Oeuvres complètes du chancelier d'Aguesseau, المجلد 8Fantin, 1819 |
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عبارات ومصطلحات مألوفة
affaire arrêt assemblée auroit avoient avoit Bourbon Bourbonnois bref du pape bulle cardinal de Noailles censure chambre chancelier Charles III chose clause comté de Provence comté de Roucy concile condamnation confiscation conséquent constitutions des papes contraire cour de Rome couronne créanciers crime de lèse-majesté D'Aguesseau déclaration décret devoit dignité dire doctrine domaine donner duché espèce étoient étoit évêques expressions faisoit falloit faveur fief François de Luxembourg Innocent XII jansénisme Jansénius Jean Châtel jésuites jugement l'acceptation l'archevêque de Cambrai l'arrêt l'assemblée de 1705 l'assemblée du clergé l'autre l'égard l'église gallicane l'évêque de Saint-Pons lettre lettres-patentes libertés de l'église Majesté mandement Martigues matière maximes mémoire n'avoit n'étoit nécessaire nonce ordonnances pairs parlement paroît père Jouvenci personne Pierre de Brezé pourroit pouvoit prélat premier président prince privilége procès procureur-général proposition quiétisme raison rois royaume s'il saint Siége Sainteté seigneur sentimens seroient seroit seul sujet tion Torcy vassal vérité vicomté de Martigues vouloit
مقاطع مشهورة
الصفحة 472 - Sainteté que j'ai donné les ordres nécessaires pour que les choses contenues dans mon édit du 22 mars 1682, touchant la déclaration faite par le clergé de France, à quoi les conjonctures passées m'avaient obligé, ne soient pas observées...
الصفحة 475 - on lui a supposé, contre la vérité, que j'ai contrevenu à l'engagement pris par la lettre que j'écrivis à son prédécesseur ; car je n'ai obligé personne à soutenir contre sa propre opinion les propositions du clergé de France.
الصفحة 301 - Ses talents longtemps cachés dans l'obscurité des séminaires et peu connus à la cour, lors même qu'il se fut attaché à faire des missions pour la conversion des religionnaires, éclatèrent enfin par le choix que le roi en fit pour l'éducation de son petit-fils, le duc de Bourgogne. Un si grand théâtre ne...
الصفحة 474 - Ils ont compris tous deux qu'il étoit'de leur sagesse de ne pas attaquer en France des maximes que l'on y regarde comme fondamentales , que l'on y suit comme celles de...
الصفحة 473 - Sainteté soit informée de mes sentiments, mais encore que tout le monde connaisse par une marque particulière la vénération que j'ai pour ses grandes et saintes qualités, je ne doute pas que votre béatitude n'y réponde par toutes les preuves et démonstrations envers moi de son affection paternelle. Je prie Dieu cependant qu'il conserve Votre Sainteté plusieurs années au régime et gouvernement de son Eglise. Ecrit à Versailles, le 14 septembre 1693 '. » La lettre des évêques nommés...
الصفحة 475 - Faudroit que les sujets que je nomine aux bénéfices fussent convaincus d'hérésie, pour donner au pape une juste raison de leur refuser des bulles; et Sa Sainteté est trop éclairée pour entreprendre de déclarer hérétiques les maximes que suit l'église de France.
الصفحة 465 - ... que les constitutions des papes obligent toute l'église lorsqu'elles ont été acceptées par le corps des pasteurs; et troisièmement, que cette acceptation, de la part des évêques, se fait toujours par voie de jugement.
الصفحة 338 - ... avec le zèle de sa sainteté pour maintenir l'intégrité de la foi, le roi n'ayant rien plus à cœur que de s'opposer fortement au renouvellement des troubles que les propositions condamnées de Jansénius avoient excités, et que Sa Majesté avait si heureusement appaisés.
الصفحة 474 - On ne trouvera pas que, depuis l'accommodement que je fis en 1698 avec le pape Innocent XII , il y ait eu la moindre difficullé à l'expédition des bulles d'aucun de ceux qui ont soutenu dans leurs thèses les propositions conformes aux maximes de l'église de France ; et certainement la cour de Rome a rarement ignoré ces thèses. Les nonces ont eu soin d'en rendre compte; et si...
الصفحة 296 - L'archevêque de Paris étouffoit d'abord, autant qu'il le pouvoit, toutes les semences de discordes, persuadé, comme tous ceux qui sont propres au Gouvernement, que jamais une affaire n'est plus aisée à terminer que dans le moment de sa naissance, et qu'il est incomparablement plus aisé de prévenir les maux que 'de les guérir. Les Jésuites, sûrs de lui et ne le craignant point, parce qu'il les craignoit, et que sa conduite, qui pouvoit leur donner toujours prise sur lui, le...