui ont servi de préambule. M. P. Clauer a eu à sa disposition une collection de près de 80 Billets d'enterrement, allant de 1705 à 1768. Ce sont des placards oblongs, de 16 à 26 centimètres de hauteur et de 28 à 40 de longueur, d'une rédaction uniforme, qui s'est conservée dans nos lettres de convoi et de bout de l'an, si ce n'est pour la finale ainsi conçue : « Messieurs et Dames s'y trouveront, s'il leur plaît. » Ces billets sont plus ou moins agrémentés de vignettes et lettres ornées... ornées de têtes de mort, d'ossements en croix, cyprès, faux et sabliers, draperies noires semées de larmes blanches, etc. M. P. Clauer décrit 46 variétés de ces vignettes. Voilà un bon commencement d'étude sur un sujet qui a sa place marquée dans le tableau de nos mœurs. Nul doute que des trouvailles subséquentes et des communications provoquées par sa publication même ne permettent à l'auteur de la pousser plus loin. Il y a des collectionneurs de Lettres de part, au point de vue généalogique on cite M. Ad. de Longpérier, membre de l'Institut, comme ayant fait depuis longues années un recueil de ce genre. M. P. Clauer rencontrera sur sa route des rédactions d'une grande excentricité. En voici une bien accusée, dont j'ai gardé copie, ayant eu sous les yeux l'exemplaire original adressé à une personne de ma connaissance : 672 M La Providence vient de nous frapper d'un coup sensible par la mort de notre cher WOLDEMAR, à l'hôpital de Lyon, le 10 courant. Heureux ceux qui meurent, comme lui, bien disposés et munis des Sacrements. Je m'incline sous la volonté, qui ne nous frappe que pour notre souverain plus grand bien. Peut-être plus tard son âme eût été en péril! La vie n'est que combats et dangers; et l'avenir plus que jamais! Ce cher enfant a été frappé de la mort de sa tendre et digne épouse; il s'est trouvé dans l'impossibilité de continuer l'instruction; il a dit: Ne voulant pas nous gêner, Dieu m'a donné le sort, il faut que je le subisse! Je vous laisse mon petit JOSEPH, il sera votre soutien et votre consolation; il me faut une grande distraction ou je suis mort! Il nous écrivait de Sisteron, le 13 avril : J'ai fait mes Pâques avec douze soldats et caporaux; l'abbé BAUME était content. Ce même curé lui a écrit de Lyon, comme il se recommandait à ses prières. Le chapelain de Lyon a dit à son ami HENNEQUIN, qui a planté une croix sur sa tombe : C'est le meilleur chrétien que j'aie rencontré ici. Le 24 mai, il dit : J'ai visité la Salette, vu l'endroit où la sainte Vierge s'est assise et celui où elle a fait son ascension; on y a fait une belle chapelle, remplie de béquilles et mille autres choses qui indiquent des guérisons miraculeuses; pour moi j'avais une fluxion qui me faisait horriblement souffrir, je me suis lavé avec l'eau et, chose étonnante, le lendemain j'étais parfaitement guéri; j'ai éprouvé là un contentement inexprimable; il y a là quelque chose d'extraordinaire, qui saisit malgré qu'on veuille. Ce cher enfant a passé comme une chandelle une demi-heure avant sa mort, il chantait encore quelques mots de cantique; il était bon, doux et humain; il est regretté de tous ceux qui l'ont connu. PRIONS POUR LUI ET POUR NOUS. DELARUE père. Dozulé, le 17 septembre 1869. Pont-l'Evêque.-Typ. C. Delahais. P. c. c.: R. C. Le gérant, Fischbacher. Paris.-Imp. de Ch. Noblet, 13, rue Cujas. - 5617 (CORRESPONDANCE littéraire, NOTES and QUERIES français.) VIII. K. FEBR. TABVLAS POSITAS IN MVSCARIO CCC. VIIII. SS. CCCC. XXX. « dont l'interprétation », dit-il, « est un problème. » Le mot tabula signifie : planche, ais, tablette, affiche, registre (je ne cite que les acceptions qui paraissent se rapporter au sujet). Muscarium signifie : émouchoir, chasse-mouche, martinet, queue de paon pour éventail, queue de cheval, feuillage chevelu de certaines plantes, et enfin, sous la rubrique «<< Inscrip 675 tions » armoire où sont renfermées les archives publiques (?). Le point d'interrogation montre que les auteurs du Dictionnaire que j'ai consulté (Quicherat et Daveluy) ne sont pas très-certains de cette dernière acception; je la retiens cependant, comme étant la seule que l'on puisse appliquer à cette inscription, et je propose de la traduire ainsi : « Le 8 des kalendes de février, 309, tablettes posées (ou registres posés) dans l'armoire aux archives (ont coûté) 430 sesterces. » Je suis trop peu instruit en épigraphie pour dire si les deux S (SS.) indiquent des sesterces, dans quelques-unes des inscriptions connues. S'il en était ainsi, je crois que mon interprétation ne serait pas invraisemblable. Qu'en penseront les épigraphistes de l'Intermédiaire? E.