Dictionnaire historique d'éducation, ÇáÚÏÏ 13¡ÇáãÌáÏ 3 |
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ÇáäÊÇÆÌ 6-10 ãä 100
ÇáÕÝÍÉ 10
... étoient pas de ces courtisans vils et mercenaires , qui , livrés sans réserve à la pas- sion de leur maître , vont aussi vîte que son caprice , et lui préparent d'inutiles repentirs . C'étoient des hom- mes prudens et vertueux ; et c ...
... étoient pas de ces courtisans vils et mercenaires , qui , livrés sans réserve à la pas- sion de leur maître , vont aussi vîte que son caprice , et lui préparent d'inutiles repentirs . C'étoient des hom- mes prudens et vertueux ; et c ...
ÇáÕÝÍÉ 11
... étoient glacés d'effroi . C'étoit le jour destiné au jugement et à l'exécution des coupables . Avant le lever du soleil , les commissaires sortent de leur de- meure , à la lueur des flambeaux . Il montroient une contenance plus sévère ...
... étoient glacés d'effroi . C'étoit le jour destiné au jugement et à l'exécution des coupables . Avant le lever du soleil , les commissaires sortent de leur de- meure , à la lueur des flambeaux . Il montroient une contenance plus sévère ...
ÇáÕÝÍÉ 12
... étoient les solitaires des environs d'Antio- che , qui , dans cette triste conjoncture , étoient ac- courus de toutes parts ; et tandis que les philosophes païens , plus orgueilleux , mais aussi timides que le vulgaire , étoient allés ...
... étoient les solitaires des environs d'Antio- che , qui , dans cette triste conjoncture , étoient ac- courus de toutes parts ; et tandis que les philosophes païens , plus orgueilleux , mais aussi timides que le vulgaire , étoient allés ...
ÇáÕÝÍÉ 13
... étoient alors dans Antioche ( et il s'en trouvoit toujours quelques- uns dans cette capitale de l'Orient ) se présentent de- vant eux . Ils les arrêtent , et leur déclarent que s'ils ne veulent leur passer sur le corps , il faut qu'ils ...
... étoient alors dans Antioche ( et il s'en trouvoit toujours quelques- uns dans cette capitale de l'Orient ) se présentent de- vant eux . Ils les arrêtent , et leur déclarent que s'ils ne veulent leur passer sur le corps , il faut qu'ils ...
ÇáÕÝÍÉ 14
... étoient prêts à donner leur vie pour le peuple d'Antioche . Les deux commissaires convinrent qu'llellébique de- meureroit dans la ville , et que Césaire iroit à Constanti- nople . Ilsfirent transférer les criminels dans une prison plus ...
... étoient prêts à donner leur vie pour le peuple d'Antioche . Les deux commissaires convinrent qu'llellébique de- meureroit dans la ville , et que Césaire iroit à Constanti- nople . Ilsfirent transférer les criminels dans une prison plus ...
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âgé Al-Farabi alloit ans avant J. C. Antioche Arcadius armées Athènes Athéniens avoient avoit ayant bataille capitaine cardinal célèbre César Charles Charles VII cheval chrétienne ciple citoyen comte connoissance consul courage demandoit devint devoit Dieu digne disciple disoit dit-il donna empereur enfans ennemis épouse étoient étoit évêque faisoient faisoit fameux femme fille fils du précédent François frère Gascon général gloire grace grec guerre Henri Henri III Henri IV homme in-fol Jean jeta jeune jour l'âge l'empereur l'empire l'un Lacédémone laissa livres long-temps Louis XIV Macédoine maison maître maréchal ment mérite ministre monarque mort n'avoit n'étoit naquit Néron officier patrie père Perse peuple Pharnabaze Philippe philosophe poète pouvoit premier prince prit reconnoissance règne répondit répondit-il romain Rome sage saint seigneur seroit seul siècle siége Socrate soldats sorte Sparte succéda sur-tout surnommé Syracuse Syrie talens Théodose tion trône troupes tyran venoit vertus victoire vint vouloit voulut Xerxès zèle
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ÇáÕÝÍÉ 284 - Majesté juge divinement bien de toutes choses ; il est vrai que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j'aie jamais lu. Le roi se mit à rire, et lui dit : N'est-il pas Vrai que celui qui l'a fait est bien fat? Sire, il n'ya pas moyen de lui donner un autre nom. Oh bien ! dit le roi, je suis ravi que vous m'en ayez parlé si bonnement; c'est moi qui l'ai fait. Ah ! Sire , quelle trahison ! que Votre Majesté me le rende; je l'ai lu brusquement. Non, Monsieur le maréchal : les premiers...þ
ÇáÕÝÍÉ 284 - Le maréchal, après avoir lu, dit au roi : Sire , Votre Majesté juge divinement bien de toutes choses ; il est vrai que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j'aie jamais lu.þ
ÇáÕÝÍÉ 322 - Vous avez employé votre noble puissance à appréhender icelle femme qui se dit la Pucelle, au moyen de laquelle l'honneur de Dieu a...þ
ÇáÕÝÍÉ 236 - Mon Père , j'ai entendu plusieurs grands orateurs dans ma chapelle ; j'en ai été fort content : pour vous, toutes les fois que je vous ai entendu , j'ai été très-mécontent de moi-même.þ
ÇáÕÝÍÉ 215 - Monsieur, je prends cette place, parce que c'est celle où je me mets toujours, et cette chaise, parce qu'elle est à moi. Or, et par droit et par raison, chacun est maître dans sa maison.þ
ÇáÕÝÍÉ 236 - Clermont, prêcha son fameux sermon du petit nombre des élus. Il y eut un endroit où un transport de saisissement s'empara de tout l'auditoire ; presque tout le monde se leva à moitié par un mouvement involontaire ; le murmure d'acclamation et de surprise fut si fort qu'il troubla l'orateur, et ce trouble ne servit qu'à augmenter le pathétique de ce morceau...þ
ÇáÕÝÍÉ 253 - L'invisible et inutile vérité n'est pas accoutumée à trouver tant de sensibilité parmi les hommes, et les objets les plus ordinaires de leurs passions se tiendraient heureux d'y en trouver autant.þ
ÇáÕÝÍÉ 244 - ... d'un chimiste, par exemple, et celle d'un astronome; qui fût auprès du public leur interprète commun ; qui pût donner à tant de matières épineuses et abstraites des éclaircissements, un certain tour, et même un agrément que les auteurs négligent quelquefois de leur donner, et que cependant la plupart des lecteurs demandent; enfin, qui, par son caractère , fût exempt de partialité et propre à rendre un compte désintéressé des contestations académiques.þ
ÇáÕÝÍÉ 318 - S'il vous plaît me donner gens de guerre par grâce divine et force d'armes , je ferai lever le siège d'Orléans , et vous mènerai sacrer à Reims , malgré tous vos ennemis...þ
ÇáÕÝÍÉ 494 - Du théâtre français l'honneur et la merveille, II sut ressusciter Sophocle en ses écrits ; Et dans l'art d'enchanter les cœurs et les esprits, Surpasser Euripide et balancer Corneille.þ