Œuvres complètes de Ch. Rollin: Histoire ancienneLedoux et Tenré, 1817 |
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ÇáÕÝÍÉ xvi
... mille hommes de son armée , et lui mettant un cercle au nez et un mors à la bouche , comme à une bête féroce , le ramène dans ses Etats , couvert d'opprobre , à travers ces mêmes peuples , qui l'avoient vu , un peu au- paravant , plein ...
... mille hommes de son armée , et lui mettant un cercle au nez et un mors à la bouche , comme à une bête féroce , le ramène dans ses Etats , couvert d'opprobre , à travers ces mêmes peuples , qui l'avoient vu , un peu au- paravant , plein ...
ÇáÕÝÍÉ xxv
... hommes de loin par l'état même d'ignorance et de déréglement où il a permis que le genre humain demeurât pendant quatre mille ans . ans . C'est pour nous faire sentir la nécessité d'un médiateur que Dieu a laissé si long - temps les ...
... hommes de loin par l'état même d'ignorance et de déréglement où il a permis que le genre humain demeurât pendant quatre mille ans . ans . C'est pour nous faire sentir la nécessité d'un médiateur que Dieu a laissé si long - temps les ...
ÇáÕÝÍÉ xxxvi
... mille autres absurdités pareilles . pour la Il faut avouer qu'un lecteur sensé ne peut voir sans étonnement que les hommes de l'anti- quité les plus estimés pour le savoir et prudence , les capitaines les plus élevés au - des- sus des ...
... mille autres absurdités pareilles . pour la Il faut avouer qu'un lecteur sensé ne peut voir sans étonnement que les hommes de l'anti- quité les plus estimés pour le savoir et prudence , les capitaines les plus élevés au - des- sus des ...
ÇáÕÝÍÉ 12
... mille hommes employés à le tailler . Constance , plus hardi qu'Auguste , le fit transporter à Rome . On y voit encore deux de ces obélisques , aussi - bien qu'un autre de cent coudées ou vingt - cinq toises de haut , Ibid.cap.9 . et de ...
... mille hommes employés à le tailler . Constance , plus hardi qu'Auguste , le fit transporter à Rome . On y voit encore deux de ces obélisques , aussi - bien qu'un autre de cent coudées ou vingt - cinq toises de haut , Ibid.cap.9 . et de ...
ÇáÕÝÍÉ 13
... mille ouvriers travailloient à cet ouvrage , et de trois mois en trois mois ... mille li- vres ; d'où il étoit facile de conjecturer combien pour tout le ... hommes , leur néant paroît partout . Ces pyramides étoient des tombeaux , et ...
... mille ouvriers travailloient à cet ouvrage , et de trois mois en trois mois ... mille li- vres ; d'où il étoit facile de conjecturer combien pour tout le ... hommes , leur néant paroît partout . Ces pyramides étoient des tombeaux , et ...
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Annibal armée armes Asdrubal Assyriens Astyage auroit aussi-bien avoient avoit ayant Babylone Babyloniens bataille c'étoit Cambyse camp Cartha Carthage Carthaginois cavalerie cent chariots chevaux chose combat connoissance connoître consul côté courage Crésus Cyaxare Cyrus d'Annibal d'autres Darius députés dessein devoient devoir Dieu dieux différens Diod donner donnoit Ecbatane Egypte Egyptiens empire enfans ennemis envoya étoient étoit faisoient faisoit falloit fils fleuve fût Grecs guerre punique habitans Herod Hérodote HIST Jugurtha l'armée l'Ecriture l'Egypte l'empire l'ennemi l'histoire laisser lieu Lilybée long-temps mains maître Masinissa Mèdes mille hommes mort n'avoit Nabuchodonosor nations Ninive nombre Numides officiers ordre paroît passer pays pendant père Perses peuples Polybe porter pouvoient pouvoit premier présens prince règne rendre rien rois Romains Rome royaume s'étoient Scipion seconde guerre punique secours Seigneur sénat seroit seul Sicile siége Smerdis soin soldats sorte sur-le-champ Syphax talens temple terre trône troupes vaisseaux venoit victoire Xénophon
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ÇáÕÝÍÉ 54 - Il fallait qu'il y eût des emplois et des personnes plus considérables, comme il faut qu'il y ait des yeux dans le corps. Leur éclat ne fait pas mépriser les pieds , ni les parties les plus basses.þ
ÇáÕÝÍÉ l - ... caché ma pensée sur ce qui m'a paru de plus important dans le plan que vous vous êtes fait , et sur ce qui m'a le plus charmé dans la manière dont vous l'avez exécuté. Je suis avec beaucoup de respect, MONSIEUR, Votre très-humble et trèsobéissant serviteur , ROUSSEAU.þ
ÇáÕÝÍÉ 545 - Grèce même, ils trouvèrent ce qu'ils n'avaient jamais vu, une milice réglée, des chefs entendus, des soldats accoutumés à vivre de peu, des corps endurcis au travail, que la lutte et les autres exercices ordinaires dans ce pays...þ
ÇáÕÝÍÉ 360 - Elle avait la tête d'or fin, la poitrine et les bras d'argent, le ventre et les cuisses d'airain, les jambes de fer et les pieds en partie de fer et en partie d'argile.þ
ÇáÕÝÍÉ lvi - Son maître lui répondit : 0 bon et fidèle serviteur, parce que vous avez été fidèle en peu de chose, je vous établirai sur beaucoup d'autres; entrez dans la joie de votre Seigneur.þ
ÇáÕÝÍÉ 242 - C'en est bien une cause, mais la moins considérable, et la bravoure avec laquelle les Carthaginois battirent depuis ce temps-là...þ
ÇáÕÝÍÉ 14 - Mais quelque effort que fassent les hommes, leur néant paraît partout. Ces pyramides étaient des tombeaux (2) ; encore les rois qui les ont bâties n'ont-ils pas eu le pouvoir d'y être inhumés , et ils n'ont pas joui de leur sépulcre.þ
ÇáÕÝÍÉ 395 - L'attention des pères et des mères, qu'une aveugle et molle tendresse rend souvent incapables de ce soin ; l'état «'en chargeoit. Ils étoient élevés en commun , d'une manière uniforme. Tout y étoit réglé : le lieu et la durée des exercices, le temps des repas, la qualité du boire et du manger , le nombre des maîtres , les différentes sortes de châtimens.þ
ÇáÕÝÍÉ 455 - êtes élevé contre le dominateur du ciel ; vous avez « fait apporter devant vous les vases de sa maison « sainte , et vous avez bu dedans , vous , vos femmes et « vos concubines , avec les grands de votre cour. Vous « avez rendu un hommage public de louange et d'hon...þ
ÇáÕÝÍÉ 461 - Jépendoient sa gloire , le succès des affaires , le repos et le bonheur de l'empire. Son grand talent étoit d'étudier le caractère des hommes , afin de marquer à chaque personne sa place ; de donner de l'autorité à proportion du mérite ; de faire concourir le bien particulier au bien public , et de conduire tout l'état par un mouvement si réglé , que tout se liât et s'entretînt , et que la force des uns ne fût employée que pour l'utilité des autres.þ