-G. P. Un mot d'Eschine sur Démosthène. Un grand débat vient d'avoir lieu, à la tribune française, entre M. le duc de Broglie qui a parlé avec un grand talent, reconnu de tous, et M. Gambetta qui s'est dépassé lui-même. A ce propos, un journal évoque un souvenir classique : «L'histoire rapporte, dit-il, que l'orateur athénien Eschine, exilé de sa patrie, à la suite d'une grande lutte oratoire avec Démosthène, et tenant école de philosophie, lut un jour à ses élèves le discours qu'il avait prononcé et qui avait motivé sa condamnation. La lecture finie, ce fut un mouvement d'indignation dans l'auditoire. « Comment, s'écrièrent tous ces jeunes hommes, les Athéniens ont-ils pu vous condamner après un tel discours? Attendez, dit Eschine, je vais vous lire la réponse que me fit Démosthène. » Il lut,et les Rhodiens, enthousiasmés de ce qu'ils entendaient, de cette éloquence si forte, de cette logique si puissante, s'écrièrent unanimement : « Vous aviez tort, Eschine, et les Athéniens vous ont condamné avec raison.. Que serait-ce, dit alors le grand exilé, si vous aviez entendu le monstre lui-même ! » « Si M. de Broglie, tombé à tout jamais du pouvoir, et enseignant quelque part les secrets de l'éloquence politique, si M. de Broglie, qui a cru pouvoir rappeler hier les souvenirs de l'Agora d'Athènes, croit devoir faire mention de la lutte oratoire qui a eu lieu entre lui et M. Gambetta et lire le discours prononcé, dans la séance d'hier, par celui-ci, il pourra redire le mot d'Eschine : « Que serait-ce si vous aviez entendu le monstre lui-même ! » Le monstre lui-même! Voilà qui ne serait pas flatteur pour le physique de M. Gambetta, si ce pavé n'était un beau et sincère compliment dans l'intention de l'écrivain lettre du Temps. Mais, aussi, pourquoi adopter cette traduction défectueuse qui fausse évidemment l'original et que l'on s'obstine à toujours citer ainsi? 676 Le grec doit vouloir dire: Que serait-ce si vous aviez entendu le lion rugir! En tout cas, monstre ne peut, en français, se prendre en bonne part, et quand même le grec aurait ce sens-là, il faudrait le rendre par l'équivalent que nécessite notre langue. Le mot monstre forme ici un contre-sens ridicule : la noblesse du sentiment d'Eschine ne comporte qu'une expression et une image élevée. Si le mot est intraduisible, eh bien! qu'on disc tout bonnement: Que serait-ce si vous l'aviez entendu lui-même! Mais qu'on ne dépare pas la pensée par un mot qui jure avec elle et qui la trahit : tradutore, traditore. Ai-je raison ou tort, MM. les Intermédiairistes? W. T. Sur une édition de Rabelais peu connue. - On trouve, dans le 63me Catalogue mensuel de livres anciens et modernes, de L. Clouzot, libraire à Niort (octobre 1877), les indications que voici (p. 8 et 9, no 2880): « RABELAIS (FRANÇOIS). Euvres anciennement publiées sous le titre de Faits et dicts du grand Gargantua et de Pantagruel, avec des remarques critiques, historiques et grammaticales, sur le Gargantua, et un vocabulaire pour les deux volumes du Pantagruel. Edition nouvelle, A la Haye, et se trouve à Paris, hôtel de Bouthillier, 1789, petit in-12, fig. dem.rel. 25 fr. « Cette édition est tellement rare, que Quérard, Brunet et les meilleurs bibliographes ne l'ont pas citée. Elle mérite pourtant d'être signalée et appréciée, à cause des charmantes figures et des vignettes qui en font l'ornement. Ces figures sont des copies spirituelles de celles de Bernard Picard dans l'édition in-4o de 1741. Nous ne savons même pas quel est l'homme de lettres célèbre et fort connu, qui avait commencé cette petite édition en 1749, et qui l'abandonna après en avoir fait imprimer le texte d'après l'édition de 1741. Le travail des notes ne fut entrepris que vingt ans plus tard, par un des écrivains à la solde de la librairie Panckoucke. Cet annotateur anonyme ne rédigea ses notes historiques, critiques, grammaticales et géographiques, que pour le premier livre de Rabelais. Les notes des autres livres avaient été faites par un ex-capucin qui n'est pas nommé dans la préface. Ces notes sont très-singulières et souvent divertissantes. >> Sait-on 1 quel est l'homme de lettres, célèbre et fort connu, qui avait commencé en 1749 la susdite édition? 2o quel est l'écrivain anonyme qui, vingt ans plus tard, rédigea le commentaire du jer livre ? 3° quel est l'ex-capucin qui a été l'annotateur des autres livres ? T. DE L. 677 reçu le Catalogue no 19 de la librairie Chossonnery, où sont signalées (nos 260 à 281) diverses éditions de Rabelais et diverses études relatives à cet admirable écrivain dont on s'occupe tant aujourd'hui, mais sur les œuvres duquel il reste tant à dire encore, surtout au point de vue bibliographique. Par exemple, M. Chossonnery indique (no 260) une édition de Lyon, 1564, in-16, que Brunet n'a pas décrite, quoiqu'il en fasse l'éloge, et dont on ne connaît pas l'imprimeur. Est-il impossible de savoir quel fut cet imprimeur? Comme pour montrer que l'on ne sait pas bien exactement même ce qui s'est passé de notre temps, le même libraire, mentionnant (no 268) une édition de 1836, en 7 vol. in-18 (Paris, chez Landon, et Bruxelles, chez Langlet), dit que le commentateur, qui signe de son initiale T, paraît se nommer Tencé. Est-ce bien par Tencé qu'il faut traduire le T? Quel est ce Tencé? Qu'a-t-il fait encore? Casanova de Seingalt et ses Mémoires. Quel est l'auteur des Mémoires de Casanova? M. Paul Lacroix (bibliophile Jacob) a écrit, quelque part, qu'il était fermement convaincu que ces Mémoires ne pouvaient être de Casanova (lequel, dit-il, était incapable d'écrire en français, et surtout de composer un ouvrage de cette esdes pèce); que Casanova n'avait laissé que notes et qu'il fallut un habile homme pour les mettre en œuvre. Cette assertion est en contradiction avec ce que le Prince de Ligne dit, dans ses Mémoires, sur Casanova, qu'il avait bien Sur un bon mot de Louis XIV. On lit dans la Chronique théâtrale du journal le Temps (no du 5 novembre) ces lignes de M. Francisque Sarcey, écrites à propos du livre de M. Louis Veuillot sur Molière et Bourdaloue: « Louis XIV lui-même, ce Louis XIV dont M. Louis Veuillot fait si grand étalage, a très-bien montré, dans un mot célèbre, tout ce qu'il y a de conventionnel dans ce genre. Un prédicateur, je ne sais lequel, mais ce n'était pas Bourdaloue, s'avísa, après une charge à fond contre le vice, de désigner d'une façon trop directe le vicieux qu'il prétendait viser: « Mon père, lui dit-il en l'interrompant, je veux bien prendre ma part des sermons que l'on me débite; je n'aime pas qu'on me la fasse.» Le mot est spirituel. Il revient à dire « Vous êtes prédicateur, c'est votre état de tonner contre les vices; tonnez, mon ami, tonnez. Je ne m'en offusquerai point, parce qu'il est tout naturel De la date de la mort d'Etienne Forcadel. Guillaume Colletet (Vies des poëtes français) disait d'Etienne Forcadel: « Il mourut en 1577 environ, ce que j'infère de l'épître liminaire de la dernière édition de ses œuvres, où son fils parle de lui comme d'un sçavant homme qui était mort depuis peu de temps... » Si j'ouvre le Moréri de 1759, je lis ceci : « Forcadel 'mourut en 1574 au plus tard: son traité intitulé: Felix Polonia est de cette année, et il en a signé la préface le 15 de mars. » D'autre part, je trouve dans la Bibliothèque française de l'abbé Goujet (t. XI, p. 429) cette assertion: « Etienne Forcadel mourut en 1573. Il avait obtenu l'année précédente un privilége pour la réimpression de ses poésies, qu'il avait revues et augmentées. Mais ayant été attaqué, peu de temps après, de la maladie qui le conduisit au tombeau, il recommanda à son fils, L. P. Forcadel, d'exécuter ce qu'il ne pouvait faire lui-même. » De ces trois dates (1577, 1574, 1573), quelle est la bonne ? S'il fallait en croire le plus grand nombre des biographes, ce serait la dernière. Mais tous ces biographes ont suivi l'abbé Goujet comme autant de moutons de Panurge, et toute approbation donnée sans enquête préalable ne compte pas. Donc qu'on n'invoque pas ici la loi du nombre et qu'on justifie soit la date de 1573, soit celle de 1574, soit enfin celle de 1577! T. DE L. Un octuple assassinat causé par la bibliomanie. La Revue des Deux Mondes a publié, dans sa livraison du 15 octobre 1877, un article de M. Ludovic Garrau intitulé: Recherches sur la folie; on y lit, pag. 863 « Un libraire tua huit personnes « pour rentrer en possession d'un volume << qu'il croyait unique. »> A quelle époque, en quel lieu, furent commis ces huit assassinats? Je ne connais, en fait de meurtre causé par la bibliomanie, que le procès du pasteur saxon Finius, qui, en 1812 et 1813, tua et vola successivement un négociant et une femme âgée, afin de se procurer l'argent dont il avait besoin pour payer des bibliothèques qu'il avait achetées en bloc. Cette cause, restée célèbre en Allemagne, est racontée en détail dans un recueil publié à Leipzig: Der neue Pitaval; elle se rencontre également, en extrait, dans la Revue germanique, 1828. J. D. « Poésies diverses » de M. D***. A Geneve (Bordeaux ?), 1776, de X-69 p. et la table 1 p.; un frontispice avant la lettre; culs-de-lampe et vignettes signées: Huault. - Ces poesies anonymes doivent avoir pour auteur: Pierre-Hyacinthe Duvigneau, jurisconsulte bordelais, né en 1754, mort révolutionnairement le 26 juillet 1794. Ce qui me fait songer à Duvigneau, c'est : 1o la préface de ces « Poésies diverses »; 2o Quérard et les biographies, qui indides poésies ayant à peu près le même quent titre, dans l'article consacré à cet avocat; 3o on lit dans le 11e catal. de la vente Techener, no 14773: Poésies diverses (Idylles et contes en vers), de M. D. (Duvigneau). Genève, 1776, in-8. H. DE L'ISLE. « Les grands hommes vengés. >> J'ai sous les yeux un ouvrage, en 2 volumes, portant ce titre. Les pages des titres manquent. Le tome 1 se compose de la préface et de la re partie, contenant les articles relatifs à l'histoire littéraire. Le tome II est rempli par la 2e partie, contenant les articles qui ont rapport à l'histoire sainte et ecclésiastique. Les articles sont rangés par ordre alphabétique de noms d'hommes, et sont tous consacrés à la réfutation dé. Voltaire. La préface donne à ce dernier 74 ans, ce qui permet d'inférer que l'ouvrage a paru en 1768. Ni Barbier, dans le Dictionnaire des Anonymes, ni Quérard, dans le Catalogue des ouvrages écrits contre Voltaire, n'en font mention. Que lit-on dans les pages de titres qui manquent à cet exemplaire, et quel est l'auteur? PH. R. Banquets annuels de l'Institution Ruinet. - J'ai acquis dernièrement, chez un brocanteur, un volume intitulé: Recueil de couplets chantés par les anciens élèves du College de Justice (Institution Ruinet), à leurs réunions annuelles (Paris, imprimerie de A. Guyot, 1825, in-8 de 132 pages). Quoique la pagination se suive, j'ai remarqué que ce recueil, imprimé sur papier vélin et dont le titre porte la date de 1825, se compose de livraisons publiées après chaque banquet annuel, dont le premier remonte à l'année 1821 et le dernier à 1829. Parmi les auteurs des couplets, on les noms de MM. Nau de Champremarque louis, de Bell, Colliez aîné, Mayez-Trengy, de la Voipière, Florimond d'Audiffret, R. Merlin, Jacquotot, Genreau, Emile Vander Burch, etc. Pourrait-on me dire si l'Institution Ruinet existe encore? Mon recueil est-il complet? Est-ce un livre rare? P. NIPSON. « Mémoires de la cour de Russie il y a cent ans,» par le prince de Ligne. L'habit ne fait pas le moine (II, 259, 377, 440; VIII, 523, 751; X, 648). — Jean de Meung (VIII, 523) aurait été devancé, s'il faut s'en rapporter à un auteur moderne qui s'exprime ainsi : « Li abis ne fait pas l'hermite, » disait un fabliau du XIIIe siècle. - Un manuscrit de la même époque y introduit une variante: « Li abis ne faict pas le religieux, mais la bonne conscience. » — Le Roman de la Rose (de Jean de Meung) a consacré ce vieux proverbe dans un de ses vers. Le curé de Meudon l'a étendu ainsi dans Pantagruel: « Vous-mesmes dites que l'habit ne faict pas le moine, et tel est vestu d'habit monachal, qui au dedans n'est rien moins que moine. »Vers le XVe siècle, le proverbe s'enrichit encore d'un petit raisonnement ainsi conçu : « Il ne faut juger l'homme que par luy-mesme, non par ses atours. >> (P. 35-36 de la Vie élégante à Paris, |